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Affichage des articles du septembre 16, 2016

Edem Kodjo : Un militant de la démocratie de première heure, selon Julien Kahongya le gouverneur dela province du Nord-Kivu en République Démocratique du Congo. !

En acceptant une mission qu'il savait pourtant lui-même délicate, Edem Kodjo a fait preuve d'africanisme qu'il incarne tout au long de sa carrière politique et diplomatique. Il n'a pas hésité un seul instant à répondre à l'appel de l'Union africaine (UA) pour venir à la rescousse d'un pays africain en proie à des convulsions politiques. Un pays dont il connait parfaitement bien la position géostratégique dans le continent. En dépit des attaques verbales virulentes dirigées contre lui par quelques politiciens dont certains ont surtout péché par l'excès de langage pour dire que « ce Togolais là doit rentrer chez lui, il a échoué », Edem Kodjo, sans être ému, profondément attaché à la paix du Congo, a pu, contre vents et marées, tenir bon pour faire démarrer le dialogue national tant attendu par le peuple congolais. Ce qui a été fait. Et comme qui dirait « le chien aboie, la caravane passe ». Surpris par sa détermination d'aider ses frères congolais

Nouvel traque des rébélles Ougandais du groupe ADF, ce dernier temp, porte ses fruits, à partir du 12 au 16 septembre 2016 dans l'opération Sukula 1 Nord, qui se déroule dépuis quelques jours, dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo. D'après une source millitaire dans la région, du vendredi 16 septembre 2016, qui a précisé que, lors de dernier combats, entre les millitaires Fardc et les Rébélles Adf, sept combattants de l'Adf tués, 1 lampe-torche, 4 armes individuel du type Ak47, 1 panneau solaire, deux bombes artisanales, 1 demi maillots de munitions de 12, 7, des baches, et des documents importants récupérés à All-Space situé, dans la brousse del'Est d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni. selon le porte parole d'opération Sukula 1 Nord Mac Azukay. Maman Sidikou, chef de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), a appelé lundi dernier, à changer des stratégies contre les rebelles au Nord-Kivu afin de stopper les massacres des civils congolais. "La compassion ne suffit plus. Nous comptons les morts et ça ne peut plus durer. Il faut changer de stratégie", a-t-il déclaré à Béni (est) en compagnie du nonce apostolique en RDC, Mgr Luis Mariano Montemayor. Dès leurs arrivée à Béni, les deux hommes se sont rendus sur les lieux du récent massacre, qui a fait plus de 50 morts à Rwangoma, un village situé à 6km au sud-est de Béni de Beni ville. Mgr Montemayor a exhorté le gouvernement congolais et les Nations Unies à "faire plus pour empêcher les tueries à Béni". Une prière a par ailleurs été donnée pour le repos des victimes. Des milliers des personnes ont déjà trouvé la mort dans les attaques attribuées aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région. Le chef de l'Etat congolais Joseph Kabila avait qualifié le massacre de Béni de "pur terrorisme qui n'est pas différent de celui de la France et la Belgique", demandant aux partenaires de la RDC de prêter attention à la situation dans l'est de son pays. En République démocratique du Congo, la société civile de Beni réclame une nouvelle opération Artémis pour enrayer les tueries dans son territoire. Deux ans de massacres. Il y a quelques jours, en périphérie de la ville, plus d'une cinquantaine de personnes selon l’ONU avaient été tuées, provoquant une vague de colère sans précédent. Le nonce apostolique, Monseigneur Montemayor, et le chef de la Monusco, Maman Sidikou, ont donné leur point de vue sur ce qu'il fallait changer. Et ils n'ont pas mâché leur mot. Pour l'envoyé du Pape François, c'est avant tout à l'armée congolaise, au gouvernement, de faire plus : « Il n’y personne, Français, Monusco, ou n’importe qui d’autre, qui peut faire ce que l’Etat congolais doit faire. Ce qui s’est passé, c’est un défi direct à l’autorité du président de la République. Il venait de promettre de nous apporter la paix. » Monseigneur Montemayor demande également à la Monusco de respecter son mandat de protection des civils, mais le Vatican entend interpeller aussi le Conseil de sécurité de l’ONU : « Nous ne sommes pas membres du Conseil de sécurité, mais ils ont tendance à dormir un petit peu. On va les réveiller. Nous sommes observateurs et nous avons le droit d’interpeller le Conseil de sécurité. »

