Articles

Affichage des articles du mars 8, 2016

Parité femme homme c'est le thème dela journée internationale du 08 mars pour l' année 2016 : Ce collectif des ambassadeurs estiment que la participation politique des femmes est indispensable pour assurer une représentation de la diversité. 13,6 % des élus aux différentes élections tenues en 2006 en République démocratique du Congo étaient des femmes et 12% en 2011. Ce 8 mars, Journée internationale de la femme, permet de mettre en lumière l’importance d’une participation politique des femmes indispensable pour assurer une représentation de la diversité du peuple congolais dans les institutions du pays. A l’occasion de la journée internationale de la femme, nous félicitons la RDC pour les progrès réels accomplis au cours de 15 dernières années, y compris dans le domaine de la démocratisation. Pour consolider ces progrès, et pour garantir la paix et la stabilité dans les 15 années à venir, ces progrès doivent devenir plus inclusifs au niveau politique. Avant tout, ces progrès doivent impliquer les femmes.

En tant que partenaires au développement, nous sommes nous aussi appelés à fournir davantage d’efforts pour intégrer l’égalité des genres dans nos cultures institutionnelles et dans nos programmes. Nous visons à augmenter le niveau de participation des femmes, que ce soit dans un comité de gestion de l’eau locale, dans des organismes de santé ou au Parlement national. Pour les programmes spécifiquement liés aux élections, nous faisons en sorte qu’un large éventail des besoins des femmes -pas seulement ceux de la classe politique- soient pris en considération de manière adéquate et mesurable à chaque étape du processus électoral. Enfin, nous devons promouvoir les femmes en tant que leaders non seulement des femmes, mais aussi des hommes, afin qu’elles puissent défendre les priorités générales, telles que la sécurité, la prestation des services, la lutte contre la corruption, l’Etat de droit et la lutte contre la pauvreté. En tant que partenaires au développement, nous souhaitons faire

DIALOGUE ET ELECTIONS EN RDCONGO : QUAND WASHINGTON RECLAME UNE CHOSE ET SON CONTRAIRE : Les Etats-Unis d’Amérique semblent être le dernier pays exclusiviste qui maintient la pression sur la tenue des élections coûte que coûte en 2016. L’envoyé spécial des Etats-Unis dans la région des Grands Lacs, Thomas Perriello, l’a répété lundi 22 février dernier en invitant la classe politique à trouver un consensus pour organiser les élections dans «un vrai délai constitutionnel». Il a estimé que la tenue des élections avant fin 2016 éviterait au peuple congolais de revivre des guerres liées à la conquête du pouvoir. Thomas Perriello a lancé cet appel à la sortie des échanges qu’il a eus lundi 22 février successivement avec les présidents des deux chambres du Parlement. Cette sorte de chantage à la paix cache mal le fonds de pensée de Washington qui, sous prétexte du respect de la constitution, ne vise pas autre chose que le changement de régime en RDC. En effet, cet acharnement sur les délais constitutionnels.

Dominique Strauss-Kahn, directeur général du Fonds monétaire international, FMI, est rentré bredouille. Il n’a pas pu obtenir « l’accord politique » qui devrait lui permettre de présenter et de défendre le « Dossier RDC », le 10 juin 2009, lors du Conseil d’administration du FMI à Washington. Motif principal de cet échec : les contrats chinois qui n’ont pas encore été revisités par le Gouvernement congolais et qui accordent à la Chine « l’accès facile aux matières premières ». Ça sent mauvais. Le FMI et la RDC ne se sont pas tombés sur un « accord politique » devant permettre au directeur général de cette institution financière internationale, Dominique Strauss-Kahn, de présenter le « Dossier RDC » au prochain Conseil d’administration du FMI. Il est vrai que depuis la signature des « Contrats Chinois » entre la RDC et la Chine, le FMI se montre réticent pour la signature d’un nouveau programme économique, PEG II, avec le gouvernement congolais. Cette institution conseille vivement les

La journée internationale de la femme pour l' année 2016, sera célébrée ce mardi 8 mars partout dans le monde. En Rdcongo contrairement aux pratiques observées depuis quelques années, il n’y aura pas de défilé ni d’impression d’un pagne spécifique pour cette journée, a annoncé la ministre du Genre, Famille et Enfant, Geneviève Inagosi. Le Gouvernement voudrait par cette décision «redorer plus ou moins le vrai sens de la commémoration de cette journée», a affirmé la ministre, évoquant la prise de conscience et la défense des droits des femmes. La ministre a ainsi annoncé que pendant cette journée seront organisées des activités de sensibilisation sur la promotion de la cause de la femme en RDC. Il s’agirait notamment de l`organisation des manifestations de sensibilisation, d’éducation et d’information; des conférences-débats, des focus dans les écoles, universités et entreprises ; des plaidoyers et lobbyings pour inculquer dans la mémoire de la femme congolaise le fondement de cette journée.

C’est une journée de manifestations à travers le monde et l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes. Traditionnellement les groupes et associations de militantes préparent des manifestations, pour fêter les victoires et les acquis, faire entendre leurs revendications, afin d’améliorer la situation des femmes. La Journée internationale des femmes reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. Car tant que l’égalité entre les hommes et les femmesne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer. La journée de la femme ou journée internationale des femmes est célébrée le 8 mars de chaque année. Le but est de réfléchir sur les conditions de la femme dans le monde et de lutter contre les inégalités face aux hommes. Origine de la journée internationale des femmes Les origines de cette journée s'inscrivent dans un contexte de lutte des femmes au début du XXe siècle pour acquérir des droits déjà accordés aux hommes (le droit de vote par exemple), de meilleures conditi