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Affichage des articles du septembre 14, 2016

Climat politique très très tendu ce jours en Rdc : pour cause, les départs se multiplient àla cité, de l’UA à Kinshasa, la capital dela République Démocratique du Congo : Le Facilitateur togolais appelé à bien tirer les conséquences. !

Cependant, d’après des radios périphériques émettant de l’étranger sur des questions d’actualité en RDC, le mouvement qui érode dangereusement le dialogue politique piloté par le facilitateur désigné par l’Union africaine s’est intensifié suite aux fortes pressions exercées sur les participants pris individuellement à partir des populations des villes et campagnes, qui commencent déjà à s’organiser comme bases électorales chargées du filtrage systématique des candidats potentiels. Cette semaine qui commence pourrait donc être déterminante pour faire du dialogue conduit par Edem Kodjo un vrai dialogue avec toutes ses implications d’inclusivité, mais aussi et surtout de souveraineté dans ses résolutions opposables à tous ou alors d’une montagne appelée à accoucher d’une souris ! D’où la question troublante ci-après, qui mérite d’être posée immédiatement après le départ impromptu de Léon Kengo wa Dondo et Tutti quanti, à qui le tour ? De nombreux spécialistes tentent de répondre à la qu

L’ambassadeur du Congo-Kinshasa à Bruxelles rappelé par Kinshasa RDC: L’ambassadeur du Congo-Kinshasa à Bruxelles rappelé Depuis plusieurs semaines, la représentation diplomatique du Congo démocratique à Bruxelles est dirigée par un ministre-conseiller en qualité de chargé d’affaires ad intérim. L’ambassadeur se trouve à Kinshasa. Une manière pour les autorités congolaises de manifester leur "mauvaise humeur". En cause, une résolution votée par le Parlement belge en juillet dernier. Une démarche jugée comme une "ingérence" dans les affaires "domestiques" du Congo-Kinshasa.Depuis le mois de mai 2014, le gouvernement fédéral belge est dominé par les nationalistes flamands de la N-VA (Nieuw Vlaamse Alliantie). Un parti décomplexé à l’égard des anciennes colonies belges. Chef de la diplomatie du Royaume, le libéral francophone Didier Reyders voit sa marge de manoeuvre se rétrécir. La N-VA veuille au grain. !

Depuis plusieurs semaines, l’ambassadeur du Congo-Kinshasa à Bruxelles, Dominique Kilufya Kamfwa, se trouve dans la capitale congolaise. "Le diplomate était appelé en consultation mais il n’est pas exclu qu’il soit rappelé définitivement", commente une source au ministère des Affaires étrangères à Kinshasa. Que lui reproche-t-on? Rien, apparemment. "Par le rappel de l’ambassadeur Kilufya, Joseph Kabila dont le mandat à la tête du pays expire le 19 décembre prochain voudrait manifester sa colère contre les ingérences de la Belgique en général et du Parlement belge en particulier dans les affaires intérieures du Congo", précise la source. Notons que le gouvernement congolais dont le budget est constitué à 50% des "apports extérieurs" compte sur des "pays amis" pour apporter leur contribution au financement des élections. Respect de la Constitution Fin juillet 2016, la Chambre des représentants (députés) du royaume de Belgique dont le bureau est

Ramazani Shadari, l’homme par qui le blocage est arrivé au dialogue. Le dialogue piétine. A la Majorité, tout comme chez l’allié PALU et à l’Opposition, les états-majors ont tous un slogan: «On ne lâche rien!». Ça coince depuis lundi 12 septembre 2016 parce qu’un député placé pour le compte de la MP à la tête de la très sensible. !

Par la bouche de l’UDPS Samy Badibanga, l’Opposition réplique et fait savoir qu’elle a déjà fait une grande concession en acceptant «un glissement technique» à travers le principe de la refonte totale du fichier électoral. Vives protestations de l’Opposition Selon un autre Tweet de François Muamba, fraîchement parti du Mécanisme national de suivi -MNS-, l’Opposition a adhéré au projet «d’une transition de 2 ans, plus en mirage une présidentielle, mais une modification bien réelle de la Constitution sur le parcours». Une affirmation rejetée dans sa dernière moitié par les délégués de la composante Opposition au dialogue, qui jurent qu’ils n’entendent pas aller au-delà du «glissement technique», surtout pas de gober toutes les propositions de la Majorité en cautionnant le plan de terminer les élections par la présidentielle. Pour l’Opposition, il y a lieu de commencer par la présidentielle, à l’origine de la crise, couplée aux législatives provinciales ou nationales, soit la présiden

Rwangoma, un quartier périphérique situé, dans la partie Est de Beni ville, dans la province du (Nord-Kivu), vers l'Est dela République Démocratique du Congo, est toujours déserté par ses habitants, un mois après le massacre à la machette d’au moins trente- cinq civils. !

