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Affichage des articles du avril 18, 2016

L' Amérique latine précisement, au Brésil - La présidente brésilienne Dilma Rousseff devrait, encore, s'exprimer, lundi au lendemain de la gifle infligée par les députés, qui ont ouvert la voie à sa destitution par le Sénat à une écrasante majorité, au terme d'un vote historique. Quelques heures après ce violent revers, l'impopulaire dirigeante de gauche de 68 ans, dont le mandat ne tient désormais plus qu'à un fil, commencera aussi sa recherche de soutiens au Sénat, où se déroulera la seconde manche de ce combat. La large victoire du "oui" à l'"impeachment", dimanche, avec 367 voix pour, soit 25 de plus que les 342 requises (deux tiers des députés), devrait être reçue avec enthousiasme par les marchés, favorables depuis longtemps à un départ de Mme Rousseff. Elle faisait la une lundi de tous les journaux du pays: "Impeachment!", s'exclamait simplement Folha de Sao Paulo, tandis que O Globo titrait "Proche de la fin", ajoutant que "Dilma Rousseff avait commencé hier [dimanche] à dire au revoir à son fauteuil de présidente du Brésil".

La votation s'est déroulé dans une ambiance survoltée tant à l'intérieur du Congrès qu'à l'extérieur. Devant le parlement brésilien, à Brasilia, 18.000 manifestants en vert et en jaune favorables à la destitution faisaient face à 10.000 fidèles supporters de la présidence, soigneusement séparés par ce que beaucoup de manifestants qualifiaient de «Mur de Berlin» que la police avait mis en place tôt dans la journée pour éviter des affrontements entre manifestants. «Lâches, canailles» À l'intérieur, chaque député disposait de 10 secondes pour expliquer son vote. Les insultes ont fusé de part et d'autre. La foule chantait et brandissait des drapeaux et des pancartes. «Lâches, canailles, putschiste!» lançaient les partisans de la présidente, auxquels répondaient ses adversaires par «voleurs». Cette dernière accusation comporte toute l'ambiguïté des accusations à l'encontre de Dilma Rousseff. Alors que 60% des parlementaires brésiliens ont eu à répondre de f

Beni Lubero & Dossier l' assassinat du père Vincent Machozi : Les yeux de tous les YIRA du monde est braqués, sur l’auditorat un procès historique attendu en ville de Butembo, ce mercredi 20/04/2016, sauf changement « le présumé assassin de Père Vincent sera à la barre » ! Fini les suspens, l’homme est belle et bien retenu encore à l’auditorat militaire de Butembo, PALUKU Abdoul KALEMIRE III alias IGWE, comme c’est de lui qu’il s’agit, le mwami de la chefferie de BASHU a été arrêté dans le dossier d’assassinat du grand résistant père Vincent MACHOZI dans le groupement d BUNYUKA, assassinat survenu le 20/03/2016, on se souviendra que, le présumé assassin est aussi du même village avec la victime. Est-ce que c’est par hasard qu’il est aux arrêts ? Les sources de la cellule antiterroriste de la véranda Mutsanga rapportent que l’homme est belle et bien retenu au cachot de l’auditorat, on ne l’a pas fait évader ! il est là. Et ces mêmes sources ont rapportés que, les audiences s’ouvrent ce mercredi 20/04/2016 sauf changement.

Un mandat d’arrêt a été mit contre le Mwami Kalemire III dela chef/ de Bashu dans cette l’affaire dela crime contre l' humanité. S’il faut dire vrai jusque-là, aucun résultat de l’enquête n’a été rendu disponible. Entretemps des doutes continuent aussi à persister tant au sujet des auteurs de cet assassinat que de leurs complices. En effet mercredi 30 mars 2016, l’auditorat militaire aurait émis un mandat d’arrêt du Mwami ABDOUL KALEMIRE III. Mandat qui a été exécuté par l’ANR/Butembo qui l’avait arrêté et remis à l’auditorat militaire garnison de Butembo. Mais, est-il qu’il se pose un problème au niveau de la procédure. D’après l’avocat conseil du Mwami ABDOUL KALEMIRE III, le MWAMI n’est pas en état d’arrestation pour autant qu’aucune procédure d’arrestation n’a été respectée. Selon lui, l’auditorat militaire leurs aurait dit que le MWAMI devrait rester à l’auditorat militaire puisqu’il avait été présent lors de cet assassinat. N.B : Les YIRA du monde ne veulent pas assisté à un

