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Affichage des articles du avril 4, 2016

L’HEURE DES REVELATIONS, SUR L’ASSASSINAT DU PÈRE VINCENT MACHOZI, ET LES MASSACRES DE BENI : Dans l’annonce aux lecteurs de Benilubero.com publiée le 25 mars 2016, il a été promis de rendre la lumière sur l’assassinat du Révérend Père Vincent MACHOZI, ce vaillant combattant de la paix et de l’unité. Aussi, le service d’enquête et recherche de Benilubero.com s’est déployé avec détermination en vue de collecter le maximum de données qui pouvaient aider à fixer les esprits sur ce meurtre sauvage, et à éclairer les opinions tant locales qu’extérieures sur la tragédie qui règne dans Béni-Lubero, tragédie dont cette mort n’est qu’une illustration parmi tant d’autres cas. D’emblée, eu égard à cette considération, chercher à identifier les responsables de la mort du Père Vincent Machozi revient ipso facto à fouiller les cachettes du secret qui voile l’identité des bourreaux qui ont peu à peu transformé les territoires de Béni-Lubero en une boucherie humaine.

Or, sur terrain, le RDC/K-ML, avant d’intégrer l’armée et la politique nationale n’a cessé de traquer les ADF/NALU sur toute l’étendue du territoire qu’il contrôlait. Il n’a jamais tenté un rapprochement avec cet ennemi de son allié, voire parrain, qui était le gouvernement de Kampala, et ce, jusqu’à la dernière minute de son occupation dans Béni-Lubero. Les enquêtes de Benilubero.com auprès des services de renseignement ougandais ont découvert que l’audace du RCD/K-ML contre l’ADF/NALU l’avait conduit à capturer au moins cinq hauts cadres de cette rébellion dont Yusuf KABANDA, le Secrétaire Général de l’ADF/NALU, et un certain LYAVALA, un autre membre du Quartier général de cette rébellion. Ces prisonniers furent officiellement remis au gouvernement ougandais par l’intermédiaire du général GOA de l’UPDF à Nyaleke et leurs procès furent organisés en Ouganda. Bien plus il est un fait bien connu jusque dans les opinions. En effet, qui aurait-il osé affirmer sans remord que « des fils d

Des élections en République Démocratique du Congo le député nationale Gaston Musemene, s’est confié à Politico.cd sur la désignation de Moïse Katumbi comme candidat Président de la République. Il s’est également penché sur l’organisation des élections. « Nous prenons acte de cette désignation de Moise Katumbi par le G7. Nous n’avons pas un jugement particulier sur les ambitions des uns et des autres. Nous sommes tous congolais. Le Congo c’est un Etat de droit. Lorsqu’un groupe ou une famille politique estime présenter son candidat à l’élection présidentielle, nous ne pouvons qu’être fier de la démocratie dans notre pays et commencer déjà à monter des stratégies pour identifier les forces et les faiblesses de ces candidats face à une probable candidature de notre côté pour qu’on soit enfin à même de le battre ». Election ou pas en 2016 nous ne rêvons pas. Il faut faire confiance aux institutions de la République. Et l’institution de la République chargée de l’organisation des élections c’est la CENI.

La CENI s’est prononcée trop clairement sur ce sujet qu’elle ne saura pas organiser des bonnes élections dans l'année de 2016 est il vraie ? À qui la faute ? Parce qu’en ce moment il faut lancer les appels d’offre pour que les gens qui ont les moyens soutiennent l’équipe de la CENI. La CENI organe habileté à pouvoir organiser les élections a déjà dit presque non. Il ne faut plus revenir sur cette question. Il faudra 18 mois pour parvenir à nettoyer le fichier électoral ». Alors que la MP fait son va-tout pour embarquer Etienne Tshisekedi dans le « dialogue national », Moise Katumbi et Kamerhe sont à Bruxelles pour négocier avec le même Tshisekedi une candidature unique de l’Opposition à la présidentielle. Katumbi l’a dit à nos confrères belges de la Libre Belgique. Il insiste cependant sur le respect du délai constitutionnel. « Ce que je suis en train de faire aujourd’hui, c’est d’abord réunir l’opposition. Quand j’ai démissionné, je me suis dit que je devais voir tout le mond

Les commerçants de l'axe Mavivi-Oicha-Eringeti et kainama en térr itoire de Beni viennent de declenché une serie de cessation des activités commerciales en daté de ce lundi 4 avril, ainsi pour dénoncer, les menances dont ils sont victimes de la part de services générateur des recettes de l'Etat. Pour eux, le tronçon routier Mavivi Kainama avait eté declaré zone sinistré par le président Joséph Kabila lors de son passage dans la région de Beni au mois de décembre dernier. Cette décision a été prise, à l' issue d'une assemblée extra-ordinaire tenue, samedi le 02 avril 2016 dernier dans la salle de réunion de la FEC/OICHA.