À Beni, à Oicha, à Mbau ! Apparemment, on ne sent pas cela. Et on l’a toujours dit, il ne faut pas subir les évènements, mais plutôt les précéder. Puis qu’ils [rebelles ADF] sont venus jusque dans le cœur de la commune Behu jusqu’à côté du quartier Rwangoma », a dénoncé le président de la société civile de Beni-ville, Gilbert Kambale. La population en colère est descendue dans la rue pour protester contre ces massacres et demander la démission de certaines autorités du pays. Ce nouveau massacre est perpétré deux mois après que la société civile avait organisé trois journées ville-morte. La coordination des sociétés civiles des territoires de Beni, Butembo et Lubero au Nord-Kivu avait déjà adressé une lettre ouverte au président Kabila, le 14 mai dernier. Plus de quarante-six civils tués dans un nouveau massacre à Beni Trente-six civils ont été tués dans la nuit de samedi à dimanche à Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo. La population a manifesté peu après sa

Vital Kamerhe: « je n’ai jamais vu de marche parce qu’on n’a pas organisé des élections locales » « Dans ce pays, je n’ai jamais vu de marche parce qu’on n’a pas organisé des élections locales ou provinciales, même législatives« , déclare l’opposant congolais qui a annoncé hier la suspension de ses confrères de l’opposition aux travaux du... La Rédaction @politicocd. !

« Dans ce pays, je n’ai jamais vu de marche parce qu’on n’a pas organisé des élections locales ou provinciales, même législatives« , déclare l’opposant congolais qui a annoncé hier la suspension de ses confrères de l’opposition aux travaux du Dialogue. « Nous ne disons pas qu’il faut seulement organiser l’élection présidentielle, mais nous refusons la séquence qui commence par les élections locales, et nous avons avancé des raisons« , explique Vital Kamerhe. Pour lui, il y a crainte de « tomber dans un long processus et finalement de ne pas répondre aux attentes du peuple congolais ». La Diaspora n’a pas quitté le Dialogue! Après l'Opposition qui a suspendue sa participation hier, le Palu qui a "rappelé" ses délégués cet après-midi, c'est autour de la composante "Diaspora" de claque la porte de la Société civile au sein Dialogue politique. La « composante » Diaspora, qui est censée représenter les congolais vivants à l’étranger au Dialogue politique qu

Il semblerait que la date du 19 septembre soit celle retenue par Twitter pour modifier le fonctionnement du comptage des caractères dans les tweets. En mai dernier, Twitter annonçait ses plansconcernant la manière dont le service allait fonctionner à l’avenir afin notamment d’offrir plus de souplesse aux utilisateurs dans la composition de leurs tweets. Depuis, la possibilité de se retweeter soi-même a été implémentée et il est aujourd’hui question du plus gros morceau qui va permettre de mieux utiliser les 140 caractères maximums d’un tweet. En effet, d’après The Vergele 19 septembre prochain Twitter va changer sa manière de compter ces derniers pour pouvoir écrire davantage. En dire plus sans augmenter la limite des 140 caractères Dans le détail, ne seront surtout plus comptés dans les 140 caractères les éléments attachés (photos, GIF, vidéos, sondages, tweets cités…). !