Les raisons d’un nouveau dialogue politique, entre les politiciens, en République Démocratique du Congo dans quelques jours. Préoccupés par les pièges et les dangers multiformes qui menacent la survie de la République Démocratique du Congo en cette année électorale 2016, les pionniers considèrent que l’UDPS ne peut accéder pouvoir d’Etat que par la voie d’élections libres, transparentes, et apaisées. Aussi, ils considèrent que l’UDPS s’est donnée comme objectif de changer les conditions de vie des populations congolaises, et non se contenter de l’alternance, c’est-à-dire « Ote-toi que je m’y mette ». Les pionniers sont convaincus qu’aller aux élections dans les conditions aussi brouillées ne peut profiter qu’aux seuls pêcheurs en eaux troubles et aux puissances occultes qui saisiraient l’occasion pour leur imposer des dirigeants devant sauvegarder et protéger leurs intérêts au détriment de la population congolaise. Les pionniers relèvent que sur le plan politique, le processus électoral est dans l’impasse.

Termes de référence du dialogue et la transition A les en croire, les pionniers de l’UDPS, gardiens de valeurs de ce parti de l’opposition indiquent que les décisions adoptées au dialogue politique vont impacter la gouvernance de la RDC pour les 10 à 15 prochaines années. « Raison pour laquelle il faut obtenir l’implication de toutes les forces politiques et sociales du pays, chacun devant assumer pleinement ses responsabilités devant notre peuple et devant l’histoire dans le devenir de notre pays », renchérissent-ils. En plus, ils insistent sur le fait que le dialogue devant créer les conditions pour l’émergence de la RDC en ce qu’ils doivent planter ensemble les piliers de l’émergence du pays, voir plus loin et viser plus haut, et ne pas chercher uniquement à satisfaire les ambitions des uns et des autres pour la magistrature suprême. « Nous ne devons pas focaliser toute notre attention et notre énergie sur des individus, au risque de nous laisser distraire et de passer à côté de l

Maman S. Sidikou le Chef de MONUSCO et Représentant spécial du Secrétaire général de l’ ONU en RDC, a rencontré la presse nationale et internationale à Kinshasa le 16 avril 2016 : " La Résolution 2277 dont nous parlons tous tant invite tous les acteurs au dialogue ", a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en RDC, devant la presse nationale et internationale réunies le samedi 16 avril à Kinshasa. Maman Sidikou Sambo a, à cette occasion décortiquée la Résolution 2277 du Conseil de sécurité adoptée récemment à New York. Cette résolution recommande aux Congolais non seulement les élections dans le délai constitutionnel, mais aussi le dialogue inclusif, ainsi que la reprise de la coopération militaire. Elle évoque aussi le renforcement du mandat de la MONUSCO. Le dialogue est indispensable, lâche-t-il. "Je voudrais ici en tant que Représentant du Secrétaire général des Nations Unies lancer un appel : "Messieurs de la classe politique, surpassez-vous ". La politique c’est du "give and take", la politique c’est des échanges, la politique surtout dans un pays comme celui-ci c’est de penser aux populations les plus vulnérables, a-t-il mentionné. " Je voudrais vous dire que nous avons toujours encouragé les parties prenantes congolaises à s’engager dans un processus de dialogue inclusif. Même le Conseil de sécurité soutient l’initiative de l’Union africaine de faciliter le dialogue ", a fait remarquer Maman Sidikou. Et d’expliquer : " Dans ce cadre, moi je parle au quotidien avec monsieur Kodjo. Et ce que monsieur Kodjo dit n’est pas vraiment différent de ce que je dis par rapport à la 2277. Relisez-la, relisez les différents chapitres et vous verrez que nous sommes sur la même longueur d’ondes. J’espère que les gens lisent la 2277, ne s’accrochent pas seulement aux quatre chiffres. La 2277 dit : respect de la Constitution, y compris par rapport aux différents termes de quand est-ce qu’on va avoir élections, etc". Il a lancé un appel à tout le monde : "Aller au dialogue messieurs les Congolais, mesdames les Congolaises, parce que c’est le dialogue qui permettra à ce pays de ne pas replonger dans les affres des tourments qu’il a connus depuis si longtemps ". SOUTENIR LA REVISION DU FICHIER ELECTORAL La Monusco est appelée à apporter son soutien à la révision du fichier électoral. La 2277 est très claire, soutenir la CENI pour la révision du fichier électoral et pour la logistique, a fait savoir le patron de la mission onusienne en RDC. Mais en ce qui concerne le fichier électoral, " nous avons déjà le feu vert du Conseil de sécurité ", a-t-il souligné. D’après Maman Sidikou, l’ONU met un accent particulier sur l’importance du fichier électoral, parce que « s’il n’y a pas de fichier, il n’y a pas d’élections. S’il n’y a pas de fichier crédible, il n’y a pas de transparence, il n’y a pas de crédibilité. Et nous, a-t-il ajouté, encourageons la CENI à travailler avec toutes les parties prenantes pour accélérer ce processus ».

