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Affichage des articles du avril 20, 2016

Politique dela majorité en Rdc : Dans un point de presse tenu mardi au siège de la Majorité présidentielle, son porte-parole, l’ambassadeur André-Alain Atundu, a fixé l’opinion sur des informations inexactes et d’intoxications distillées dans la population dans une tentative politique immorale de prendre le peuple et la démocratie en otage. Atundu a, à cette occasion, indiqué que la requête adressée à la Cour constitutionnelle par plus de 300 députés dont une bonne cinquantaine de l’opposition concerne, le « recours en interprétation de l’article 70 de la Constitution du 28 février 2006 en relation avec les articles 75, 76, 103, 105 et 197 » Selon lui, l’article 70 qui provoque la colère des traitres et des opportunistes, particulièrement dans son appendice qui semble poser problème à ses consciences subitement bonnes, n’a jamais été un cas de conscience ni pour l’honorable Mwando, alors président de la PAJ, ni pour l’honorable Kamitatu alors Président de l’Assemblée nationale lors des discussions à la PAJ.

A l’en croire, la seule observation présente aussi bien dans le rapport de la PAJ que dans la synthèse du débat général sur l’avant-projet de Constitution de la Rd Congo en avril 2005, est la suivante : article 71 ancien 70, « …Un deuxième alinéa a été ajouté pour que le Président de la République sortant puisse rester en fonction jusqu’à l’installation effective du nouveau Président élu, afin d’éviter le vide institutionnel ». « Hélas, cette disposition qui a été prise et décidée in tempore non suspecto, c’est-à-dire, en 2005, au moment où ils n’avaient aucune visée présidentielle, fait actuellement l’objet de chantage et de tentative de marchandage », souligne-t-il, tout en demandant à l’opinion de décider de quel côté se trouve un agenda caché ! Mais il est évident, dans ces conditions, que le Président en exercice soit tenu de résister sur base de l’article 64 à tout prétendant téméraire ou maître chanteur qui ne respecterait pas les prescrits de la loi pour accéder au pouvoir sup

Nord-Kivu : la présence des groupes armé étrangers en ces jours, constitue un danger pour la population : Dans son édition du 13 avril 2016, benilubero.com a alerté l’opinion tant nationale qu’internationale sur la grave décision du gouverneur du Nord-Kivu, consistant à violer l’intégrité du pays ! Beaucoup se sont demandé si le gouverneur agissait seul ou s’il ne faisait qu’exécuter un ordre qui lui serait venu d’ailleurs ! Pour Benilubero.com, Julien Paluku ne faisait que mettre en exécution le plan d’invasion du Nord-Kivu longtemps pensé. Nous sommes en 2010. On prépare les élections de 2011. Herman Cohen, L’ancien Sous Secrétaire d’Etat américain chargé des affaires africaines dans l’Administration Bush entre 1989 et 1993, accorde une interview sur la situation en Afrique, et d’une manière particulière en R.D. Congo. Dans cette interview, Mr Herman avec un franc-parler, aborde plusieurs points qui nous interpellent aujourd’hui. J’en retiens quatre principalement, vu la situation qui prévaut aujourd’hui dans le pays et au Nord-Kivu en particulier.

La vie reprend son cours normal peu à peu à Eringeti localité, situé à 50 km de Beni ville après, sa destruction par les ADF. Le kidnapping on a parle encore en groupement de binza dans le territoire de rutshuru au Nord kivu, deux hommes respectivement préfet d'un institut et un agent de l’ANR ont été kidnappés ce mardi sur l’axe routier kiwanja ishasha par des éléments présumées ADLR. Nos sources sur place révèlent que monsieur MUMBERE Ezéchiel préfet des études à l’institut kasisi située aux environ dix kilomètres de la cité de nyamilima à été appréhendé aux environs 8h lorsqu’il se rendait à son lieu du travail par ces bouros et diriger dans une destination inconnue dans la brousse pour l’heure ces ravisseurs envisage une rançon de 5000dollars américains pour sa libération . Par contre l’autre otage agent de l’ANR a été kidnappé aux environs de 11h à 2kilometre de kisharo localité située au environs 30 kilomètre de la cité de kiwanja, ces mêmes informati

