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Affichage des articles du mars 21, 2016

Situation politique en Rdcongo chaqun vise son intérêt : Conseiller de la République, Roland Ngoie Kiloka analyse froidement la situation politique actuelle du pays concernant le processus électoral qui se trouve actuellement en impasse. Pour ce membre de la Commission des affaires étrangères, intégration régionale, juridique et administrative au Conseil économique et social, l’opposition « médiatique » et un groupe d’ONG nationales dont ACAJ et l’ASADHO, ne disent pas la vérité au peuple, par rapport aux vrais problèmes du processus électoral. Il explique que la Constitution de la République recommande à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de convoquer l’électorat pour la présidentielle 90 jours avant la fin du mandat du chef de l’Etat. Or, le fichier électorat de 2011 pose un vrai problème reconnu de tout le monde. Il faudra en exfiltrer plus de 2 millions de personnes décédées, intégrer plus de 10 millions de nouveaux majeurs et aussi identifier puis enrôler les Congolais de l’étranger.

L’opposition, en ces jours dit-il, parler d’ailleurs d’un fichier électoral « corrompu ». A la Majorité présidentiel, on reconnait les imperfections de ce fichier et on appelle à sa réactualisation. Donc, la révision intégrale du fichier électoral s’impose, tel que préconisé par la CENI qui a l’expertise technique en la matière. « On ne peut pas aller aux élections avec ce fichier de 2016. C’est évident. Comment alors convoquer un électorat qui n’existe pas jusqu’à présent ? Qui doit aller élire ? Si nous voulons des élections techniques, il faut suivre la CENI. Si nous voulons des élections politiques, il y aura des contestations », prévient Roland Ngoie Kiloka. Et de poursuivre : « L’opposition médiatique et quelques ONG connaissent toutes ces difficultés et ne veulent pas dire la vérité à la population ». Devant ce tableau, la voie royale pour résoudre ce problème reste le dialogue, soutient-il. Par ailleurs, concernant l’interprétation du deuxième alinéa de l’article 70 de la Co

RDC : la montée d' une serie des tensions entre les peuples, nandés et hutus dans le sud Lubero. Le gouvernement congolais et la Monusco se disent très préoccupés par la situation dans le Sud-Lubero après une série de violences ces derniers jours entre les communautés hutus et nandés. Des violences qui ont fait plusieurs morts ces derniers jours et ce, à quelques kilomètres de Miriki où un massacre a eu lieu début janvier. Selon le chef du bureau conjoint des Nations unies aux droits de l'homme, il y a une risque réel de conflit interethnique, une tension aggravée par la présence de milices nandés et des FDLR, les rebelles hutus rwandais. Depuis le massacre de Miriki, il ne se passe pas deux jours sans qu'on apprenne un incident entre les deux communautés. Mercredi, jour de marché à Luofu, des habitants hutus venus d'une localité voisine sont accusés d'avoir volé des chèvres, l'un d'eux est tué, un autre blessé. Furieux, ils décident de revenir à Luofu avec la dépouille et sont interceptés par des jeunes miliciens nandé.

A TRAVERS UN MEMO ADRESSE A MINAKU LE CONFLIT HUTU-NANDE S’INVITE À L’ASSEMBLÉE NATIONALE. Habillés tous en noir, symbole de deuil, les membres de la communauté Nande vivant à Kinshasa demandent, dans un mémorandum remis le vendredi dernier, au président de la chambre basse du Parlement d’inscrire dans son calendrier de la session de mars, la situation préoccupante du grand nord concernant le conflit hutu-Nande. Tel est l’essentiel de ce mémo : » La communauté Nande de Kinshasa exhorte les élus du Peuple à se pencher sur la traque des génocidaires rwandais sur le territoire congolais et le retour des réfugiés rwandais dans leur pays. » Notre communauté est victime de massacres perpétrés par les rwandophones du Nord-Kivu. Nous sommes venus aussi demander qu’une commission d’enquête soit mise en place pour plus de lumière sur ces massacres. On ne peut pas tuer autant des personnes comme si l’Etat congolais n’existait pas « , a souligné le vice-président de l’association culturelle Ky

