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Affichage des articles du avril 30, 2016

Trouble politique en ces jours en Rdcongo : Ciat oublie Sun City et remet la Rdc à la case de départ Lundi 1 septembre la Ciat a exigé entre autres :« La réduction et le cantonnement des forces des deux candidats et leur substitution, jusqu'à la fin du processus de transition, par la MONUC et l’EUFOR dans leur fonctions de protection » Nous publions ici le commentaire du journal L’Avenir sur cette revendication : La crise congolaise vient de prendre un tournant étonnant mais inattendu. Le vice-président de la République en charge de la commission Economie et Finances a réussi son pari de se présenter comme opposant. Plus grave, la communauté internationale a placé le Congo dans le schéma de la Somalie, du Liberia ou même de la Côte d’Ivoire. On a ainsi ramené le Congo à la case départ. C’est comme si ce pays n’a jamais connu un Dialogue inter congolais. Comme si l’Accord global débouchant sur le partage du pouvoir, sur la réunification, du moins au niveau de l’Etat-major n’avait jamais eu lieu.

Comme si l’Accord global débouchant sur le partage du pouvoir, sur la réunification, du moins au niveau de l’Etat-major n’avait jamais eu lieu. On voudrait également faire croire à l’opinion que le parlement congolais n’avait jamais voté une loi instaurant la garde républicaine. Que dans le camp de ceux qui semblent contribuer à asseoir la confusion, on retrouve le Ciat, témoin privilégié de la transition congolaise, il y a de quoi ne plus rien comprendre. Le dernier communiqué du Ciat pousse à une réflexion profonde et amène à croire qu’il y a des enjeux cachés derrière cette nouvelle crise congolaise. Que personne n’accepte de remonter cette crise afin de bien en comprendre les motivations profondes, voilà qui inquiète davantage et fait penser à beaucoup d’hypocrisie. Mais qui a intérêt à voir le Congolais à la case départ au moment où on était presque sorti de la crise de légitimité ? Il y aurait de quoi à faire croire outre les acteurs congolais, il y a dans la communauté internat

Dialogue prévue dans les jours à venir en Rdc peut faire glisser, la date des élections : Les choses s’annoncent difficiles pour Edem Kodjo, facilitateur de l’Union Africaine du dialogue entre acteurs politiques congolais. A la base de cette situation, les tergiversations de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba. Contre toute attente, ce parti veut à lui seul présenter les 12 membres du quota des délégués, que doit pourvoir la composante opposition politique au Comité Préparatoire, instance qui devra baliser la voie pour la tenue du Dialogue proprement dit. La mission du facilitateur de l’Union Africaine pour le Dialogue entre congolais, en vue des élections apaisées et démocratiques en RDC, s’annonce difficile. Edem Kodjo devra à son tour faire son expérience directe et déceler de sa manière le vrai politique congolais, dans sa culture, dans son activisme politique. Déjà, pour quelques places à l’antichambre du Dialogue, l’UDPS a annoncé ses couleurs.

L’expérience de la Conférence Nationale Souveraine en dit plus, affirment ces observateurs. Pas plus loin qu’il y a quelques mois, les négociations entre les délégués de l’Udps et de la majorité à Ibiza en Espagne et Venus en Italie n’ont pas abouti à causes des traditionnels caprices de ce parti, rappellent-ils encore. Pour ces observateurs, la majorité, mais aussi la classe politique toute entière, doit ouvrir l’œil et le bon pour ne pas tomber dans le piège de ce vieux parti qui n’a plus rien à perdre. L’on doit éviter de se faire d’illusion. Pour le parti de Limete, ce dialogue est une occasion pour prendre le vent en poupe, font-ils encore révéler. Ils invitent Edem Kodjo à rester prudent et à ne pas se faire rouler dans la farine de l’Udps. « Les Congolais sont spécialistes en tout. Ils sont déjà plus facilitateurs que le facilitateur lui-même. Pour réussir, Edem Kodjo devra apprendre à faire son expérience directe quant au comportement des politiques congolais. Les prédictions

La démocratisation dela Rdcongo, annoncée en 1990 par le maréchal Mobutu était de façade ou, une tentative de prolonger la survie d'une dictature compradore implantée par l'extérieur après l'assassinat de Patrice Emery Lumumba, a affirmé dimanche le ministre de la Communication et Médias, Porte parole du gouvernement,Lambert Mende Omalanga. Le ministre, par ailleurs, Initiateur du parti politique dénommé Convention des congolais unis (CCU) s'exprimait au cours d'une matinée politique organisée par son parti à l'occasion de la commémoration du 26ème anniversaire de la démocratisation du pays. "La dictature a réussi à survivre sept ans après l'annonce de la démocratisation jusqu'à ce queMzee Laurent Désiré Kabilaait pu la bouter hors du pays en 1997", a expliquéLambert Mende. Il a, en outre, établi un parallélisme entre la démocratisation de 1990 et les événements de 1960, accusant les forces étrangères de chercher à remettre la RDC sous leur domination en recrutant des congolais pour maintenir le pays sous leurs coupe.

