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"Si je décide de participer à un réseau social, je vais être cristallisé, englué par les informations que j'aurais confiées à l'âge de 21 ans. Dans dix ans, on vous les ressortira. Vous êtes tracé car vous perdez la possibilité d'évoluer. On a le droit, à 20 ans, de dire une connerie, ce n'est pas pour autant qu'on doit vous la rapporter toute votre vie"1. Cette citation du sénateur et ancien président de la CNIL et du groupe Article 29 Alex Turk représente bien les inquiétudes liées au succès que rencontrent les réseaux sociaux depuis le début des années 2000.Le besoin d'intimité remonte à des temps extrêmement anciens. La plupart des sociétés, qu'elles soient primitives ou modernes, ont développé des moyens pour se protéger des regards extérieurs. Avant même que les technologies apparaissent, les hommes ont placé entre eux des limites, associées à des règles, des coutumes et des tabous, créé une distinction entre ce qui relève du public et du pri

"If I decide to participate in a social network, I will be crystallized, mired by the information that I have entrusted to the age of 21 years. In ten years, you emerge them. You are drawn because you lose the ability evolving. We have the right, at age 20, to say something stupid, it does not mean that you should report all your life "1. This quote of Senator and former president of the CNIL and the Article 29 Working Party Alex Turk represents well the concerns related to the success that social networks face since early 2000. The need for privacy dates back to very ancient times. Most companies, whether primitive or modern, have developed ways to protect themselves from prying eyes. Even before the technology becomes, the men set them limits, combined with rules, customs and taboos, created a distinction between what is public and privé2. The explicit term "private life" appeared for the first time in an article of judge

" L’Exécutif revient à la charge, reprend l’initiative et donne la matière qu’ils attendaient aux élus.On croyait la session extraordinaire de juillet 2015 perdue à la suite de l’absence du règlement du contentieux surgi entre l’Assemblée nationale, le Gouvernement et la Commission électorale nationale indépendante qui semblaient se renvoyer la balle au sujet du projet de loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections municipales et locales faisant au passage les choux gras des tabloïds kinois, voilà que le Gouvernement revient à la charge, reprend l’initiative et donne la matière qu’ils attendaient aux élus. Réuni en Conseil des ministres extraordinaire mercredi 22 juillet à la cité de l’Union Africaine, le Gouvernement a adopté un projet de décret - qui doit être signé par le Premier ministre, Chef du Gouvernement certainement en mode d’urgence - qui sursoit à l’exécution d’un paquet de décrets qui faisaient problème. Ces décrets créaient de

"The executive returned to the charge, takes the initiative and gives the material they expected to élus.On believed the special session of July 2015 lost due to the absence of litigation settlement arose between the National Assembly , the Government and the Independent National Electoral Commission which seemed to throw the ball about the draft law on the distribution of seats per constituency for municipal and local elections by passing the fodder for Kinshasa tabloids, that the Government returns to . charge, takes the initiative and gives the material they expected to elected Meeting in Extraordinary Council of Ministers Wednesday, July 22 in the city of the African Union, the Government adopted a draft decree - to be signed by Prime Minister, Head of Government certainly in emergency mode. - stays the execution of a package of decrees that were created These decrees problem of cities and towns gave dizzy élus.Voilà to facilitating the

" La crise congolaise s’éternisant, des vérités jusqu’alors dissimulées sortent de l’ombre et apparaissent au grand jour, prenant tout le monde de court, provoquant émoi et stupéfaction. Il ne pouvait pas en être autrement.C’est que les 17 années passées depuis septembre 1996, date du déclenchement de l’offensive armée de l’AFDL, Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo contre le régime du maréchal Mobutu ont fini par agir, jusqu’au milieu de ce mois de novembre 2013, comme un bain chimique révélateur du négatif d’une photo au bromure d’argent. Plongés dans la préparation chimique, les uns après les autres, les masques portés par les acteurs sur la scène de la tragédie congolaise commencent à tomber, révélant progressivement, au fur et à mesure que les mois et les années passent, les visages hideux de leurs auteurs. Désormais, il ne leur est plus possible de se cacher Le dernier à être débusqué et à sortir des bois est M. Vital Kamerhe. Dans son entièreté, l

"The Congolese crisis dragged on, hitherto hidden truths come out of the shadows and come to light, taking everybody by surprise, causing excitement and amazement. He could not be that autrement.C'est 17 years since September 1996, when the outbreak of the armed offensive of the AFDL, Alliance of Democratic Forces for the Liberation of Congo against Mobutu regime eventually act until the middle of this month of November 2013 as a chemical bath revealing the negative of a photograph silver bromide. Immersed in chemical preparation, one after the other, the masks worn by the actors on the stage of the Congolese tragedy begin to fall, revealing gradually, gradually as the months and years pass, the hideous faces of their authors. Now it is their no longer possible to hide the last to be flushed out of the woods and Mr. Vital Kamerhe. In its entirety The spelling of his name is written Vital Kamerhe Rwakanyasigize. Such a designation can no