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Affichage des articles du décembre 14, 2015

OÏCHA-NORD-KIVU-RDCONGO : Grève contre les attaques des.. La société civile d'Oïcha projette une journée ville morte. Mr Jean Paul Paluku Ngahangondi Le président d'une ONG la CRDH convention pour le réspect des droits del' homme, et autres composante dela société civile appellent la population d'Oïcha à dater d'aujourd' hui à observer, mardi 15 décembre 2015 une « journée-ville morte », en mémoire des victimes de la guerre des rébélles des Adf-Nalu. Ils ont a lancé cet appel, après la rencontre entre les membres dela société civile d'Oïcha, au terme de l’ultimatum des jours que son organisation a lancé jusqu' àl'arrivée du ministre del'intérieur et dela défence à Oïcha. La société civile du Nord-Kivu a demandé au gouvernement et àla brigade d'intervation del'onu de lancer, endéans ce délai, les opérations offensives contre les groupes armés des Adf-Nalu qui térrorise la population de Beni térritoire et ses environs. Les autorités dela société civile ont a appelé toute la population, y compris les humanitaires, à souscrire à cette «journée ville morte. Le mardi, nous allons devoir demander à la population du Nord-Kivu de rester à la maison. Nous lançons cette activité pour demander au chef de l’Etat et aux autorités du pays de mener, dans le bref délai, des actions allant dans le sens de sauver les victimes dans les territoires de Beni, a indiqué le président de la société civile d'Oïcha au Nord-Kivu. Pour, Lewis Saliboko le gouvernement congolais devrait mettre fin aux tout les groupes et laisser les Forces armées de la RDC (FARDC) faire leur travail. Mais certaines associations de la province ne partagent pas l’avis de la société civile du Nord-Kivu sur la date choisie pour organiser cette «journée ville morte». Pour la Jeunesse d'Oïcha par exemple, le deuil devrait commencer plutôt dans les jours à venir et se poursuivre sur l'entendue du térritoire . Dépuis des années dernier, la société civile avait donné un délais à la brigade d’intervention de la Monusco pour lancer les opérations offensives contre les groupes armés dans la région de Beni, promettant des actions d’envergure si cette force n’entamait pas la traque contre ces milices passé ce délai. Ces rebelles sèment l’insécurité et la désolation dans la chefferie de Watalinga et dans le secteur Beni-Mbau, vidé, depuis deux ans, de ses habitants. Selon la société civile de Beni, les ADF-Nalu ont kidnappé au moins 600 civils dont 3 prêtres, 4 agents de Médecin sans frontière (MSF) et un médecin d’Oïcha, en l’espace de deux ans. Plusieurs agglomérations du territoire de Beni (Nord-Kivu) vont observer, , des journées «ville-morte» pour dénoncer l’insécurité dans leur contrée. Selon des sources concordantes, les activités socio-économiques seront rester quasiment paralyser, durant les jours, de ville morte dans ces localités, notamment à Oïcha, chef-lieu du territoire de Beni. La population va répondre au mot d’ordre de la coordination provinciale de la société civile du Nord-Kivu. Il est temps que le gouvernement se mette en œuvre avec des actions de grande envergures et cela devrait être accompagnées par la brigade tant attendue de la Monusco qui a beaucoup trainé », a indiqué le président de la société civile de Beni, Eddy Kataliko. Cela est arrivé après une attaque des Adf-Nalu à Oïcha hier dimanche 13 décembre 2015 vers 17:00 Les ADF ont de nouveau attaqué la ville d'Oicha. Le bilan fait état de 4 morts dont un civile et trois millitaires ont a été tué dimanche soir et 3 maisons dela population icendié lors d'une attaque attribuée aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans l'est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris lundi de sources concordantes. Cela a crée d' épiscose au sein dela population qui se sont déplacé del' est vers l' ouest délaboration commune rurale d'Oïcha. Ils sont prouvé qu’ils ne sont pas du tout éradiqués, les rebelles ougandais des ADF/NALU. Ils ont bel et bien repris du service dans leur bastion