M, Mende a fustigé la position des compatriotes qui militent pour la tenue des élections législatives et de la présidentielle avant les locales les municipales et les provinciales. "Ce ne sont pas des compatriotes parce qu'on leur met ces mots à la bouche par l'extérieur qui ne s'intéresse qu'à ces élections pour avoir un président et un parlement qu'ils escomptent contrôler ", a-t-il déclaré. La lutte pour l'émancipation totale du peuple l'indépendance et la démocratie est loin d'être terminée, a-t-il déclaré affirmant que pour être effective et authentique, la vraie démocratie doit être intégrale et ne pas se limiter à des actions qui font l'affaire "de coteries petites bourgeoises" L'Initiateur de la CCU s'est prononcé pour des élections à la base qui permettraient de restituer au peuple sa souveraineté et de ne pas revivre l'époque de la colonisation internationale. Il a salué dans cette perspective l

RDC : l’opposition exige la tenue de la présidentielle prévue vers la fin du mois de novembre 2016 : « Nous sommes vivement préoccupés par l’arrestation et les intimidations par le gouvernement de citoyens congolais ayant participé ou s’étant préparés pour des activités politiques pacifiques à Kinshasa et dans la province du Haut-Katanga le weekend du 24 avril » , indique un communiqué du porte-parole du Département d’Etat américain, John Kirby. « Le gouvernement de la RDC a, en vertu de sa propre constitution et des obligations internationalesen matière de droits de l’homme, la responsabilité de respecter les droits de l’homme de ses citoyens, y compris les droits de liberté de se réunir pacifiquement et de liberté d’expression » , souligne le même communiqué. John Kirby estime que « la répression détruit la confiance des citoyens mêmes qui sont nécessaires à tout dialogue crédible entre tous les acteurs congolais ».

Les Etats-Unis se disent « préoccupés » par l’arrestation et les intimidations enregistrées lors des manifestations organisées par l’opposition le 24 avril dernier en RDC. « Nous sommes vivement préoccupés par l’arrestation et les intimidations par le gouvernement de citoyens congolais ayant participé ou s’étant préparés pour des activités politiques pacifiques à Kinshasa et dans la province du Haut-Katanga le weekend du 24 avril », indique un communiqué du porte-parole du Département d’Etat américain, John Kirby. « Le gouvernement de la RDC a, en vertu de sa propre constitution et des obligations internationales en matière de droits de l’homme, la responsabilité de respecter les droits de l’homme de ses citoyens, y compris les droits de liberté de se réunir pacifiquement et de liberté d’expression », souligne le même communiqué. John Kirby estime que « la répression détruit la confiance des citoyens mêmes qui sont nécessaires à tout dialogue crédible entre tous les acteurs congolais

Le Kenya interdit, le braconnage des éléphants sur l' enssemble de sont térritoire nationale : le ministre dela Faune de cette pay d' Afrique del' Est, a brûlé samedi 30 avril 2016 quelque 105 tonnes d’ivoire, soit la plus grande cérémonie de destruction d’« or blanc » par le feu jamais organisée en Afrique. Onze bûchers de 16 000 défenses ont été dressés face au Parc national de Nairobi. Le symbole est fort, spectaculaire, car il y a urgence. L’Afrique ne compte plus que 500 000 éléphants, moitié moins qu’il y a trente ans, et 30 000 y sont tués chaque année par les braconniers. Près d’un animal toutes les quinze minutes. Tout le continent est frappé, ou presque. Seul le Botswanasemble faireexception, abritant 40 % de la populationdu continent grâce à une ambitieuse politiquede lutte contre le braconnage.« Les éléphants vont disparaîtrede certaines parties d’Afrique centrale et orientale, c’est inévitable,admet Mike Chase, directeur d’Elephants Without Borders. Ils viennent au Botswana car ils sont pourchassés dans les pays alentour.