Économie dela Rdcongo : Le premier ministre, Augustin Matata Ponyo, estime dans son livre intitulé «Pour un Congo émergent», qu’il faut se servir des expériences d’autres pays, particulièrement les pays émergents, dans le processus de transformation de la société. Le premier ministre Augustin Matata Ponyo estime dans son livre intitulé «Pour un Congo émergent», qu’il faut se servir des expériences d’autres pays, particulièrement les pays émergents, dans le processus de transformation de la société. Forcément écrit-il, «cela permettra à la RDC d’éviter de répéter certaines erreurs, de déceler les causes et les conséquences ainsi que les risques associés à l’industrialisation des sociétés, pour mieux contrôler notre propre avenir». Il précise que dans cette démarche, «nous devrons cependant nous nourrir de nos erreurs, de notre histoire, pour bâtir le Congo dont les générations futures seront fières» souligne-t-il en paraphrasant le philosophe Socrate qui disait «Connais-toi toi-même».

La Banque mondiale indique dans son rapport publié récemment sur la RDC, que la politique suivie par le gouvernement a permis au pays de renouer avec la stabilisation du cadre macroéconomique et la croissance. La Banque mondiale indique dans son rapport publié récemment sur la RDC, que la politique suivie par le gouvernement a permis au pays de renouer avec la stabilisation du cadre macroéconomique et la croissance. Selon ce rapport publié au cours du troisième trimestre 2015 par « le département de la gestion macroéconomique et budgétaire pour la région Afrique » et parvenu jeudi à l’ACP, la RDC a réussi à rompre avec un passé marqué par l’hyperinflation, les déficits publics et l’endettement. Le pays a ramené l’inflation en dessous de la barre de 40% depuis 2012 et la balance du budget sur ressources domestiques est devenue excédentaire. Les réserves en devises ont été reconstituées. Dans ce contexte, la stabilité macroéconomique, les investissements, notamment dans le secteur

En République Démocratique du Congo, la police nationale a dispersé mercredi à Lubumbashi, dans le sud-est de la RD Congo, quelque plus de 5.000 opposants hostiles à un troisième mandat du président Joseph Kabila ou à un report de la présidentielle au delà de novembre 2016, a constaté un correspondant de l'AFP. Un groupe d'environ 5.000 personnes s'était rassemblé aux abords du siège provincial de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec), parti de l'opposant Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, avant d'être dispersé par la police à coup de grenades lacrymogènes vers 09h30 (07h30 GMT). "Kabila doit partir", "venez nous tuer, nous sommes fatigués" du régime, scandaient en swahili ces opposants, des jeunes gens essentiellement, jetant des pierres aux forces de l'ordre. Interrogé par l'AFP, le général Jean-Bosco Kalenga, commandant provincial de la police, a déclaré que la police était "en train de disperser les délinquants qui perturbent l'ordre public", promettant de faire un bilan plus tard.

Le chef d'un parti d'opposition a accusé le pouvoir de soutenir des "actes anti-démocratiques" en République démocratique du Congo, après le saccage du siège de sa structure par un groupe d'individus mardi à Kinshasa. "Je suis profondément choqué par ces actes anti-démocratiques commis par des personnes qui bénéficient de la protection du pouvoir en place", a déclaré Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec), joint à Lubumbashi (sud-est de la RDC). Mardi après-midi à Kinshasa, "un premier groupe de six personnes a escaladé le mur de la parcelle, avant d'arracher nos insignes, déchirer les drapeaux du parti et du G7 [regroupement de sept parti d'opposition, ndlr], mais aussi l'effigie" de M. Kyungu, a expliqué à l'AFP Amisi Binti, secrétaire au siège de l'Unafec, témoin de l'événement. Selon Mme Amisi, un groupe plus important "d'hommes et de femm