de Beni-Territoire. Il s’inquiète de la résurgence des ADF/NALU là où ils avaient été chassés et accuse, lui, les Fardc d’avoir relâché la pression militaire. Alors qu’il fallait continuer à intensifier des opérations de ratissage. Les ADF/NALU sont donc bel et bien de retour et ont signé leur come-back en lettres de sang. Ce qui change toute la donne militaire et la cartographie des Fardc dans le Nord-Kivu. Il faut tout revoir radicalement. Car ces attaques des ADF/NALU et des prises d’otages qui ont commencé, donnent raison aux experts de l’Onu qui, dans leur dernier rapport publié après le démantèlement des ADF/NALU à Kamanga, estimaient que leur chaîne de commandement était restée intacte. Les événements actuels leur donnent raison. Les ADF/NALU se sont reconstitués à peu de frais et en peu de temps. Ce qui veut dire qu’ils n’étaient pas loin. On revient à la case-départ : la reprise de toutes les opérations contre ces rebelles ougandais. Mais comment et c’est cela la question fondamentale.

La République démocratique du Congo est, dans ses frontières du 30 juin 1960, un État de droit, indépendant, souverain, uni et indivisible, social, démocratique et laïc. Article premier dela constitution. Il est interdit à toute personne jouissant régulièrement du droit d'asile d'entreprendre toute activité subversive contre son pays d'origine ou contre tout autre pays, à partir du territoire de la République démocratique du Congo Article 33 . La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cet état des choses, les populations locales appellent à cor et à cri le renforcement des unités des forces de l’ordre et de sécurité dans le territoire de Beni. Depuis que le gouvernement a

DR CONGO REBEL ATTACK Oïcha ADF-NALU IN THE CAPITAL TERRITORY SUNDAY TO 17 December 13, 2015 HOURS LOCAL TIME: The ADF has again attacked the city Oicha.The assessment reported four dead, including one civilian and three millitaires were killed Sunday evening and 3 houses dela population icendié in an attack attributed to the Ugandan rebels of the Allied Democratic Forces (ADF) in the eastern Democratic Republic of the Congo, does said Monday corroborating sources.This creates for épiscose within dela population who have moved del east to west rural town of délaboration Oïcha.This attack is added to that of the same or Eringeti Adf-Nalu have to fire Hopital Eringeti with plunder.They have proved that they are not eradicated, the Ugandan rebels of ADF / NALU.They have actually resumed service in their stronghold of Beni Territory.On the night of Monday to Tuesday, they hit mercilessly in Beni tér, 30 km from Beni-City on the axis of Eringeti.In this agglomeration attacked by the ADF / NALU, a dozen dead, several injured and 10 kidnapped persons were counted, information Civil Society of North Kivu.The people have spent a difficult night.People rioted to express their anger at the Calvary their taxed again by the ADF / NALU no intervention of FARDC.Beni Mbawo feels completely abandoned and left to his own fate.Feeling angry also in Me About Omar Kavota, vice president and spokesman of the Civil Society of North Kivu.He is concerned about the resurgence of the ADF / NALU where they had been driven out and accuses him of having released the FARDC military pressure.While the need to continue to intensify search operations.While in civil society, we continue to demand the release of 600 hostages who are still in the hands of the ADF / NALU and which we have no news.These Ugandan negative forces inaugurated the second series of hostage-taking.GIVES THE MILITARY RADICAL CHANGE The last weekend, it deplored the kidnapping of seven people in a remote village in the same area.The ADF / NALU are well and truly back and signed their comeback in letters of blood.This changes the whole military and mapping gives the FARDC in North Kivu.Everything must radically review.Because these attacks ADF / NALU and hostage takings that began, due to give UN experts who, in their latest report published after the dismantling of the ADF / NALU in Kamanga, believed