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Affichage des articles du avril 27, 2016

RDC : la tenue du prochain dialogue politique est, une processus pour une balisage dela trasition ? Face à cette situation, le président Joséph Kabila peut encore briguer un troisième mandat lors de prochaine éléction présidentiele ? Le réalisme semble de retour dans l’appréciation américaine de la situation politique en RDC. Les officiels américains, qui naguère ne juraient que par l’organisation des législatives et de la présidentielle en 2016 dans le strict respect des délais constitutionnels, paraissent déjà devenus favorables à l’idée d’une transition ou d’une période de « passation du pouvoir » ne devant pas excéder dix-huit mois. En dépit de la controverse qui semble naître de l’entendement du mot « transition » selon le porte parole de la Maison Blanche, Jhon Kirby, et selon l’usage politique quasi-général en RDC, il est évident qu’avant l’entrée en fonction du prochain président en RDC, une période de tout au plus 18 mois (au-delà de décembre 2016 ?) est devenue inévitable pour mieux préparer les échéances électorales.

La transition ne devrait pas excéder 18 mois Selon, les observateurs, chute Top Congo, la transition pacifique en Rdc, ne devrait pas excéder 18 mois. Le porte-parole de Jhon Kerry a prétendu que celui-ci estime quela transition pacifique devrait permettre au Président Kabila de cimenter son héritage. Et selon les observateurs, non pas selon Jhon Kerry ou Jhon Kirby, la transition pacifique dont a parlé Jhon Kerry ne devrait pas excéder 18 mois. Ce n’est donc pas Washington qui le dit formellement, mais les observateurs à la suite des propos du porte-parole de Jhon Kerry qui parlait de sa part. Le lien dialectique s’est tissé entre les deux pensées pour donner la suite de « ne devrait pas dépasser 18 mois » est facilement perceptible. Il signifie, même un tant soit peu, qu’il n’est plus exclu l’idée d’une passation pacifique de pouvoir ne devant pas excéder 18 mois. 18 mois à mettre le plus rondement à profit pour mieux préparer toutes les élections démocratiques allant de la base

Rdc : le ministère de la Santé publique qui a visité quelques dépôts de Beltexco a constaté qu’ils n’étaient pas conformes aux normes. Une visite impromptue a amené le ministre de la Santé publique le Dr Félix Kabange Numbi accompagné des inspecteurs de son ministère et ceux de la police dans les installations de Beltexco dans la commune de Limete, une entreprise spécialisée dans la commercialisation des produits alimentaires et autres produits cosmétiques. Objectif : inspecter la conservation et la qualité des produits que cette firme commercialise. Le ministre de la Santé publique qui a visité quelques dépôts de Beltexco a constaté qu’ils n’étaient pas conformes aux normes. Ils ne sont pas suffisamment aérés. Il n’y a pas de thermomètre mural pour prélever la température. Dans ces entrepôts il fait extrêmement chaud. La température est au delà de celle recommandée sur certains produits tels que les yaourts dont quelques boîtes ont été saisies.

C’est vrai que nous sommes tous attirés par la date d’expiration mais cette date, à elle seule, ne garantit pas la qualité des aliments que nous consommons il faut que la chaine de consommation soit maintenue, a expliqué le Dr Félix Kabange Numbi qui a par ailleurs fait savoir que tous les produits scellés seront détruits. Et a-t-il ajouté, il y aura une ordonnance de destruction et nous allons nous même présider la destruction de ces lots Incident Arrivé à Beltexco, le ministre de la Santé publique s’est buté à la résistance des agents commis à la sécurité de cette entrepris qui ont refusé de lui ouvrir les portes suivant ainsi les instructions des responsables de la société. Le plus audacieux de ces agents est allé jusqu’à demander au ministre de la Santé de brandir un document attestant qu’il était venu en inspection. Le ministre de la Santé est resté ainsi dehors pendant près d’une heure, les autres membres de la délégation, sous un soleil caniculaire, ont commencé à fulminer de

Soudan du sud : vers l' éspoire dela paix avec le retour de l’ex-chef rebelle est « un premier pas pour la rénstruction du pay […] dans la perspective d’un retour à la paix au Soudan du Sud[…] le plus dur reste à venir. » Même analyse dans les colonnes d’ Aujourd’huiau Faso qui pousse un « ouf de soulagement[…] car c’est un début de pacification de ce pays ou à tout le moins, un dégel entre deux ennemis politiques. » Mais le journal est sceptique sur les intentions réelles de celui qui a pris la tête de la rébellion il y a deux ans, et sur les chances de réussite du processus porté par la communauté internationale. « Le cœur y est-il vraiment vu les milliers de morts, les viols de femmes et la méfiance qui séparent les Dinkas, ethnie de Salva Kiir, des Nuers, celle de Machar ? », s’interrogeAujourd’huiau Faso. Et de poursuivre : « Il y a tant de rancœurs recuites de désir de revanche entre le président et son vice-président et entre leurs ethnies que la cohabitation sera un véritable parcours du combattant. »

Depuis 2013, le Soudan du Sud est plongé dans une guerre civile qui oppose le gouvernement sud-soudanais du président Salva Kiir à une rébellion dirigée par l'ex vice-président Riek Machar. Le plus jeune pays du monde doit aujourd'hui faire face à une crise économique et humanitaire qui a entraîné la fuite de plus de 2 millions de personnes. Femmes et filles victimes de viols collectifs, garçons émasculés, armées d'enfants soldats : les atrocités s'enchaînent au Soudandu Sud, ravagé par 18 mois de conflit, mettant tous les jours un peu plus en lumière l'impuissance de la communauté internationale à enrayer l'escalade de la violence. Ni les sanctions ni les pressions de soutiens-clés comme les États-Unisou même la Chine, autrefois très présente dans un secteur pétrolier désormais largement détruit, ne semblent avoir de prise sur les belligérants, le camp du président Salva Kiir ou celui de son ex-vice-président et rival Riek Machar. La guerre civile sud-soudanai