Les États-Unies d' Amérique : le Dossier de bombardement de World-Trade Center par Bin-Laden : Déja Fortes tensions entre Washington et Ryad suite au projet de loi américain lié au 11 septembre : Déjà annoncée comme délicate, la visite de Barack Obama cette semaine à Ryad sera rendue encore plus épineuse par un projet de loi qui permettrait de mener les dirigeants saoudiens devant des tribunaux américains pour les attentats du 11-Septembre. Ce texte, soutenu par des démocrates et des républicains, n'a pas encore été soumis à un vote au Congrès mais suscite déjà des tensions. Selon le New York Times, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a averti des élus, lors d'une visite à Washington le mois dernier, de possibles conséquences coûteuses s'il était adopté. Le quotidien affirme qu'il a notamment menacé de vendre quelque 750 milliards de dollars en bons du Trésor américain et autres biens détenus aux Etats-Unis. Si elle était adoptée, cette loi permettrait aux familles des victimes du 11 septembre 2001 de poursuivre, notamment, le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Aucune implication de l'Arabie saoudite n'a jamais été démontrée mais 15 des 19 pirates de l'air étaient Saoudiens.Fortes tensions entre Washington et Ryad suite au projet de loi américain lié au 11 septembre : Déjà annoncée comme délicate, la visite de Barack Obama cette semaine à Ryad sera rendue encore plus épineuse par un projet de loi qui permettrait de mener les dirigeants saoudiens devant des tribunaux américains pour les attentats du 11-Septembre. Ce texte, soutenu par des démocrates et des républicains, n'a pas encore été soumis à un vote au Congrès mais suscite déjà des tensions. Selon le New York Times, le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a averti des élus, lors d'une visite à Washington le mois dernier, de possibles conséquences coûteuses s'il était adopté. Le quotidien affirme qu'il a notamment menacé de vendre quelque 750 milliards de dollars en bons du Trésor américain et autres biens détenus aux Etats-Unis. Si elle était adoptée, cette loi permettrait aux familles des victimes du 11 septembre 2001 de poursuivre, notamment, le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Aucune implication de l'Arabie saoudite n'a jamais été démontrée mais 15 des 19 pirates de l'air étaient Saoudiens.

La Maison Blanche est opposée à cette loi ("Justice Against Sponsors of Terrorism Act") et a averti que M. Obama opposerait son veto à ce texte s'il était voté par le Congrès. "Note inquiétude par rapport à cette loi n'est pas liée à son impact sur nos relations avec un pays en particulier, elle est liée à un principe important du droit international : l'immunité des Etats", a souligné lundi Josh Earnest, porte-parole de l'exécutif américain. Remettre en cause ce principe pourrait, "si d'autres pays adoptaient une loi similaire, représenter un risque significatif pour les Etats-Unis, nos contribuables, nos militaires et nos diplomates" a-t-il souligné. Ce principe "permet aux pays de résoudre leurs différends grâce à la diplomatie et non pas à travers les tribunaux", a-t-il insisté. Barack Obama rencontrera mercredi le roi Salmane à Ryad avant de participer jeudi à un sommet avec les pays du Conseil de coopération du Golfe

RDC : dossier la fin du mandat du président dela République Joséph Kabila Kabange continue à faire couler des encres et des salives au sein des classe politique en ces jours : après la pétition des deputés nationaux, dela majorité présidentiel, l' opposition Rejeter la pétition de la MP Dans le Haut-Katanga, les partis membres de l’opposition politique et leurs alliés demandent à la Cour constitutionnelle de la RDC de rejeter la pétition déposée lundi 18 avril par environ 200 députés de la MP portant sur l’interprétation de l’article 70 de la Constitution. Ils ont formulé cette demande à l’issue de leur rencontre tenue mardi 19 avril à Lubumbashi.