their chain of command remained intact.Current events have proved them right.The ADF / NALU have recovered at low cost and in a short time.This means that they were not far away.We return to the starting-box: the recovery of all operations against the Ugandan rebels.But how and that is the fundamental question because there is no doubt that the strategy used to this day by FARDC supported by MONUSCO has shown its limits.It is therefore all the scaffolding of the doctrine of attack need revisiting.Meanwhile, the population has to do with the resurgence of the ADF with their terrible psychosis indiscriminate killings, abductions, human slavery, looting, rape, over vast areas that are beyond the military and on which they impose on them law.Insecurity will be effective on every street corner in the same villages in Beni city where they managed several surprise attacks.DEATH OF TWO HEROES OF WAR.We are on the alert everywhere.How to conduct economic activities in these conditions for fear panic?17 people already removed in less than a week, it is staggering and the idea of ​​what will be the life of these people in Beni territory.He must immediately stop the ADF / NALU.But who will stop them?In the new organization of the FARDC, stalking against the ADF is attributed to a general, General Muhindo, based in Beni.It replaces for this charge, the three-star general Jean-Lucien Bahuma, struck down by a stroke (cerebrovascular accident) there is a little over a month.It may be noted that the resurgence of activism ADF / NALU is involved in a particularly difficult situation in North Kivu.The province lost in nine months, two of his most worthy son, two heroes of the war, two brave fighters who would stop at nothing on the front line.This is Colonel Mamadou Ndala, the man who put the knees M23.He was killed in a January 2 Beni city while he is in the process of getting to Eringeti, 70 km from Beni to prepare the stalking operations against ADF / NALU.Thus initially, this assassination is attributed to the Ugandan Islamists who were informed of these preparations and have still celebrated the death of Ndala even if they are not sponsors.

Today insecurity creates a climate of generalized psychosis Oïcha capital of the Beni territory in the province of North Kivu population victims of the massacres, looting, rape, etc. For several weeks, the rural municipality dela population of Oïcha is the target of repeated attacks and looting, committed by population by armed men in uniform.This is not the first time the city experienced such surges insecurity.Before these men determined and well organized, the population is afraid, says Lewis Saliboko, a representative of civil society.In the afternoon yesterday Sunday, October 18, 2015 Adf-Nalu rebels attacked one of celules To the east of Oïcha located around 16h 30. Bilan two missing children, a Dece of an old woman and some houses burned by these same rébéles that are very active in the Beni region, nearly 30 years ago until today.The population of del'est Oïcha have moved beyond rural town west at 99.9%.Ago morning until now many people are fleeing to other algomérations a

OICHA RDCONGO ATTAQUE DES REBELLES ADF-NALU DANS LE CHEF-LIEU DU TERRITOIRE DIMANCHE LE 13 DECEMBRE 2015 VERS 17 HEURES HEURE LOCALE : Les ADF ont de nouveau attaqué la ville d'Oicha. Le bilan fait état de 4 morts dont un civile et trois millitaires ont a été tué dimanche soir et 3 maisons dela population icendié lors d'une attaque attribuée aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans l'est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris lundi de sources concordantes. Cela a crée d' épiscose au sein dela population qui se sont déplacé del' est vers l' ouest délaboration commune rurale d'Oïcha. Cette attaque s'ajoute à celle d' Eringeti ou ces même Adf-Nalu ont incendie Hopitale d'Eringeti avec des pillage. Ils sont prouvé qu’ils ne sont pas du tout éradiqués, les rebelles ougandais des ADF/NALU. Ils ont bel et bien repris du service dans leur bastion de Beni-Territoire. Dans la