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Affichage des articles du juillet 25, 2016

Nouvelle fusillade en Floride aux Étàts-Unies : trois personnes interpellées La cible est une boîte de nuit pour jeunes, le Club Blu. L'attaque s'est produite dans la ville de Fort Myers, un mois et demi après l'attentat d'Orlando.

Qu' il était 12 h 21 heure locale : Les blessés âgés de 12 à 27 ans Plusieurs blessés sont soignés à l'hôpital Lee Memorial de Fort Myers et ont entre 12 et 27 ans. L'un d'entre eux serait dans un état critique. UPDATE: Lee Memorial treated 16 nightclub shooting victims. Youngest 12, oldest 27. 4 still in hospital, 1 is critical and 1 is serious.— WINK News (@winknews) 25 juillet 2016 12 h 01- Tirs "au hasard" sur les maisons Selon Fox4News, les auteurs des tirs seraient repartis en 4 x 4 noir ouvrant le feu au hasard le long de la route et sur les maisons. 11 h 44- Trois interpellations Trois personnes en lien avec la fusillade ont été interpellées par la police de Fort Myers. 11 h 33- Une trentaine de coups de feu La fusillade se serait déroulée sur le parking de la discothèque, selon les premiers éléments décrits par les autorités. Un témoin affirme à la chaîne de télévision locale Wink Newsavoir entendu une trentaine de coups de feu. 11 h 19- La

Windows 10 : pourquoi Microsoft n'atteindra pas le milliard d'appareils en 2018 !

Lorsque Microsoft a présenté Windows 10, la firme de Redmond a rapidement dévoilé ses attentes pour ce système d’exploitation : le diffuser le plus vite possible dans le monde entier et encourager les utilisateurs à installer cette mise à jour gratuite pour les possesseurs d’une licence Windows 7 ou Windows 8. Terry Myerson l’avait annoncé : « Windows 10 sera installé sur 1 milliard d’appareils d’ici deux à trois ans ». Malheureusement, la partie semble mal engagée et la firme de Redmond va devoir revoir ses exigences à la baisse. On vous explique pourquoi. Une gratuité pour encourager la migration L’idée de départ de Microsoft était bien pensée : pour la première fois, une nouvelle version de Windows pouvait être obtenue gratuitement à condition de possèder la licence d’une des deux versions précédentes (Windows 7 ou Windows 8). L’engouement de découvrir « le système le plus abouti de Microsoft » et sa gratuité ont été les premiers moteurs de l’adoption de Windows 10. Le processus é

Tensions d' un conflit inter-éthnique, est encore très tendu, ce dernier temp, entre les Nande, Hutu, et Hunde, dépuis samedi dernier 23 juillet 2016 à Kibirizi, un village situé à térritoire de Rutsuru, province du Nord-Kivu, vers partie Est dela République Démocratique du Congo : Ces actes des térroristes a été, dénoncé encore une fois de plus, par ONG la CEPADO, présent dans cette partie du pay, au dernière nouvel du samedi, del'année en cours dans ce village, en proie, d'insécurité meurtrière causé, par les groupes armés, présent, dans plusieurs endroits environnant, des villages situé, dans ce térritoire de Rutsuru : « Une main noire est derrière les groupes armés », dénonce le président de l’assemblée provinciale du Nord-Kivu !

Le village de Kibirizi est le théâtre de vives tensions communautaires entre Hutus et Nande depuis ce week-end. Les affrontements, qui impliqueraient des éléments FDLR, ont fait 10 morts jusqu’à présent. Suite au meurtre d’un membre de la communauté Hutu ce week-end, des hommes armés, que les témoins ont décrit comme des FDLR assistés d’autres groupes de combattants, ont fait une incursion la nuit dernière dans Kibirizi pour s’en prendre à plusieurs familles. Des députés provinciaux du Nord-Kivu et notables de Rutshuru invitent les communautés de Kibirizi à la paix et à l’unité pour mettre fin aux hostilités qui les opposent depuis plus de deux semaines. Ils ont lancé cet appel mercredi 20 juillet dans une déclaration à Radio Okapi. Sept personnes ont été tuées et cinq autres blessées lors d’une incursion des hommes armés, dans la nuit du lundi 18 juillet dans cette localité de la chefferie de Bwito. Le président de l’assemblée provinciale, Jules Hakizumwami, parle d’un «démon de ha

En République Démocratique du Congo : le lancement des travaux préparatoires au "dialogue national" est fixé au 30 juillet 2016 d'après une source d' EDEN KODJO le (facilitateur) !

Le facilitateur de l'Union africaine (UA) pour le "dialogue national" en République démocratique du Congo a annoncé samedi que les travaux préparatoires seraient lancés le 30 juillet. "Le 30 juillet, nous lancerons les travaux du comité préparatoire" au dialogue nationale en RDC, a déclaré l'ancien Premier ministre togolais Edem Kodjo à la presse à Kinshasa. Le comité a pour mission de "préparer l'ordre du jour du dialogue", élaborer "un règlement intérieur du dialogue qui va suivre [et] résoudre toutes les questions logistiques et matérielles" liées à son organisation, a-t-il indiqué, sans préciser le lieu où se tiendront ces travaux prévus pour une semaine au maximum. Le "dialogue national" mettra autour d'une même table les délégués de la majorité au pouvoir, ceux de l'opposition et de la société civile. Fin novembre, le président congolais Joseph Kabila avait annoncé son intention de convoquer un "dialog

Syrie : bombardements aériens sur des hôpitaux à Alep, tirs de roquettes sur Damas à qui la faute ?

Des bombardements aériens ont touché ces dernières 24 heures quatre hôpitaux de campagne et une banque de sang à Alep en Syrie, aggravant la situation humanitaire pour les 200.000 habitants des quartiers rebelles assiégés par les forces du régime. A Damas, bastion du président Bachar al-Assad, huit personnes ont été tuées et plus de 20 blessées dimanche dans la chute de roquettes tirées par des rebelles, la première attaque du genre depuis des mois sur la capitale syrienne, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Alors que la situation humanitaire empire à Alep, la deuxième ville du pays en guerre, quatre hôpitaux ont été touchés par des raids samedi soir et dimanche dans le secteur est contrôlé par les rebelles. Trois sont désormais hors service et le quatrième, où un nourrisson est décédé, a été endommagé sérieusement, selon le "service de la santé" géré par les insurgés. Outre le risque de manque de soins médicaux, les dizaines de milliers d