Pour sa part, la Dynamique, del' opposition et la société civile veullent faire échouer, la tenue du dialogue. Les radicaux de l’opposition passent à l’offensive en cherchant à exacerber les inquiétudes des Congolais en ce moment où le facilitateur du dialogue s’apprête à publier la composition du comité préparatoire. Ce mode de communication ayant conduit au chaos par le passé les auteurs des tracts lancés aujourd’hui à Kinshasa, Lubumbashi et Goma devront en porter l’entière responsabilité. Les Kinois qui sont sortis aux petites heures de ce lundi 18avril 2016 ont trouvé, aux coins de leurs rues, des tracts signés par la plate-forme politique « Dynamique de l’opposition ». Cette plate-forme appelle la population à barrer la route. Le climat politique dans le pay est très tendu après les élections du 28 novembre 2016 àla quel Joséph Kabila a gagné face à cette situation, J. Kabila prépare une sortie de voyage à Paris et Washington pour représenter, engager et défendre les intérêts

Vers un climat des tensions politique en Rdc, entre la majorité, et l' opposition, avant les élections du novembre 2016 : Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec) Le chef d'un parti d'opposition a accusé le pouvoir de soutenir des "actes anti-démocratiques" en République démocratique du Congo, après le saccage du siège de sa structure par un groupe d'individus mardi à Kinshasa. "Je suis profondément choqué par ces actes anti-démocratiques commis par des personnes qui bénéficient de la protection du pouvoir en place", a déclaré Antoine-Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l'Union nationale des fédéralistes du Congo (Unafec), joint à Lubumbashi (sud-est de la RDC). Mardi après-midi à Kinshasa, "un premier groupe de six personnes a escaladé le mur de la parcelle, avant d'arracher nos insignes, déchirer les drapeaux du parti et du G7 [regroupement de sept parti d'opposition, ndlr], mais aussi l'effigie" de M. Kyungu, a expliqué à l'AFP Amisi Binti, secrétaire au siège de l'Unafec, témoin de l'événement.

Selon Mme Amisi, un groupe plus important "d'hommes et de femmes", dissidents de l'Unafec, accompagnés de quelques hommes en "tenue de la police" a ensuite fait irruption, "lançant des insultes et menaces" contre M. Kyungu. Des témoins affirment avoir vu un groupe de gens "enlever" ou "déchirer" les symboles de l'Unafec. "Le pouvoir non seulement a créé les doublons des partis politiques, il leur donne aussi la mission de vandaliser, de saccager" ce qui appartient aux "adversaires politiques", s'est emporté M. Kyungu, un des dirigeants du G7. Interrogé par l'AFP, le porte-parole de la police, le colonel Pierrot Mwana Mputu a indiqué avoir été informé de la situation par un témoin et que les "ordres ont été donné à la police de s'enquérir de la situation". Selon Bertin Gildard Kanunu, un des responsable de l'Unafec et du G7 à Kinshasa, "la police est effectivement descend

La Corée du Nord capable de se doter des missiles intercontinentaux : Le général américain Vincent Brooks a, lors d'une audition devant la commission des Forces armées du Sénat, tiré la sonnette de l’alarme sur les capacités de la Corée du Nord de se doter des missiles balistique capables d'atteindre les Etats-Unis. "On voit très clairement dans les défilés ce qu'ils ont fait, les systèmes qu'ils ont et certains essais (...). Avec le temps, nous allons les voir acquérir ces capacités si on ne les arrête pas", a affirmé le général Vincent Brooks. Le responsable militaire répondait à une question sur la capacité de la Corée du Nord à concevoir des missiles intercontinentaux, c'est-à-dire capables par exemple d'atteindre les Etats-Unis. Le sénateur John McCain, qui préside cette commission, a demandé au général Brooks ce qu'il pensait de "l'immaturité et de l'imprévisibilité du dirigeant replet de Pyongyang". "Je suis très préoccupé de la direction qu'il prend, et c'est sûr.

Le leader nord-coréen Kim Jong-Un a brandi la menace nucléaire en réaction à la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui alourdit nettement les sanctions internationales contre Pyongyang. Le leader nord-coréen Kim Jong-Un a brandi la menace nucléaire en réaction à la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU qui alourdit nettement les sanctions internationales contre Pyongyang. De son côté, le gouvernement sud-coréen a annoncé qu'il allait commencer vendredi à discuter avec les Etats-Unis du déploiement sur son sol d'un bouclier antimissile américain, une éventualité à laquelle la Chine, principal soutien de Pyongyang, s'oppose. "Nous devons être toujours prêts à chaque instant à utiliser notre arsenal nucléaire", a déclaré Kim, cité vendredi par l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA. Il a également averti que la situation dans la péninsule divisée s'était tellement déteriorée que la Corée du Nord devait changer de stratégie m