nuit de lundi à mardi, ils ont frappé sans pitié à Beni tér, à 30 km de Beni-ville sur l’axe d’Eringeti. Dans cette agglomération attaquée par les ADF/NALU, une dizaine de morts, plusieurs blessés et 10 personnes enlevés ont été dénombrés, renseigne la Société civile du Nord-Kivu. Les habitants ont passé une nuit difficile. Les gens ont violemment manifesté pour exprimer leur colère face à ce calvaire leur imposé à nouveau par les ADF/NALU sans aucune intervention des Fardc. Beni-Mbawo se sent complètement abandonné et livré à son propre sort. Sentiment de colère également dans les propos de Me Omar Kavota, Vice-président et porte-parole de la Société civile du Nord-Kivu. Il s’inquiète de la résurgence des ADF/NALU là où ils avaient été chassés et accuse, lui, les Fardc d’avoir relâché la pression militaire. Alors qu’il fallait continuer à intensifier des opérations de ratissage. Pendant qu’à la Société civile, on continue à exiger la libération de 600 otages qui sont encore aux mains de ces ADF/NALU et dont on n’a aucune nouvelle. Ces forces négatives ougandaises ont inauguré la deuxième série des prises d’otages. LA DONNE MILITAIRE CHANGE RADICALEMENT Le week-end dernier, on a déploré l’enlèvement de 7 personnes dans un village reculé dans la même zone. Les ADF/NALU sont donc bel et bien de retour et ont signé leur come-back en lettres de sang. Ce qui change toute la donne militaire et la cartographie des Fardc dans le Nord-Kivu. Il faut tout revoir radicalement. Car ces attaques des ADF/NALU et des prises d’otages qui ont commencé, donnent raison aux experts de l’Onu qui, dans leur dernier rapport publié après le démantèlement des ADF/NALU à Kamanga, estimaient que leur chaîne de commandement était restée intacte. Les événements actuels leur donnent raison. Les ADF/NALU se sont reconstitués à peu de frais et en peu de temps. Ce qui veut dire qu’ils n’étaient pas loin. On revient à la case-départ : la reprise de toutes les opérations contre ces rebelles ougandais. Mais comment et c’est cela la question fondamentale car il n’y a pas de doute que la stratégie utilisée jusqu’à ce jour par les Fardc appuyées par la Monusco a montré ses limites. C’est donc tout l’échafaudage de la doctrine d’attaque qu’il faut revisiter. En attendant, la population doit faire avec la réapparition des ADF avec leur psychose terrible des tueries aveugles, des enlèvements, d’esclavage humain, des pillages, des viols, sur de vastes étendues qui échappent à l’armée et sur lesquelles ils imposent leur loi. L’insécurité sera effective à chaque coin de rue dans des villages même dans Beni-ville où ils ont plusieurs fois réussi des attaques-surprises. LA MORT DE DEUX HEROS DE LA GUERRE. On est sur le qui-vive partout. Comment mener des activités économiques dans ces conditions de peur-panique ? 17 personnes enlevées déjà en moins d’une semaine, cela donne le vertige et l’idée de ce que sera la vie de ces populations de Beni-Territoire. Il faut tout de suite stopper les ADF/NALU. Mais qui va les stopper ? Dans la nouvelle organisation des Fardc, la traque contre les ADF est attribuée à un général, le général Muhindo, basé à Beni. Il remplace pour cette charge, le général trois étoiles Jean-Lucien Bahuma, foudroyé par un AVC (accident vasculaire cérébral) il y a un peu plus d’un mois. On peut noter que la résurgence de l’activisme des ADF/NALU intervient dans un contexte particulièrement difficile au Nord-Kivu. La province a perdu, en 9 mois, deux de ses fils les plus dignes, deux héros de la guerre, deux braves combattants qui ne reculaient devant rien sur la ligne de front. Il s’agit du colonel Mamadou Ndala, l’homme qui a mis le M23 à genoux. Il est tué un certain 2 janvier à Beni-ville alors qu’il est en train de se rendre à Eringeti, 70 km de Beni, pour préparer les opérations de traque contre les ADF/NALU. C’est ainsi que dans un premier temps, cet assassinat est attribué à ces islamistes ougandais qui étaient informés de ces préparatifs et qui ont tout de même fêté la mort de Ndala même si ils n’en sont pas des commanditaires.