Le dimanche des Rameaux est le dimanche qui précède l'entrée dans la semaine sainte et Pâques dans le calendrier liturgique chrétien partout dans le monde d' aujourd' hui : ########## ########## ########## Entrée triomphale de Jésus Christ, à Jérusalem (Luc 19.28-44) 28 Après avoir dit cela, Jésus marcha devant la foule pour monter à Jérusalem.29Lorsqu'il approcha de Bethphagé et de Béthanie, vers la colline appelée mont des Oliviers, Jésus envoya deux de ses disciples 30en leur disant: «Allez au village qui est en face. Quand vous y serez entrés, vous trouverez un ânon attaché sur lequel personne n'est encore jamais monté. Détachez-le et amenez-le. Si quelqu'un vous demande: 'Pourquoi le détachez-vous?' vous [lui] répondrez: 'Le Seigneur en a besoin.'» Ceux qui étaient envoyés partirent et trouvèrent tout comme Jésus le leur avait dit. Comme ils détachaient l'ânon, ses maîtres leur dirent: «Pourquoi détachez-vous l'ânon?» Ils répondirent: «Le Seigneur en a besoin» et ils amenèrent l'ânon à Jésus. Après avoir jeté leurs manteaux sur son dos, ils firent monter Jésus. A mesure qu'il avançait, les gens étendaient leurs vêtements sur le chemin. Déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente du mont des Oliviers. Alors toute la foule des disciples, remplis de joie, se mirent à adresser à haute voix des louanges à Dieu pour tous les miracles qu'ils avaient vus. Ils disaient: «Béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur! Paix dans le ciel et gloire dans les lieux très hauts!» Du milieu de la foule, quelques pharisiens dirent à Jésus: «Maître, reprends tes disciples.» Il répondit: «Je vous le dis, si eux se taisent, les pierres crieront!»41Quand il approcha de la ville et qu'il la vit, Jésus pleura sur elle et dit: «Si seulement tu avais toi aussi reconnu, aujourd'hui, ce qui peut te donner la paix! Mais maintenant, cela est caché à tes yeux. Des jours viendront pour toi où tes ennemis t'entoureront d'ouvrages fortifiés, t'encercleront et te serreront de tous côtés. Le dimanche des Rameaux rappelle l'entrée triomphale de Jésus-Christà Jérusalem 2. Dans la tradition juive, les rameaux de palmier et le mot "Hosanna" évoquent la fête juive des récoltes Souccot mentionnée dans le livre du Lévitique 3. Les Évangiles canoniques (Mt 21,1 - 9, Mc 11,1 - 10, Lc 19, 28 - 40, Jean 12, 12 - 15) racontent qu'à proximité de la fête de la Pâque juive, Jésus décide de faire une entrée solennelle à Jérusalem. Jésus organise son entrée en envoyant deux disciples chercher à Bethphagéun ânon (selon saint Matthieu, Jésus précise que l'ânon se trouve avec sa mère l'ânesse, précision qui ne se retrouve pas dans les évangiles selon saint Marc et saint Luc). Il entre à Jérusalem sur cette monture et se manifeste publiquement comme le messieque les juifs attendaient. C'est une monture modeste comme l'avait annoncé le prophète pour montrer le caractère humble et pacifique de son règne. Une foule nombreuse venue à Jérusalem pour la fête l'accueille en déposant des vêtements sur son chemin eten agitant des branches coupées aux arbres, ou rameaux. Célébration : Dès le IX e siècle, l' Église accomplit dans son rituel du jour la bénédiction des rameaux et la procession des fidèles, issue de la liturgie de Jérusalem. Les rameaux verdoyants, signes de vitalité, sont déposés sur les tombes au cimetière ou accrochés aux crucifix dans les maisons. L' hymne Gloria, laus et honorest chanté pendant la processiondes rameaux. La tradition chrétienne aujourd'hui veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénits, pour en orner les croix dans les maisons : geste de vénération et de confiance envers le Crucifié. Aujourd'hui La célébration commence à l'extérieur de l’église avec la bénédiction des Rameaux puis la lecture par le prêtre ou le diacre du récit de l'entrée à Jérusalem. La foule rentre ensuite dans l'église pour la célébration de la Passion du Christ. Il commémore deux événements : d'une part, l'entrée solennelle de Jésus à Jérusalem où il fut acclamé par une foule agitant des palmes et déposant des manteaux sur son passage narrée par les quatre Évangiles; d'autre part, la Passion du Christ et sa mort sur la croix. Son nom liturgique est le « Dimanche des Rameaux et de la Passion » (dans la forme ordinaire du rite romaindepuis les réformes qui ont suivi le concile Vatican II; avant cette réforme et dans la forme extraordinaire de la messeil s’appelait « Deuxième dimanche de la Passion ou dimanche des Rameaux », le premier dimanche de la Passion étant le dimanche précédent et ces deux dimanches formant le « Temps de la Passion », inclus dans le Carême). L'expression « Pâques fleuries » a souvent désigné ce jour de manière poétique. Il est aussi connu sous le nom dedimanche des palmesdans le sud de la France. Le terme "dimanche des palmes" est également présent dans un acte de mariage de 1692 d'un village meusien (Registre E Dépôt 514 (6) de la paroisse de Viéville) [pertinence contestée].

Dès le premier jour de la semaine-sainte, nous devons "recevoir" Jésus-Christ et accepter comme souveraine sa volonté entre, chaqun de nous. Cet accueil fait au Christ qui vient à nous est le sens du Dimanche des Rameaux. Aux vêpres du dimanche, célébrées le samedi soir, nous lisons trois leçons de l'Ancien Testament. La première, tirée de la Genèse (49 : 1-2, 8-72), contient les derniers avis de Jacob à ses fils; ce passage a été choisi parce qu'il fait, en quelques paroles, allusion au "sceptre", à "l'âne", au "sang de la vigne" qui lave les vêtements, - toutes choses auxquelles l'entrée de Jésus à Jérusalem avant sa Passion donnent un sens nouveau : "Le sceptre ne s'éloignera pas de Juda... jusqu'à la venue de celui à qui il est, à qui obéiront les peuples. Il lie à la vigne son ânon, au cep le petit de son ânesse, il lave son vêtement dans le vin et son habit dans le sang des raisins". La deuxième leçon, tir