Aujourd’hui, les éléphants sont comme des réfugiés. » 5 % du stock mondial en fumée Samedi, le premier coup de torche sera donné par le président kényan, Uhuru Kenyatta. L’ensemble des réserves nationales en ivoire, soit 5 % du stock mondial, partira en fumée dans un brasier qui pourrait brûlerpendant plusieurs jours, aidé par les milliers de litres de diesel et de kérosène déversés. L’ivoire, en effet, brûle très mal, voire pas du tout. Le Service de la Faune kényane (KWS) a annoncé mardi qu'un groupe de 11 éléphants avaient été tués par des braconniers. Un acte dont il recherche activement les auteurs et qu'il a décrit comme le plus important massacre de pachydermes au Kenya depuis deux décennies. C'est un triste record qui vient d'être révélé par le Service de la Faune kényane (KWS). Alors que le braconnagedes espèces menacées ne cesse de prendre de l'ampleur à travers le monde, un nouveau massacre a eu lieu dans le sud-est du pays. Les corps criblés de balles

LE 30 AVRIL DE CHAQUE ANNÉE, LE MONDE ENTIER, COMMÉMORE LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE L'ENSEIGNEMENT : "Sans les enseignantes et les enseignants, l'éducation ne remplirait pas le rôle qui lui est assigné, car enseigner ne signifie pas uniquement apprendre à l’ élève une série de faits et nombres. C'est inspirer, libérer le potentiel de l'enfant, lui offrir de nouvelles perspectives. Enseigner c'est aider les enfants à concrétiser leurs rêves d'un monde meilleur. C'est pourquoi l'Internationale de l'Education insiste tellement sur le droit de chaque enfant dans le monde de bénéficier de l'attention de personnels qualifiés. Tout au long des différentes étapes de la scolarité, du jardin d'enfants à l'éducation supérieure, il faut des enseignantes et des enseignants qualifiés pour guider les élèves et les encourager à cultiver des valeurs fondamentales telles que la paix, la tolérance, l'égalité, le respect et la compréhension.

En Rdc le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Initiation à la Nouvelle Citoyenneté, Son Excellence Maker MWANGU, a procédé au lancement de la semaine de la science et des technologies tout en précisant le contexte de son organisation qui se rapporte aux assises de la COP21 et des ses implications pour la RDC. D'où, le thème "Nature et Environnement". C’est un évènement destiné à développer auprès des jeunes et du grand public une culture scientifique et technologique, à promouvoir les savoirs et savoir-faire congolais et susciter des vocations dans les domaines techniques et scientifiques a déclaré le Ministre. Parmi les innovations, cette édition procède à unconcours national des posters scientifiques. Au total 11 posters retenus sur les 91 reçu suivant les critères de sélection suivants : présenter une problématique locale ; une solution efficiente, durable, applicable et innovante ; avec clarté dans la démonstration du problème ; un texte compréhensibl

RDCONGO : après trente-deux ans de mobutisme, la République démocratique du Congo ouvre une nouvelle page de son histoire tourmentée : la décolonisation, les sécessions qui s'en sont suivies, la dictature du maréchal Mobutu et, enfin, la victoire des rebelles de l'AFDL, conduite par Laurent-Désiré Kabila. Ce dernier, premier président de la nouvelle République démocratique du Congo, devra s'atteler à une tâche ardue : redresser économiquement un pays dévasté par plus de trois décennies de gaspillages, de vols, de pillages et de corruption généralisée à l'instigation de son prédécesseur Mobutu et de ses courtisans aussi bien congolais qu'occidentaux. Dans cette optique, il importe de procéder à un inventaire minutieux de l'appareil productif et du potentiel humain si l'on veut, une fois la tourmente passée, aider le pays à se relever, à se reconstruire. Sur la scène politique, il est prématuré d'analyser l'action du gouvernement Kabila et surtout de le critiquer, même si certaines de ces décisions peuvent heurter.

La République démocratique du Congo est le pays des paradoxes et de la démesure. Démesure dans sa superficie, avec un territoire de plus de 2 millions de km², dans ses richesses, avec un formidable potentiel minier, agricole, forestier, énergétique et halieutique, dans la taille de sa capitale, Kinshasa, qui concentre plus d'un dixième de la population totale, dans son réseau fluvial avec l'un des plus puissants fleuves au monde, le Congo. Mais démesure aussi dans ses indicateurs économiques et sociaux, parmi les plus faibles du continent africain et dans la manière dont il a été géré pendant plus de trois décennies, une gestion qui s'est caractérisée par un pillage des deniers publics au profit de quelques uns, sans grand équivalent ailleurs, qui a entraîné une dégradation des conditions socio-économiques et un terrible bond en arrière... Le bilan est lourd et les contrastes immenses. D'un côté, un pays potentiellement riche, quelques îlots de richesse peu ou mal inve