Aujourd' hui l'insécurité cree un climat de psychose généralisée à Oïcha chef lieu du térritoire de Beni dans la province du Nord-Kivu la population victimes des massacres, pillages, viols, etc. Depuis plusieurs semaines, la population dela commune rurale d' Oïcha est la cible de pillages et d'attaques répétées, commises selon la population par des hommes armés en uniforme. Ce n'est pas la première fois que la ville connaît de telles poussées d'insécurité. Devant ces hommes déterminés et bien organisés, la population a peur, explique Lewis Saliboko, un représentant de la société civile. Dans l'après midi d'hier Dimanche 18 octobre 2015 les rébélles Adf-Nalu ont attaqué l'une des celules situé àl'est d'Oïcha vers 16h 30. Bilan deux enfants disparus,un décè d'une vieille femme et quelques maisons incendiés par ces même rébéles qui sont très actif dans la région de Beni,dépuis près de 30 ans jusqu'aujourd'hui. La population del'

RDCONGO OPPONENTS IN MEETING OF SENEGAL TO COUNTER THE DIALOGUE: Many political and social actors to exploit the DRC, in fact, the first paragraph of this article to consider action against the Congolese President Joseph Kabila and his regime they accuse wanting to violate the Constitution to perpetuate in power.At the operating section 64 of the Congolese Constitution, the PGR Kabange responded by stressing the second paragraph of the same article which provides for sanctions against any seizure of power by illegal means.Kabange recalled, in passing, that the mandate of the President according runs until December 2016, while those who exploit Article 64 project their actions to January.It is attended last week in Kinshasa (DRC), a skirmish between the Attorney General of the Republic and the Catholic Church through its executive structure called the National Episcopal Conference of Congo (CENCO ).Indeed, reacting to several announcements of a fringe of the opposition and civil society and the CENCO, the Congolese PGR, Flory Kabange Numbi, warned against any use of Article 64 for purposes insurgency and criminal .We thought things would stay there and everyone would assume its responsibilities according to law.But, clearly, Catholics had a well-established plan that would not do back its projections.Indeed, from reliable sources, it behooves us that Catholic bishops are determined to raise the population for actions against the regime in Kinshasa.To achieve this, our sources indicate that the Abbot Leonardo Santedi, Secretary General of CENCO currently staying in Senegal to meet with officials of the so-called citizens 'organizations such as the movement "Enough' s enough" and emissaries of "Ballet citizen "Burkinabe, to reflect on the DRC and actions to be taken in January - February.Feeling covered by this warning, CENCO responded earlier this week to stress that it has no designs or any criminal insurgency, but rather an attitude of citizen participation in the progress of the nation through the assumption of his rights and freedoms by the people.General Secretary CENCO, Abbot Leonard Santedi would meet movements called "citizens" to reflect on actions to be taken in January-February, 2015 in the DRC, according to the last call of the Catholic Church.Provided that such information is confirmed by other sources, it is possible, already, argued that CENCO crossed the ruddy and is now in the logic of direct confrontation.It then remains to be seen how the Congolese Government will determine the face of this hard-line.Which is unfortunate, meanwhile, it is this tendency of Africans to always solve problems with violence.The Catholic Church should be reduced in the village to collect the Congolese instead to register as a party to the latent political conflict and likely to lead to a new conflagration of this carrier DRC hopes on the development of Africa."Enough 's enough" and "Ballet Citizen" have already intervened in the DRC in January 2015 in the kind of situations that had then been identified as insurgent actions.Funded organization National Indowment for Democracy (NED) attached to the US State Department through USAID, their mission was in Kinshasa to organize and train young people in insurgent actions around their associations such as "Filimbi" and LUCHA (Struggle for Change), some activists are still in detention in Kinshasa.Felix Tshisekedi for External Relations of the UDPS was accompanied Samy Badibanga, met Thursday, December 10, 2015 in Paris, Moses Katumbi, former Governor of the former Katanga happened recently in opposition.According to the records made of this meeting, two people were exchanged on the strategies to be implemented to achieve political change in 2016 elections They shared their determination that the presidential election should be held within the constitutional deadlines.Many observers question this sudden rapprochement between UDPS opposition party, and Moses Katumbi who just left the majority.It was not long ago, in fact, the UDPS distrusted Katumbi and G7, saying it was a sort of Trojan horse sent of power within the opposition for torpedoing.Also according to the journalists present at this interview, and Tshisekedi son Katumbi affirmed their rejection of the national dialogue for peaceful elections.The two men also discussed the possibility of supporting a joint opposition candidate in the presidential election.