Beni : Véritable contradiction entre l’administrateur de territoire et les opérateurs économiques qui ne veulent plus payer les taxes et impôts Un jour seulement après la mesure des commerçants de l’axe Beni-Eringeti de ne pas payer les taxes, l’administrateur de territoire de Beni répond. « Il n’est pas quéstion qu’une telle mesure soit mise en application », indique Amisi Kalonda expliquant qu’il n’a jamais reçu d’instruction de ce genre. Et donc, refuser de payer les taxes et impôts est un signe d’incivisme fiscal. AMISI KALONDA indique que si cette zone est réellement déclarée sinistrée, il n’y a pas de raisons convaincantes de se précipiter. Attendons ce que feront les autorités, a conseillé l’administrateur de territoire de Beni. D’où tous les commerçants devront continuer de s’acquitter de leurs devoir. La réaction des opérateurs économiques est aussi claire : la mesure du chef de l’Etat a force de loi. Donc, personne ne peut l’outre passer, se défendent-ils. Pour sa part

LUBERO SUD TÉRRITOIRE : DES TRACTS DES INCONNUES SONT VISIBLE POUR UNE NOUVEL MASSACRE DONC ON OBSERVE UNE PANIQUE TOTALE AU SEIN DE LA POPULATION Selon les habitants de KASIKI, MIRIKI, BULEUSA, LUOFU,... ces tracts appellent les nande, les NYANGA et les Kobo à s'attendre a un massacre; ils seraient écrits par le Gen CHARLES DAMASENY Cdt FDLR FOKA, SAFARI FDLR RUD chargé de renseignement et SATELLITE FDLR RUD Cdt des OPS du GEN.MUSARE qui était à Mwekwe/Batangi. Ces officiers sont dans le camp des Hutu de KYUTO dépuis mercredi 29 et jeudi 30 mars 2016 pour eventuellement planifier les attaques. Cette situation vient de conduire les habitants des localites precites sur le chemin de l'exode. Le danger est imminent et le pire a eviter.

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme s’inquiète des violences intercommunautaires entre les Nande, et les Hutu, signalées ces derniers jours au Nord-Kivu. Dans un communiqué publié lundi 8 février. Depuis quatre décennies, l’est de la République démocratique du Congo (RDC) subit des conflits ethniques récurrents. Contrairement à ceux des provinces du Sud-Kivu et de l’Ituri, ces conflits au Nord-Kivu, remontant au début des années 1960, présentent une double dimension, à la fois inter et intra-ethnique. Ils ont pris de l’ampleur avec le déclenchement de la "guerre kanyarwanda  [1] [1] Adjectif à préfixe formé sur la racine désignant la..." à partir de 1963, qui a opposé durant plus de deux ans les Banyarwanda aux Nande, Hunde et Nyanga, suite au mouvement autonomiste ayant abouti à la création en 1962 de 21 "provincettes  [2] [2] Afrique contemporaine 1997, p. 69." dans l’ancien Congo belge, jusqu’à l’arrivée de Mobutu au pouvoir en novembr

NORD-KIVU KANYABAYONGA : KIDNAPPING DE 4 ENFANTS BERGERS. D' après une sources dela société civile de Butembo ville, 3 bandits porteurs d'une arme a feu ont surpris ces jeunes garçons qui bergeaient une vingtaine de chevres au reboisement de l' Institut. Visogho sur le croisement du chemin qui mene vers Miriki et Kahando, la soirée de ce dimanche 3 Avril 2016. Leurs âge varie entre 12 et 15 ans ; 3 d'entre eux sont au secondaire et l'autre au primaire. Parmi ces enfants il y a KASEREKA NZUMANGI RACHID fils de PALUKU MBWETE JEROME, élè à l'Institut Furaha de Kanyabayonga en 2ème CO et un certain OSEE fils de LUBEMBE. Jusqu'a présent ce kidnapping n'est encore revendique par personne.

En République démocratique du Congo (RDC), une nouvelle prise d’otage a eu lieu dans le Rutshuru, territoire de l’est du Nord-Kivu. Cette semaine encore, neuf personnes ont disparu, capturées par des hommes armés alors qu'elles voyageaient en bus, en provenance de Goma. Elles ont été conduites en brousse et depuis, plus de nouvelles. La société civile demande aux militaires de trouver une solution à ce problème, à ces enlèvements à répétition et demandes de rançons qui enrichissent les groupes rebelles. La société civile fait les comptes. Six cents personnes environ ont été kidnappées sur la route qui mène de Goma à Butembo. A chaque fois, c’est le même scénario. Deux bus avec des passagers sont engagés sur la nationale 4. Aux environs de midi trente (heure locale) le convoi arrive au village Busendo, entre la station de la Rwindi et le pont Mabenga, en territoire de Rutshuru. C’est alors que des hommes en armes surgissent de la forêt et obligent les conducteurs des véhicules à s