Les millitaire dela Brigade d'intervation des Nations-Unies présent à Oicha, étaient entrain, de largués des bombes avec des armes lourde, contre les inciviques, Adf qui se sont, rétrachés dans la brousse dela partie Est d'Oicha, à partir du Village Matombo, situé dans le Nord-Est d'Oicha. D' après les habitants de cette parti, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot, dans le Sécteur de Beni-Mbau, en groupement

Le Dialogue national entre les membres dela majorité, et ceux del'opposition politique en République Démocratique du Congo tire à sa fin, àl'avantage de tout les participants. Les participants travaillent sur le texte final de l’accord politique qui devra inclure la formation d’un gouvernement d’Union nationale. Entre-temps, Amnesty International accuse Kinshasa de mener une répression systématique contre les opposants. Un gouvernement d’union nationale sera mis sur pied pour préparer la tenue des élections, a annoncé mercredi le ministre congolais de la Justice Alexis Thambwe à la tête des représentants du pouvoir au dialogue national. Selon Reuters, opposants et membres de la majorité au pouvoir ont accepté le principe en même temps qu’ils se sont mis d’accord sur la tenue couplée des différentes élections. "Le gouvernement sera réformé. Nous mettrons en place un gouvernement que nous co-gérerons entre la majorité présidentielle,l’opposition et la société civile ", a déclaré M. Mwamba cité par Reuters. !

Les négociateurs du "dialogue national" congolais ont annoncé mercredi à Kinshasa avoir trouvé un accord sur la "séquence des élections" à venir en République démocratique du Congo, mais sans fixer de date Cet accord doit permettre la reprise des travaux de ce forum jeudi après-midi. La délégation de l'opposition avait suspendu sa participation au dialogue lundi en faisant valoir une divergence de vue "non négociable" avec la majorité sur la priorité à accorder à l'élection présidentielle. Aux termes de l'accord, "la présidentielle, les législatives nationales et les législatives provinciales (…) se dérouleront exactement le même jour", a déclaré à la presse le ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, comodérateur du dialogue pour le compte de la Majorité présidentielle. "Nous avons retenu d’un commun accord que la séquence présidentielle, législatives nationales et provinciales (…) doit se passer le même jour", a c

Les membres dela société civile noyau d’Oïcha, chef lieu du térritoire de Beni, sont très très satisfaite du renforcement des effectifs de la Police, dans cette partie dela province du Nord-Kivu, en proie d'insécurité grandissante ce dernier temp, précisement, àl'Est dela République Démocratique du Congo. !

« Grâce au renforcement des effectifs des FARDC et ceux de la Police, les populations ont regagné, en grande partie, leurs milieux respectifs », s’est réjoui M. Kambale Saliboko qui a appelé les habitants de la cité d’Oïcha à la vigilance qui passe par la collaboration étroit avec les forces de sécurité pour que soit mis en déroute totale l’ennemi. La présence massive des éléments de sécurité, a-t-il apprécié, constitue un ouf de soulagement pour la population appelée à mener de manière régulière et sécurisée ses activités quotidiennes. La société civile de la cité d’ Oïcha, chef-lieu du territoire, a exprimé sa satisfaction pour le renforcement des effectifs militaires et policiers dans cette contrée en particulier et dans la ville et le territoire de Beni, a indiqué à l’ACP le Président de cette structure, M. Kambale Saliboko, joint le mercredi au téléphone. Selon cet acteur des forces vives, l’acte posé par le haut commandement de l’armée et de la police constitue une preuve de l