OPPOSITION STILL ORDER CONGOLAISE DISPERSED BEFORE OR AFTER THE ELECTIONS IN DR CONGO: hot debate: DRC divides it -t dialogue the opposition?DRC: Opposition divided on political dialogue proposed by Joseph Kabila.Moreover, when asked this question, many Congolese who have reservations about this.They no longer trust political opposition leaders."They are adventurers, these opponents.At any time, they seem to speak for the people, and yet they advocate for their own interests, "said a Kinshasa who was speaking on the air of a private radio station based in Kinshasa.An emissary of President Kabila toured the opposition parties, expressing them to the will of the Congolese head of state to open with them a "political dialogue."But for opponents, Kabila wants to stay in power beyond his term.Political parties together in a platform said on Monday be opposed to this dialogue.Martin Fayulu, opposition MP, said that he saw as his peers in the political family, any opportun

RDCONGO DES OPPOSANTS EN REUNION AU SENEGAL POUR CONTRER LE DIALOGUE: Plusieurs acteurs politiques et sociaux de la RDC exploitent, en effet, le premier alinéa de cet article pour envisager des actions contre le Président congolais, Joseph Kabila, et son régime qu’ils accusent de vouloir violer la Constitution pour s’éterniser au pouvoir. A cette exploitation de l’article 64 de la Constitution congolaise, le PGR Kabange a réagi en soulignant le second alinéa de ce même article qui prévoit des sanctions contre toute prise de pouvoir par des voies illégales. Kabange a rappelé, au passage, que le mandat du Président en fonction court jusqu’en décembre 2016, tandis que ceux qui exploitent l’article 64 projettent leurs actions pour janvier prochain. L’on a assisté, la semaine dernière à Kinshasa (République Démocratique du Congo), à une passe d’armes entre le Procureur Général de la République et l’Eglise Catholique à travers sa structure exécutive dénommée la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO). En effet, réagissant à plusieurs annonces d’une frange de l’opposition et de la société civile ainsi que de la CENCO, le PGR congolais, Flory Kabange Numbi, a prévenu contre tout usage de l’article 64 à des fins insurrectionnelles et criminelles. On pensait que les choses en resteraient là et que chacun allait assumer ses responsabilités conformément à la loi. Mais, manifestement, les catholiques avaient un plan bien établi qui ne la ferait pas reculer de ses projections. En effet, de source digne de foi, il nous revient que les Evêques catholiques sont bien déterminés à soulever les populations pour des actions contre le régime de Kinshasa. Pour y parvenir, nos sources indiquent que l’Abbé Léonard Santedi, Secrétaire Général de la CENCO, séjourne actuellement au Sénégal pour rencontrer des responsables des organisations dites citoyennes, telles que le mouvement «Y’en a marre» et des émissaires du « Ballet Citoyen » burkinabè, pour réfléchir sur la RDC et les actions à mener en janvier – février prochain. Se sentant visée par cette mise en garde, la CENCO a réagi en début de semaine pour souligner qu’elle n’a aucune visée insurrectionnelle ou criminelle quelconque, mais plutôt une attitude citoyenne de participation à la marche de la Nation à travers l’assomption de ses droits et libertés par le peuple. Secrétaire Général de la CENCO, L’Abbé Léonard Santedi voudrait rencontrer des mouvements dits « citoyens » pour réfléchir sur des actions à mener en