Supprimer la limite des 140 caractères à Twitter, une saine démarche ! Malaise dans la twittosphère. Le plus célèbre – et bavard – salon de conversation du mondeva libérerla parole de ses membres. Le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a confirmé que son entreprise envisageait de supprimer la sacro- sainte limite de 140 caractères des messagesdiffusés par les internautes. Levée de boucliers des aficionados, qui assimilent cette décision à une reddition et voient déjà le réseau se remplirde romans entiers et mourirà petit feu sous le poids de son obésité. En perdant sa spécificité, le plus célèbre réseau socialdu monde après Facebookabandonnerait aussi son âme.« L’art naît de contraintes, vit de luttes et meurt de liberté », rappelait déjà André Gide. Il y a du vrai là-dedans et l’affaire ne doit pas êtreprise à la légère. L’impact des informations est d’autant plus grand qu’elles sont brèves. On peut le constaterà chaque grande catastrophe, qui consacre Twittercomme le plus réactif des grand

Au regard de l’incertitude politique en cours en République Démocratique du Congo, le Premier Vice-Président de l’Alliance de Base pour l’Action Commune (ABACO) a bien voulu donner son point de vue à l’attention de l’opinion tant nationale qu’internationale. À travers cet exercice, avec le talent et la franchise qu’on lui reconnaît, Gaspard-Hubert Lonsi Koko clarifie quelques zones d’ombre qui ont incité son parti politique à ne pas cautionner toute démarche allant contre les intérêts des populations congolaises. Sur un bon nombre d’espaces sociaux, s’agissant du Dialogue national politique en cours en République Démocratique du Congo, vous avez déclaré ceci : « Un monologue politique inclusif sous la houlette d’une facilitation exclusive ». Pourriez-vous expliciter votre pensée ? Le décret présidentiel portant convocation d’un dialogue politique national inclusif s’était appuyé notamment, entre autres dispositifs, sur les articles 69, 79 et 91 de la Constitution de notre pays, et aussi sur les dispositions de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba du 24 février 2013 pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC ainsi que sur la résolution n° 2098/2013 adoptée le 28 mars 2013 par le Conseil de sécurité des Nations Unies. Ce décret spécifiait que le dialogue serait précédé d’un Comité préparatoire qui serait composé, comme le Dialogue proprement dit, des délégués de toutes les parties prenantes – à savoir la Société civile, la Majorité présidentielle et l’Opposition politique –, placés sous la Co-modération de deux représentants appartenant respectivement à la Majorité et à l’Opposition politique. Quel est, alors, l’élément fondamental qui vous a poussé à parler d’un monologue inclusif à caractère exclusif ? Est-ce de la faute de la majorité kabiliste si une partie de l’opposition refuse de prendre part au dialogue ? Au-delà de la figure du style, je suis un homme des lettres, l’oxymore entre inclusif et exclusif me sert à montrer les contradictions flagrantes ayant dès le départ vicié l’issue du dialogue proposé par le président de la République Démocratique du Congo. Primo, le bon sens aurait voulu que la composition du Comité préparatoire se borne à des spécialistes internationaux et africains en matière de paix et de résolution des conflits. Cette neutralité aurait permis, dans l’absolu, la déclinaison d’un canevas non perverti en vue des travaux du Dialogue national politique proprement dit. Secundo, l’Opposition politique a judicieusement posé quelques préalables relatifs à la libération des prisonniers politiques et au fait que le Comité préparatoire prenne en compte la résolution 2277 des Nations Unies du 29 mars 2016 et les dispositifs constitutionnels relatifs au mandat du président de la République. Malheureusement, la Majorité présidentielle ne fournit aucun effort pouvant aller dans le sens de la décrispation. Tertio, certains partis politiques de l’opposition, officiellement reconnus par le ministère de l’Intérieur, qui ont manifesté leur volonté de participer aux travaux du Dialogue national politique souhaité par le président de la République, ont été ignorés au profit de quelques individus débauchés dans quelques structures dans le but de fragiliser pour mieux imposer un gouvernement de transition sous la direction du président de la République ne pouvant plus constitutionnellement rempilé. Quelle place fallait-il réservée aux chefs coutumiers ? Et la diaspora, dans tout cela ? Tous les éléments évoqués ci-dessus montrent qu’il s’agit en réalité d’un monologue incluant les opposants à la solde du régime kabiliste et excluant ceux qui sont censés défendre, en cas de participation, les intérêts collectifs au détriment des intérêts privés. Je vous cite : « Per-diem, corruption tacite. Aubaine pour les politiciens véreux et une société civile clientéliste. » Dialogue politique national en RDC ? Je pars du principe que le patriotisme étatique, surtout dans un contexte où le gouvernement évoque la carence budgétaire s’agissant de son incapacité à donner à la Commission nationale indépendante et électorale (Céni) les moyens financiers en vue de l’organisation des scrutins dans le délai constitutionnel, devrait prendre le dessus sur l’esprit de lucre. Accepter le per-diem dans pareilles circonstances s’apparenterait à une quelconque connivence avec ceux qui souhaiterait faire un coup d’État constitutionnel pour se maintenir à jamais au pouvoir. Personne n’ignore que le maintien de Joseph Kabila à la présidence de la République permettra aux personnes élues dans les institutions étatiques de prolonger automatiquement leurs mandats, sans passer par les urnes. Combien d’opposants ont-ils dénoncé le glissement, sans pour autant quitter les institutions ayant glissé ? Voilà le point commun, donc le terrain d’entente, entre les opposants institutionnels et la majorité présidentielle. Cette communauté d’intérêts se fait aux dépens des populations congolaises. !