L’opposant Justin Bitakwira s’indigne de la gourmandise du parti d’Etienne Tshisekedi qu’il accuse de vouloir prendre l’ensemble de places réservées à la composante- opposition au comité préparatoire du dialogue. Normalement, Kodjo avait promis d’officialiser les noms des membres du comité préparatoire endéans une semaine. Lundi 11 avril, lorsqu’il l’avait dit tout haut, il n’avait pas encore pris la vraie mesure de la zoologie politique congolaise, avec ses atouts et ses faiblesses congénitales. Ici, si rien n’est conclu avec l’Udps, le grossissement des rangs des mécontents qui en résulterait, est tel qu’il étiolerait, en même temps, tous les espoirs qui, jusqu’ici, étaient encore permis. Au fait, comment ne pas perdre l’Udps, l’allié capricieux ? Que cache son revirement à 90° ? Faut-il que Kodjo marche sur le fil du rasoir, pour compter sur sa contribution au Dialogue ? Que des questions à choix non multiple, auxquelles Kodjo, le Facilitateur, est tenu, désormais, d’app

Brésil en Amérique du sud : crise politique - la déstitution dela présidente Dilma Rousseff la un peu plus près de la sortie Lors d'une séance suvoltée au Sénat, les députés ont voté à une large majorité pour la destitution de la présidente. La gauche dénonce un "coup d'État". Source AFP Publié le18/04/2016 à 06:20| Le Point.fr À Brasilia, plus de 50 000 supporters de la destitution ont suivi le déroulé du vote sur écran géant devant l'Assemblée. ©AFP/ ANDRESSA ANHOLETE Abonnez-vous à partir de 1€ Les députés brésiliens ont ouvert dimanche la voie d'une destitution de la présidente de gauche Dilma Rousseffpar le Sénatà une écrasante majorité, lors d'un vote historique qui s'est déroulé dans une ambiance survoltée. Le camp de la destitution l'a emporté par 367 voix, 25 de plus que les 342 requises (2/3) pour autoriser le sénat à mettre en accusation Mme Rousseff. Seuls 137 députés, de gauche et d'extrême gauche pour l'essentiel, ont voté contre la destitution. Sept députés uniquement se sont abstenus et trois étaient absents.

L'une des pires crises de l'histoire politique du Brésil : Un "coup d'État" Accusée de maquillage des comptes publics en 2014, année de sa réélection, et en 2015 pour masquer l'ampleur de la crise économique, Mme Rousseff nie avoir commis un crime dit "de responsabilité" et dénonce une tentative de "coup d'État" institutionnel. Elle avait annoncé qu'elle "lutterait jusqu'à la dernière minute de la seconde mi-temps". Mais son mandat ne tient désormais plus qu'à un fil. D'ici le 11 mai, il suffira d'un vote à la majorité simple des sénateurs pour qu'elle soit formellement mise en accusation pour "crime de responsabilité" et écartée du pouvoir pendant 180 jours au maximum, en attendant un verdict final. Le vice-président Michel Temer, son ex-allié centriste et désormais rival, assumerait alors ses fonctions et formerait un gouvernement de transition. Héritière politique de l'ex-président L