janvier-février 2015 en RDC, conformément au dernier appel de l’Eglise catholique. Pour autant que ces informations se confirment par d’autres sources, l’on peut, d’ores et déjà, soutenir que la CENCO a franchi le rubicond et s’inscrit désormais dans la logique de la confrontation directe. Il reste alors à savoir comment le Gouvernement congolais va se déterminer face à ce jusqu’au-boutisme. Ce qui est à déplorer, en attendant, c’est cette tendance des Africains à toujours régler des problèmes par la violence. L’Eglise catholique devrait se ramener au milieu du village pour rassembler les Congolais au lieu de s’inscrire comme partie au conflit politique latent et de nature à déboucher sur un nouvel embrasement de cette RDC porteuse des espoirs sur le développement de l’Afrique. « Y’en a marre » et le « Ballet Citoyen » sont déjà intervenus en RDC en janvier 2015 dans le genre des situations qui avaient, alors, été identifiées comme étant des actions insurrectionnelles. Financés par l’organisme National Indowment for Democracy (NED) attaché au Département d’Etat américain à travers l’USAID, leur mission à Kinshasa était d’organiser et former des jeunes à des actions insurrectionnelles autour de leurs associations telles que « Filimbi » et LUCHA (Lutte pour le changement) dont certains activistes sont encore en détention à Kinshasa. Félix Tshisekedi, chargé des relations extérieures de l’UDPS qu’accompagnait Samy Badibanga, a rencontré jeudi 10 décembre 2015 à Paris, Moïse Katumbi, ancien Gouverneur de l’ex-Katanga passé récemment dans l’opposition. Selon les comptes rendus faits de cette rencontre, les deux personnes auraient échangé sur les stratégies à mettre en place pour obtenir une alternance politique aux élections de 2016. Ils ont partagé leur détermination à ce que l’élection présidentielle se tienne dans les délais constitutionnels. Bien d’observateurs s’interrogent sur ce subit rapprochement entre l’UDPS, parti de l’opposition, et Moïse Katumbi qui vient de quitter la majorité. Il n’y a pas longtemps, en effet, l’UDPS se méfiait de Katumbi et du G7, estimant qu’il s’agissait d’une sorte de cheval de Troie du pouvoir envoyé au sein de l’opposition pour la torpiller. Toujours selon des journalistes présents à cet entretien, Tshisekedi fils et Katumbi ont affirmé leur rejet du dialogue national pour les élections apaisées. Les deux hommes ont également évoqué la possibilité de soutenir un candidat commun de l’opposition lors de l’élection présidentielle.

OPPOSITION CONGOLAISE TOUJOURS EN ORDRE DISPERSEE AVANT OU APRES LES ELECTIONS EN RDCONGO : Débat très chaud : RDC , le dialogue divise -t-il l ' opposition ? RDC : l’opposition divisée sur un dialogue politique proposé par Joseph Kabila. Par ailleurs, interrogés sur cette question, nombreux sont les Congolais qui émettent des réserves sur ce sujet. Ils n’ont plus confiance aux leaders politiques de l’opposition. « Ce sont des aventuriers, ces opposants. A tout moment, ils donnent l’impression de parler au nom du peuple, et pourtant ils ne militent que pour leurs propres intérêts », a déclaré un kinois qui intervenait sur les ondes d’une radio privée émettant à Kinshasa. Un émissaire du président Kabila fait le tour des partis de l’opposition, leur faisant part de la volonté du chef de l'État congolais d'ouvrir avec eux un "dialogue politique". Mais pour les opposants, Kabila veut se maintenir au pouvoir au-delà du terme de son mandat. Des partis politiques regrou