Rdc : Dynamique, del' opposition pour faire échouer, la tenue du dialogue, les radicaux de l’opposition passent à l’offensive en cherchant à exacerber les inquiétudes des Congolais en ce moment où le facilitateur du dialogue s’apprête à publier la composition du comité préparatoire. Ce mode de communication ayant conduit au chaos par le passé, les auteurs des tracts lancés aujourd’hui à Kinshasa, Lubumbashi et Goma devront en porter l’entière responsabilité. Les Kinois qui sont sortis aux petites heures de ce lundi 18avril 2016 ont trouvé, aux coins de leurs rues, des tracts signés par la plate-forme politique « Dynamique de l’opposition ». Cette plate-forme appelle la population à barrer la route, par tous les moyens, au dialogue inclusif dont elle accuse le modérateur actuel, le Togolais Edem Kodjo, d’être au service du pouvoir pour obtenir le « glissement ». Elle invite aussi la population à faire bloc pour le respect de la Constitution afin que soient organisées les élections dans les délais prévus.

Nos sources indiquent que ce même mode de communication, le tract, s’est observé dans deux autres points politiquement chauds du pays, à savoir Lubumbashi et Goma. Au-delà de l’antienne de l’opposition campée sur son discours extrémiste, cette démarche charrie une opération de subversion visant à semer la panique et la tension au sein de la population. L’objectif machiavélique est de créer des conditions qui entreverraient toute possibilité de débloquer la situation afin de relancer le processus électoral pour des élections apaisées. En effet, le moment choisi pour cette forme de communication n’est pas fortuit par rapport à l’objectif de subversion. La « Dynamique de l’opposition a lancé ces tracts en ce moment même où le modérateur désigné par l’Union Africaine s’apprête à publier la composition du comité préparatoire du dialogue. Elle l’a lancé aussi en cette période d’emballement du taux de change dont la population s’inquiète quant à son impact éventuel sur son vécu quotidien.

Norbert Basengezi Katintima, Vice-président de la Ceni en Rdc, a été, dans le cadre du Partenariat avec les Eglises du Congo, devant les présidents provinciaux du Synode et cadres de l’Eglise du Christ au Congo, réunis à Shaumba. Il a échangé avec eux sur certains points d’actualité ayant trait au processus électoral, notamment, sur le calendrier électoral, le fichier électoral, les défis électoraux de la Ceni, de l’argent payé par les candidats Députés provinciaux etc. Pour une bonne compréhension, il a distribué des documents détaillés avec des réponses sur toutes les préoccupations de la population en province. En substance, il a rappelé que la Ceni a déjà publié trois calendriers rejetés par la classe politique. Ce sont là, les trois aléas qui ont occasionné le retard du processus électoral. Le même aléa, c’est l’enrôlement des électeurs. Ailleurs, dit-il, dans d’autres pays de vielle démocratie, c’est l’état-civil qui s’en occupe. Devant tout le Comité exécutif national de l’Eglise du Christ au Congo (ECC);

Toutes les questions liées au fichier électoral qui est présenté comme préalable majeur pour l’aller aux élections, ont été abordées. Selon Norbert « Basengezi, Vice-président de la CENI, on ne peut pas aller aux élections sans électeurs », pout comme on ne peut pas une église sans fidèles. S’agissant de défis électoraux, il a énuméré, entre autres, les défis financiers, et logistiques. Comparativement aux autres années, où il y avait plus ou mois 70 avions, cette année aucun appareil n’est disponible pour le déploiement des matériels électoraux en provinces. Il a encouragé les éminences à garder espoir comme la Ceni a déjà lancé l’appel d’offre. Il a, à cette occasion, annoncé que les techniciens de la Ceni mettrons fin, des cette semaine, à ce processus d’appel d’offre. « Nous allons donc pendre en compte tout ce qui viendrait de leurs analyses techniques », a-t-il souligné en substance. En effet, entre l’église Protestante comme l’Eglise catholique ainsi que les Eglises de Réveil,