Que reprochez-vous, au juste, à la communauté internationale ? Pourquoi me posez-vous cette question ? Soyez plus précise, s’il vous plaît ! « L’article 64 [de la Constitution congolaise, ndlr] permet de s’affranchir de la communauté internationale, et de ses valets internes et régionaux. » Telle est l’une de vos déclarations récentes. Pensez-vous que la communauté internationale est la cause de tous les problèmes auxquels la RDC est confrontée ? Je vous rappelle que l’insécurité en RDC dure depuis 1977, soit plus de 19 ans. Et se trouve sur le territoire congolais le plus gros contingent armé des Nations Unies. Au moins 22016 personnes, si j’ai bonne mémoire. Sans compter que le fonctionnement du Mécanisme national du suivi et de supervision de la mise en œuvre des enseignements souscrits aux termes de l’Accord-cadre d’Addis-Abeba, spécialement en son article 2, n’a donné aucun résultat probant. Le triste constat, au regard de l’insécurité croissante à l’Est de la RDC, ne peut qu’

Le président dela République Démocratique du Congo, Joséph Kabila veut plaider sa cause auprès du pape François ? D'après beaucoup d'analystes politique qui se terrogent sur le dialogue politique en cours dépuis quelques jours, entre les membres dela majorité, et ceux del'opposition politique, à Kinshasa, la capital du pay. !

Le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila, passera par Rome, et plus particulièrement par le Vatican, en se rendant à New York pour l'ouverture de la 71e Assemblée générale des Nations unies. Objectif : une audience avec le pape François pour tenter d'apaiser une situation de plus en plus tendue entre le pouvoir en RDC et le Vatican. Depuis un mois et le dernier massacre de civils, le 13 août à Béni, dans l'est du Congo, le nonce apostolique Monseigneur Luis Mariano Montemayor a multiplié les critiques ouvertes sur la gestion du pouvoir en place en RDC. Non seulement pour les massacres à répétition dans l'est du pays mais également pour la gestion du dialogue national qui doit permettre l'organisation d'élections crédibles et apaisée dans ce pays. En se rendant à Béni, le nonce apostolique argentin, arrivé en RDC en juin 2015, considéré comme très proche du pape, n'a pas mâché ses mots pour fustiger l'inaction du pouvoir en pla

Avec Dieu nous ferons d'éxploit in god we trust disent les américains ! Malgré les tensions, Washington octroie 38 milliards de dollars d'aide militaire à Israël selon une source del' (AFP13/09/16). !

Si l'objectif principal affiché de l'accord sur le nucléaire est d'empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique, les États-Unis espèrent aussi que Téhéran revienne progressivement dans le concert des nations, notamment pour tenter de stabiliser les conflits au Moyen-Orient. - Dégel Etats-Unis/Iran - Voulu par le président Barack Obama, ce règlement historique sur le nucléaire iranien a été interprété comme une amorce de dégel entre Washington et Téhéran, dont les relations diplomatiques sont rompues depuis 1980. Un rapprochement au grand dam des alliés historiques de l'Amérique, Israël et l'Arabie saoudite. De fait, les discussions américano-israéliennes sur l'aide militaire se sont tenues dans un climat de rare défiance qui caractérise les relations entre l'administration Obama et le gouvernement Netanyahu depuis des années. Le coup de froid, qui avait commencé en 2012, a culminé en 2015 dans la dernière ligne droite des négociations avec l'