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Affichage des articles du mars 13, 2016

Ingérence dans les affaires intérieur dela République Démocratique du Congo, et dossier, de violation des droits del' homme en ce jours, àla veil des élections, prévue vers la fin del' année 2016. l' Union européenne en couteau tiré avec le gouvernement. Dans une déclaration rendue publique le 8 mars 2016 au nom des pays membres, la délégation de l’Union Européenne en RDC avait invité le Gouvernement congolais à respecter les prescrits des lois congolaises et des conventions internationales auxquelles la RDC est partie en matière des droits de l’homme en général, et des libertés publiques en particulier, en cette période préélectorale. Cet appel avait résonné comme une accusation portée contre la RDC pour des atteintes aux droits de l’homme. Pour réagir à cette déclaration, le Gouvernement congolais, par la voix de son porte-parole, Lambert Mende, a recadré les européens en leurs rappelant le principe de la séparation des pouvoirs qui empêche au Gouvernement d’interférer dans l’administration de la justice.

Mende a souligné, en rapport avec les injonctions des occidentaux tendant à pousser les Congolais à chambouler l’ordre institutionnel, que «l’Etat de droit ne gagne rien lorsque les institutions qui en sont le socle sont systématiquement galvaudées, discréditées et en fin de compte fragilisées au lieu de bénéficier régulièrement d’informations pouvant leur permettre de mieux rendre à la communauté nationale les services qu’elle est en droit d’en attendre. D’où la nécessité d’une coopération positive qui reste notre principale revendication de la part de nos partenaires ». Ci-dessous l’intégralité de la déclaration de Lambert Mende. POINT DE PRESSE DU GOUVERNEMENT JEUDI 10 MARS 2016 Mesdames et Messieurs de la presse, À Deux jours de la célébration de la 41èmeédition de la journée internationale de la femme, je voudrais souhaiter un heureux mois de mars à toutes les Congolaises qui ne cessent d’œuvrer pour la dignité, la paix et le développement de notre pays. Mes vœux s’adressent

Nord-Kivu : les habitants de la localité de Kise dans le térritoire de Rutsuru, sont pour le moment dans un climat des tension. D' après une source du président dela société civile Ville de Butembo, c'est suite à une nouvel attaque des rébélles idatifié au groupe des hommes armée des FDLR, samedi 12 mars 2016. Bilan, provisoire, fait état d' un chauffeur et son convoyeur tués, lors d'une embuscade d'un fuso tombé entre les mains de ces coupeurs de route. Signaions ici bas que, ce vehicule été en route de Vitchumbi pour le marché de Kibingu. Les camionneurs voullaient se rendre à KISE, 8 Km de KIBIRIZI, en passant par KIRIMA dans la chefferie de BWITO pour transporter les roseaux avant de recuperer les passagers à Kibingu au retour. La Monusco, aussi, appuie toutes les bonnes initiatives visant à mettre un terme au conflit entre les Nande et Hutu dans les territoires de Rutshuru et de Lubero au Nord-Kivu. Le porte-parole de la mission onusienne, Felix Prosper Basse l’a affirmé mercredi 9 mars, en réaction.

Conflit entre les Hutu et les Nande une mission de médiation et de sensibilisation composée des députés, de chefs coutumiers et de quelques représentants de la société civile sous la conduite de l’opposant Vital Kamhere, président de l’Union pour la nation congolaise (UNC). Intervenant lors de la conférence hebdomadaire de l’Onu à Kinshasa, Felix Prosper Basse a déclaré: «Au niveau de la Monusco, toutes les initiatives ont été lancées pour faciliter le dialogue intercommunautaire par les autorités provinciales, locales, coutumières et religieuses interposées. Nous appuyons aussi toutes les autorités et toutes les bonnes initiatives pour que très rapidement la coexistence pacifique qui a toujours prévalu puisse continuer.» Il a confirmé que la délégation conduite par Vital Kamhere était en train de sillonner aussi bien la province du Nord-Kivu que Kinshasa, pour que la paix revienne entre Nande et Hutu. « Cette délégation a rencontré le Représentant spécial du Secrétaire général des

RDC : la tenue du dialogue toujours en faveur de la majorité présidentiel ? Ce forum national est incontournable selon un acteur politique. Pour quelques membres de l’ opposition républicaine, du président Leo Kengo Wa Dondo ce n’est plus le moment de se donner aux intérêts égoïstes. Le dialogue politique inclusif initié et convoqué par le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, demeure incontournable, selon Hubert Mongane Mbaka, acteur politique de l’Opposition républicaine, au cours d’un point de presse, jeudi à Kinshasa « En tant qu’acteur politique, j’estime que nous devons nous référer au passé, car au regard de tout ce que le pays a connu comme troubles de guerre et autres manifestations sanglantes, ce n’est plus le moment de se donner aux intérêts égoïstes », a déclaré M. Mongane. Il s’agit, a-t-il poursuivi, d’avoir pitié de notre peuple qui a longtemps souffert suite aux guerres récurrentes, avec comme résultats : les violences sexuelles, les viols, les assassinats ainsi que les pillages.

Le Dialogue politique doit à tout prix se tenir dans un délai raisonnable, à savoir, en tenant compte des aspirations du peuple. Me Tunda Ya Kasende l’a dit en émettant un avis favorable au respect du délai constitutionnel qui doit provenir du peuple. Une équivoque qu’il a levée pour éclairer lanterne après le passage de Ban Ki-moon à Kinshasa. Vice-ministre honoraire des Affaires étrangères, Me Célestin Tunda Ya Kasende a suivi avec attention la récente tournée du Secrétaire général des Nations unies dans les Grands Lacs. Analyste politique et spécialiste de l’Afrique centrale, il commente le séjour de Ban Ki-moon dans la région, et particulièrement en République démocratique du Congo. A travers cette interview, ce fin connaisseur des Grands lacs met un accent particulier sur l’opportunité du Dialogue national inclusif et sur les échéances électorales en vue. Occasion aussi pour ce juriste rompu autant à la théorie qu’à la pratique du droit de lever l’équivoque sur la notion du déla