Présidentielle américaine, vers le mois de novembre - Donald Trump donné vainqueur républicain sans surprise de l'Etat de New York (Belga) Donald Trump est donné vainqueur de l'élection primaire républicaine organisée mardi dans l'Etat de New-York, ont annoncé mercredi à 03h00 (HB) les médias américaines sur base de projections. Le magnat de l'immobilier remporte une victoire confortable et attendue dans son Etat d'origine avec 69% des votes républicains, contre 18% pour John Kasich et 14% pour Tec Cruz, son principal rival, après le dépouillement de près de 10% des votes. Ces deux derniers n'avaient pas mobilisé beaucoup d'énergie pour inverser la tendance. Il y a 95 délégués en jeu pour les électeurs républicains dans cet Etat (2,7 millions d'inscrits), où sont aussi organisées les élections primaires démocrates (5,8 millions d'inscrit). Bernie Sanders et Hillary Clinton devront se départager 247 délégués, dont 44 super délégués. Mme Clinton mène pour le moment le jeu avec plus de 60% des votes à 9% de dépouillement des urnes.

À New-York 60% des voix pour républicaines pour le milliardaire. 57% des voix démocrates pour l'ex-secrétaire d'État. La primaire de New York a confirmé le statut des deux favoris pour la course à la Maison-Blanche. Publicité New York Donald Trumpespérait un triomphe, et c'est exactement ce qu'il a obtenu. En remportant la primaire si importante de New York, mardi, avec près de 60% des voix, il fait taire ses détracteurs, stratèges républicains et dirigeants du Grand Old party, qui espéraient ouvertement imposer une convention «arrangée» en juillet à Cleveland. «Ce n'est plus vraiment une course» La potion est amère pour ses deux derniers rivaux encore en lice, Ted Cruz et John Kasich, qui, comme prévu, se partagent les miettes du festin new-yorkais: le premier n'a jamais pu remonter son insigne maladresse sur «les valeurs de New York» évoquées ironiquement lors d'un débat en janvier, et se contente d'un score insignifiant (14%). Le second, qui n&#

Joseph Kabila Kabange prévoit de se rendre à Paris et à Washington pour préparer la fin de son mandat ? Difficile de savoir. Au sein de classe politique comme dans la majorité et l' opposition, les autres sont allés jusqu’à penser que le premier des Congolais se rend dans ces deux capitales pour se faire sermonner et recevoir des injonctions quant au respect de la Constitution et aux délais dits constitutionnels pour l’organisation de l’élection présidentielle. Pourtant, la période des voyages au-delà des tropiques pour négocier les conditions d’accès ou de maintien au pouvoir est révolue. Le peuple congolais qui a cessé d’être dupe sait quant à lui que le Chef de l’Etat est simplement dans l’exercice de ses fonctions conformément aux prérogatives lui reconnues par la Constitution. Il voyage pour représenter, engager le pays et défendre les intérêts de la Nation. Ci-dessous l’Editorial du Gouvernement du 18 avril 2016 : ÉDITORIAL DU 18 AVRIL 2016 De longue date, l’agenda du Président de la République Démocratique du
Congo Joseph Kabila Kabange prévoit pour bientôt un voyage officiel à
Paris et à Washington. L’objet essentiel de ce déplacement diplomatique en réponse à l’invitation
adressée au Chef de l’Etat par l’entremise de Madame Ségolène Royal,
Ministre française de l’Environnement est la signature des Accords issus
de la COP21 qu’elle préside sur les changements climatiques. Certains agitateurs voudraient voir dans ce voyage une convocation qui
serait adressée au Chef de l’Etat congolais pour aller se faire sermonner et
recevoir de ces deux capitales des injonctions quant au respect de la
Constitution et aux délais dits constitutionnels pour l’organisation de
l’élection présidentielle. A les entendre, un catalogue de questions
confectionnées par des fonctionnaires français et américains auxquelles tel
un étudiant devant ses examinateurs le Président congolais devra
répondre serait même déjà élaboré. Cette interprétation faite par ceux-là mêmes qui ont l’habitude de prendre
leurs désirs pour des réalités n’étonne pas outre mesure dans la mesure
où, à l’instar de leur situation individuelle arrimée à la volonté de leurs
maîtres à penser étrangers, ils voudraient aussi enchaîner le destin de
notre pays, la République Démocratique du Congo. Pourtant la période des
voyages au delà des tropiques pour négocier les conditions d’accès ou de
maintien au pouvoir est révolue. Le peuple congolais qui a cessé d’être dupe sait quant à lui que le Chef de
l’Etat est simplement dans l’exercice de ses fonctions conformément aux
prérogatives lui reconnues par la Constitution. Il voyage pour représenter et
engager le pays et défendre les intérêts de la Nation. La seule instance
devant laquelle le Président Kabila est tenue de répondre est le peuple
congolais auquel il est occupé à assurer la paix et un devenir meilleur sur
fond d’approfondissement de la démocratie.

