Politique dela majorité en Rdc : Dans un point de presse tenu mardi au siège de la Majorité présidentielle, son porte-parole, l’ambassadeur André-Alain Atundu, a fixé l’opinion sur des informations inexactes et d’intoxications distillées dans la population dans une tentative politique immorale de prendre le peuple et la démocratie en otage. Atundu a, à cette occasion, indiqué que la requête adressée à la Cour constitutionnelle par plus de 300 députés dont une bonne cinquantaine de l’opposition concerne, le « recours en interprétation de l’article 70 de la Constitution du 28 février 2006 en relation avec les articles 75, 76, 103, 105 et 197 » Selon lui, l’article 70 qui provoque la colère des traitres et des opportunistes, particulièrement dans son appendice qui semble poser problème à ses consciences subitement bonnes, n’a jamais été un cas de conscience ni pour l’honorable Mwando, alors président de la PAJ, ni pour l’honorable Kamitatu alors Président de l’Assemblée nationale lors des discussions à la PAJ.
A l’en croire, la seule observation présente aussi bien dans le rapport de la PAJ que dans la synthèse du débat général sur l’avant-projet de Constitution de la Rd Congo en avril 2005, est la suivante : article 71 ancien 70, « …Un deuxième alinéa a été ajouté pour que le Président de la République sortant puisse rester en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau Président élu, afin d’éviter le vide institutionnel ». « Hélas, cette disposition qui a été prise et décidée in tempore non suspecto, c’est-à-dire, en 2005, au moment où ils n’avaient aucune visée présidentielle, fait actuellement l’objet de chantage et de tentative de marchandage », souligne-t-il, tout en demandant à l’opinion de décider de quel côté se trouve un agenda caché ! Mais il est évident, dans ces conditions, que le Président en exercice soit tenu de résister sur base de l’article 64 à tout prétendant téméraire ou maître chanteur qui ne respecterait pas les prescrits de la loi pour accéder au pouvoir sup...