Butembo ville : situation sécuritaire très dramatique en ces jours malgré la présence dela Police et le Fardc : d' après une source d' un membre dela Société civile Urbaine de cette ville, La Station Ecy oil au Quartier Vutetse cellule LUSANDO en diagonal de l'Institut VUTETSE au lieu où était l'Institut Loyola a été braqué par des hommes à mains armées vêtu en tenues Civiles la soirée du mardi 26/04 /2016. Ils ont emporté tout l'argent qui était en table de comptage et crépite des balles à l'air pour faire peur a la population. Heureusement qu'aucune perte a vie humaine n'a été déploré moins encore des blessés. Cette cartouche est tombé quand ils prennaient fuite. Cette situation arrive le lendemain d'une situation similaire au quartier MUKUNA et Kyaghala.

Un corps sans vie d'un homme d'environ 35ans a été découvert à 30m du pont Kisalala le matin de ce mercredi 6/04/2016 sur la route N¤2 à quelques 30m de la position de la PNC. Selon le constat de la PNC Maboya, avec les membres dela Société civile de BUTEMBO, et la population locale sur terrain, cet homme sans pièce d'identité a visiblement reçu 1 balle. Suivant la piste dans la brousse on a trouvé 2 machettes,1 épée ,1carte sim,1 pièce d'identité, 3 cartes photos... Jusqu' à présent les auteurs de ce crime courent dans la nature. Le corps a été conduit a Butembo. La SOCIÉTÉ Civile de BUTEMBO, a exigé, les enquêtes se poursuivent jusqu'à l'identification de présumés auteurs. Démander aux autorités de renforcer la sécurité de la population selon Paluku Édgar Mateso un membre dela société civile urbain de Butembo qui est notre source dela place. La résurgence de l’insécurité affecte l’économie à Beni et Butembo en ces jours presque dans tout les deux térritoi

Le franc congolais continue de perdre san valeur face à dollard en Rdcongo : la fois passé, la Banque Centrale du Congo, a mis en vente 50 millions USD par adjudication. La surliquidité de la monnaie locale, franc congolais (CDF), sur un marché change où il y a rareté des devises en est l’une des principales causes. Le communiqué du Comité de Politique Monétaire lève un pan de voile : « Cette situation, qui résulte d’importantes injections des liquidités sur le marché dans un contexte de contraction de l’offre de la devise, a conduit le Comité de Politique Monétaire à prendre des mesures aux fins de contenir les pressions sur le marché et renforcer ainsi la stabilité du cadre macroéconomique ». Pourquoi la BCC vend – t – elle les 50 millions USD ? C’est pour ponctionner la surliquidité des Francs congolais et à assainir le marché monétaire par l’accroissement de l’offre que la Banque Centrale du Congo (BCC) vend ces 50 millions de dollars américains par voie des adjudications compétitives.

Le franc congolais se déprécie encore face à dollars américain : par éxemple chez airtel agence de Beni on parle de 990fc pour un dollards US : à partir de ce matin le 27 avril 2016 d' après une source d' un résposable de Airtel, dans le Grand-Nord-Kivu 0997000922/0993489004. Donc automatiquement chez les révendeurs des cartes prée payée, 100 unités sera vendu à 1200fc depuis plusieurs jours par rapport au dollar américain dans plusieurs villes de la RDC. Alors qu’il se changeait au début de l’année contre 900 ou 920 francs congolais, un dollar américain vaut actuellement entre 940 et 980 francs congolais. Ce qui entraine une augmentation des prix des produits de première nécessité. Le comité de politique monétaire de la Banque centrale du Congo attribue cette dépréciation au ralentissement de l’activité économique en RDC et à la baisse du prix des matières premières sur le marché mondiale. Face cette situation, la Banque Centrale du Congo a mis en vente 50 millions USD par

Un nouveau combat àl' arme lourde et légère, est éclaté, mardi 26 avril 2016 entre les millitaires Fardc, et les rébélles des Adf-Nalu à Atokaka, non loin de Kokola localité situé, à plus au moin 50km au Nord dela ville de Beni, sur axe routier Oicha Bunia, dans le Sécteur de Beni-Mbau, en térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. Des créputements des armes lourde, légère et automatique, ont étaient entendu sur la ligne de front. Les contingens Tanzaniens dela Brigade des Nations-Unies présent dans la région dépuis l' année 2013, ont instalé le portier des missiles Basilique au point kilomètrique de 5km sur le tronçon routier Mbau-Kamango, où ils ont tiré, plusieurs Ogives des Missilles contre les Adf-Nalu, précisement, au Nord-Est de Beni térritoire, au font du Parc Nationale des Virunga. Jusqu' en présent nous n' avons pas de bilan précis de ce combat mais, avec le porte parole d' opération Sukula 1 le LTN Mak Azukay nous aurons plus de plus avec d' autres détails. À notre source d' informer que, les Fardc contrôlent la situation après la fuite des Adf-Nalu, dans la brousse.

Les rescapés auraient déjà communiqué des informations aux commandants Fardc dans la chefferie des Watalinga au N/Kivu. « Comment se fait-il que l'Ouganda, allié des Etats-Unis, soutient le combat contre les islamistes Shebab en Somalie mais au contraire soutien l'ADF qui a lui aussi pour objectif d'instaurer un Etat islamique ? », s'interroge le vice-président et porte-parole de la société civile du Nord-Kivu. La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Victimes il y a quelques jours d’une attaque meurtrière