Certains agitateurs politique, voudraient voir dans ce voyage une convocation. Quel avenir politique pour Kabila en 2016 ? RDC : COMMENT JOSEPH KABILA A ÉTÉ FAIT ROI Ce questionnement peut-être décliné sous plusieurs formes interrogatoires, à savoir : Joseph Kabila peut-il se présenter aux élections de 2016? Ou Joseph Kabila veut-t-il se présenter aux élections de 2016? Ou encore Joseph Kabila va-t-il se présenter aux élections de 2016? Joseph Kabila pourra-t-ilrespecter les dispositions de la Constitution? L’élection présidentielleaura-t-ellelieu en 2016 ? Mon questionnement résulte des quatre constats suivants : 1°) La plupart des Chefs d’États Africains ont la mauvaise réputation de s’éterniser au pouvoir, et sont devenus des champions des modifications des constitutions, taillées sur mesure, en vue de leur permettre de se maintenir indéfiniment au pouvoir, contre la volonté populaire, au de-là de leurs mandats initiaux. En conséquence, ils instaurent un pouvoir personnifié de fait

Joséph Kabila en voyage dans quelques jours, chez Husen Obama aux États-Unies, et chez François Hollande à France : un agenda caché ! le résident de la Joseph Kabila prévoit de se rendre à Paris et à Washington pour préparer la fin de son mandat. Ils sont allés jusqu’à penser que le premier des Congolais se rend dans ces deux capitales pour se faire sermonner et recevoir des injonctions quant au respect de la Constitution et aux délais dits constitutionnels pour l’organisation de l’élection présidentielle. Pourtant, la période des voyages au-delà des tropiques pour négocier les conditions d’accès ou de maintien au pouvoir est révolue. Le peuple congolais qui a cessé d’être dupe sait quant à lui que le Chef de l’Etat est simplement dans l’exercice de ses fonctions conformément aux prérogatives lui reconnues par la Constitution. Il voyage pour représenter, engager le pays et défendre les intérêts de la Nation. Ci-dessous l’Editorial du Gouvernement du 18 avril 2016 : ÉDITORIAL DU 18 AVRIL 2016 De longue date, l’agenda du Président de la République Démocratique du
Congo Joseph Kabila Kabange prévoit pour bientôt un voyage officiel à
Paris et à Washington. le pays en totaliserait 89 ! 1. Intérêt des Américains sur l’agenda du respect strict dela constitution, et des droits de l’homme en RDC. Il est un fait que, malgré la sérieuse répression politique en RDC, la communauté internationale traite le régime de Joseph Kabila avec des complicités étonnante par rapport au sort jadis réservé à Mobutu après le «massacre » de Lubumbashi, Moussa Dadis ou Laurent Gbagbo. Un constat similaire été posté sur You-Tube par Jean-Paul Epenge du « défunt » et triste M23. 2. Avoir certains éléments sur ce que les Américains étaient prêts à entreprendre si le président Kabila avait réussi à manœuvrer tout le monde et s’accrocher au pouvoir après l’expiration de son mandat le 19 décembre 2016 à minuit. 3. Réévaluer les soubassements de la logique de cette volonté souvent exprimée par l’administration Obama d’une alternance politique pacifique à la tête des institutions de la RDC et d’autres pays africains. Dans sa déclaration d’Accra (Ghana) de juillet 2009, le président américain a dit que « l’histoire est du côté des courageux africains, pas de ceux qui font des coups d’Etat ou changent les Constitutions pour se maintenir au pouvoir ». Ne vous étonnez donc pas que le coup manqué du Général Godefroid Niyombaré au Burundi n’ait pas suscité un élan de support des