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Affichage des articles du avril 13, 2016

Un autre dialogue en Rdcongo peut résoudre le problème d' légitimité au sein de classe politique ? : Tshisekedi prêt à donner un 3e mandat à Kabila ? Le facilitateur du dialogue congolais, Edem Kodjo, a annoncé lundi 11 avril la convocation du dialogue d’ici la fin de la semaine. Un dialogue qu’il souhaite « inclusif » mais qui pourrait rapidement tourner à un tête-à-tête entre le pouvoir et l’UDPS, qui a accepté d’y prendre part. A Kinshasa comme ailleurs en RDC, beaucoup redoutent ce dialogue qu’ils estiment faussé, en raison notamment des liens qui unissent indirectement le médiateur de l’Union Africaine au Président Kabila. D’emblée, Edem Kodjo a tenté de se montrer rassurant. L’ancien Premier ministre du Togo a annoncé, hier lundi 11 avril, le lancement du dialogue congolaisd’ici la fin de la semaine. « Il n’y a pas de choses impossibles pour les hommes de bonne volonté », a-t-il déclaré devant un parterre de journalistes réunis pour l’occasion à Kinshasa. La durée d’un tel dialogue ? Deux semaines mais peut-être plus, a-t-il indiqué.

La caution de l’UDPS Du coup, la rue congolaise s’interroge sur les raisons de la participation de l’UDPS à un tel processus, ardemment souhaité par le Président Kabila kabange, et son entourage dela MP. « Aujourd’hui, nous avons dans l’opposition un soutien ferme de l’UDPS et je saisis cette occasion pour remercier chaleureusement le président Tshisekedi et tout son entourage pour avoir permis l’organisation du dialogue », a lancé un Edem Kodjo – visiblement soulagé – aux journalistes. « Une caution utile », tranche un militant de l’UNC, dont le parti a fermement refusé de prendre part à ce qu’il qualifie de « trahison ». Dialogue inclusif ou « deal » politique ? Officiellement, l’UDPS demeure sceptique à l’égard de la nomination d’Edem Kodjo comme facilitateur. Le parti ne ferme pas la porte aux négociations, à condition que les parties s’engagent, d’ici au 24 avril, à respecter strictement la Constitution. Mais en off, les langues se délient dans les rangs mêmes du parti de Tshis

Complicité et l' agenda caché des États-Unies contre la Rdcongo pour une mission de déstabilisation des institutions nationaux. Dans une interview accordée samedi 09 avril 2016 à RFI, Tom Perriello envoyé spécial des Etats-Unis pour les Grands Lacs, s’est livré à un exercice d’analyse pour le moins bizarre de la situation sécuritaire et du processus électoral en cours en République Démocratique du Congo. Au regard de la lourde charge et de la légèreté stupéfiante des propos tenus par cet envoyé spécial d’un Etat partenaire majeur de la RD Congo dans cette interview, tout observateur honnête et objectif au parfum de la situation réelle dans ce pays est en droit non seulement de questionner le rôle d’un envoyé spécial en général, mais aussi de s’interroger sur ses objectifs particuliers. En effet, en des termes frisant l’irrationalitéet l’irresponsabilité, Tom Perriello annonce déjà l’apocalypse et déroule un scénario qui semble écrit à l’avance par les officines qui planifient depuis belle lurette des affrontements fratricides entre Congolais, et propices au pillage des ressources de leur pays.

Ainsi, s’agissant du mandat de protection des civils par la Monusco, à la différence de tous les observateurs qui constatent que 17 ans après, la présence des forces onusiennes n’a pas toujours été à la hauteur des attentes concernant la protection des populations civiles, c’est avec un cynisme déconcertant que Tom Perriello balaye cette réalité et dédouane tout bonnement la Monusco de ses responsabilitésen la matière et en impute, sans gants, toutes les défaillances au gouvernement congolais. Comme quoi, la démonstration est faite : les victoires ont toujours un trop plein de pères tandis que les défaites sont toujours orphelines. En ce qui concerne le processus électoral, contrairement à tous les analystes sérieux qui sont convaincus de l’impossibilitéobjective d’organiser les élections dans les délais prévus par la Constitution en raison des contraintes soulevées par ce processus et dont la Centrale Électorale congolaise a rendu publiquement compte en invitant tous les protagoniste

Après un nouveau combat, qui a opposé les Millitaires Fardc à un groupe des Adf-Nalu, sur le Mont-Atokaka, les soldats del' armée régulière contrôlent la zone malgré, la perte des trois millitaires qui ont trouvé, la mort lors d' accrochage. Rétour sur l' affrontement : tout a commencé, àl' est dela localité Kokola où les Adf-Nalu, ont tendu une embuscade contre un convoi des soldats des FARDC en Patroui. Et après, ça n' est suivi, de violent combat àl' arme lourde et légère entre les deux conté. Cette accrochage a eu lieu, le matin du mardi 12 avril 2016 entre un groupe des militaire fardc et les hommes idatifié au groupe des Adf-Nalu, avec des créputements des balles et détonations des armes entre la localité, de Kokola, et Atokaka, où sont instalé plusieurs positions des Fard situé àl' EST de Kokola dans la brousse du groupement de Bambubha-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau en térritoire de Beni. Bilan trois millitaires Fardc, tombé sous le drapeau nationale, reseigne le porte parole d' OPS Sukula1 le LTN MAC AZUKAY. Mais toute fois, un officier supérieur, dans la zone rassure que les fardc controle la situation. Ce qui explique une forte concentration des troupes de l’armée congolaise dépuis le milieu de la semaine dernière à Erengeti et dans le village voisin. Celle-ci consiste à poursuivre les ADF-Nalu dans la partie nord du territoire de Beni après avoir démantelé leurs bases dans la partie sud, a-t-il précisé. La zone d’opération couvre une superficie de 100 km sur 40, soit 4000 km2, englobe la totalité des localités récemment affectées par les actes de pillage et de viols massifs.

Le Général Mbangu Mashita Marcel, commandant d' Ops SUKOLA I, et son Etat-Major et quelques officiers du Sous-secteur de BENI et du 3204 ème régiment ont re ouvert le tronçon Opira-Mont ATOKAKA quelques heures après l'embuscade des térroristes contre quelques soldats Fardc. Les autorités congolaises accusent les Forces démocratiques alliées (Allied Democratique Forces, ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Or cela n’est pas si simple : des éléments de preuve suggèrent en effet l’implication de l’armée congolaise et des liens potentiels avec les réseaux de contrebande. Kolu Mosekuse se rappelle très bien l’attaque commise contre Ngadi, un village endormi situé en bordure de la route nationale 4, le long de la frontière ougandaise. Alors que nous marchons le long d’un chemin de terre bordé d’étals de nourriture, d’un atelier de réparation et d’une station-service de fortune, M. Mosekuse, le chef adjoint du village, m