Occidentaux. «L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, elle a besoin d’institutions fortes » est devenu aujourd’hui un slogan. Est-ce le seul axiome qui justifie toutes ces démarches américaines et de leurs alliés contre le régime de Joseph Kabila ? Est-ce soudainement l’élan d’un réel amour que ces dominateurs du monde portent vers leurs anciens opprimés ? L’ancien Premier ministre Britannique Tony Blair avait un jour déclaré que «l’Afrique est une plaie qui interpelle la conscience de l’humanité toute entière». Serait-ce plutôt une nouvelle mascarade de « l’amour que le braconnier a pour l’éléphant ? » (1). C’est qui est d’emblée vrai, la relation entre l’Occident et le reste du monde -dont le maillon faible africain-demeurera encore pour longtemps une mixture de deux antagonismes : les différents courants d’humanisme et de solidarité face à la propension du Dominion (suprématie) et du contrôle d’autres peuples qui animent les différentes entités et personnalités de ces « grands » du monde. Un peu comme disait l’ancien président français Nicolas Sarkozy dans son discours fameux à l’Université Cheikh Anta-Diop (Dakar, Juillet 2007) : « Tous les colons n’étaient pas voleurs, tous les colons n’étaient pas des exploiteurs. Il y avait parmi eux des hommes de bonne volonté, des hommes qui croyaient remplir une mission civilisatrice, des hommes qui croyaient faire du bien ». Ce que j’ai appris des officiels en charge des dossiers sur la RDC. Cet article a comme socle ce que j’ai appris récemment au Département d’Etat américain des officiels en charge des dossiers sur la RDC. Loin de moi l’idée de croire et prétendre qu’ils pouvaient me livrer toutes les recettes sécrètes concoctées dans la cuisine de l’US Secret Service, la CIA ou d’autres agences comme la NSA (Agence Nationale de Sécurité) ou le CSS. Il y a néanmoins une logique persistante que j’ai décelée lors de mes passages à Harry S Truman Building (Washington D.C) en 2014 et en 2015. Une chose est aussi vrai, lorsque vous avez une conversation face-à-face avec des personnes le body image de chacune peut vous révéler si elle dit la vérité ou pas, surtout si vous lui posez des questions directes et inattendues comme je l’ai eu à la faire. La guerre administration Obama- Kabila : les intérêts américains. L’univers politique des Etats-Unis est divisé en deux grands blocs : démocrates et républicains. Souvent les intérêts de ces deux groupes sont identiques dans la politique extérieure surtout mais ils s’opposent parfois.

Complice : Le président des États-Unies Baraka Hussen Obama a reconnu la victoire de Joseph Kabila Kabange comme président élu de la R-dC. Trois mois après l’investiture de Joseph Kabila Kabange comme président de la République intervenue le 20 décembre 2011, l’ambassadeur des États-Unis à Kinshasa, James Entwistle, a déclaré le 16 février 2012 à Kinshasa lors d'une conférence de presse que le gouvernement américain reconnaît le président Joseph Kabila. «La position des États Unis est claire: nous reconnaissons Joseph Kabila comme président de la République Démocratique du Congo pour les cinq années à venir», a-t-il dit lors d’une conférence de presse à Kinshasa, selon ce qu’en rapporte l’agence Chine Nouvelle Xinhuanet dans une dépêche datée du 16 février 2012 à Kinshasa. Selon Xinhuanet, le diplomate américain a exprimé l’espoir que «les irrégularités constatées le 28 novembre 2011 seront évitées aux prochaines élections provinciales, locales et autres». Il faisait allusion au co