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Affichage des articles du mars 26, 2017

Un 3ème dialogue entre les acteurs politique dela majorité, et ceux del'opposition politique en République Démocratique du Congo, sans précédent. L’accord du 18 octobre boudé pour cause de non-inclusivité, il fallait corriger le tir. La CENCO est conviée au Palais de la Nation et quelques jours après des consultations, les « discussions directes » sont lancées. 5 jours avec ce que les Évêques appelaient « volonté politique » devaient suffir. En ligne de mire, la date du 19 décembre. Le 31 décembre sonnera l’épilogue. Enfin, ce que tout le monde croyait… Rideau Accord signé 12 jours après la date fatidique, le ouf de soulagement va très vite laisser la place à l’une des pires périodes d’incertitude de l’histoire politique de la RDC. Pour cause, l’annexe à l’accord. Un nouveau dialogue est lancé. On aurait dit que la signature de l’accord du 31 décembre 2016 n’aurait été que le premier round d’un combat de boxe dont l’issue ne serait connu qu’à la fin de onze autres rounds après le coup de sifflet final de l’arbitre :................

La question de l’intérêt général y est vue de manière différente et souvent opposée. Les positions vont de plus dures aux plus structurées. « Manœuvres dilatoires », disent les Évêques de la CENCO. Dans le chef des politiques, personne cependant ne semble bouder son plaisir de participer à ces assises. Si l’opinion semble de plus en plus perdre patience, la notion du temps semble subjectivement conçue au Centre interdiocésain. Arrangement particulier : Un troisième dialogue qui ne dit pas son nom..... ! Le dialogue « discussions directes » de la CENCO aurait pu s’arrêter là si une clause de l’accord n’avait pas décidé de coller à ce dernier un « arrangement particulier » qu’il traîne tel un boulet depuis un trimestre déjà et qui, sans se faire prier, prend tout le temps de sa cuisson, n’étant visiblement pas un plat facile à consommer. Balais des fauves? Le Centre interdiocésain n’aura pas été aussi fréquenté par des politiques. En tout cas, pas depuis sa création. On aurait dit qu

Au cas où vous n'auriez pas entendu, une éclipse solaire totalesera visible à travers les États-Unis cet été, selon une source dela Nasa. Le 21 août, la lune passera devant le soleil, jetant une ombre sur la Terre, dans un événement surnommé la Grande Éclipse Solaire Américaine. (Bien que l'éclipse solaire totale, ce qui signifie 100 pour cent du soleil est bloqué, sera observable à partir de seulement 12 États, le reste du pays aura l'occasion de voir une éclipse partielle.) Si vous voulez assister à l'événement cosmique spectaculaire, vous devrez prendre quelques précautions. La plupart des gens savent de ne jamais regarder directement le soleil, et cette règle s'appliquera lors d'un des événements les plus historiques de skywatching du siècle :.....................

Si vous avez un télescope, vous pouvez envisager de régler votre alarme le lundi (20 mars) pour environ 5 heures du matin (heure normale de 4 heures du matin si vous vivez à Hawaï, en Arizona ou à Porto Rico qui n'observent pas la lumière du jour). Si vous sortez à cette heure et regardez vers le sud-est vous verrez quels sont probablement les deux objets célestes les plus populaires à regarder à travers un télescope : la lune de la Terre et la planète Saturne. Lundi qui est le premier jour du printemps dans l'hémisphère nord la lune sera à quelques heures d'arriver officiellement à sa dernière phase de quart (ou demi-lune). Et planant environ 2 et demi degrés au-dessous de la lune sera Saturne, le "Seigneur des Anneaux". À l'œil nu, Saturne apparaît comme une étoile brillante brillant actuellement à une amplitude de 0,4 sur l'échelle de luminosité utilisée par les astronomes. Saturne est à peu près aussi brillant que l'étoile Procyon, et a une teint

Les gens issus de 15 entités dela province du Nord-Kivu notamment, de Beni, Butembo et Territoire de Lubero précisement, àl'Est dela République Démocratique du Congo la RDC, sont formés depuis ce vendredi 24 mars 2017 en Ville de Butembo sur les violences sexuelles et violences basées sur les deux différentes genres, les droits humains et leurs violations, le monitoring et le plaidoyer ainsi que les techniques de communication et sensibilisation communautaires. Les personnes formées sont des leaders de leurs communautés et membres des comités locaux des droits humains, les CLDH. Ces structures sont basées dans les villages et initiées par le réseau GADHOP pour aider les communautés locales à être les premiers acteurs de la promotion, protection et défense des droits humains face aux nombreuses violations qui sévissent dans ces zones : violences sexuelles, violences basées sur le genre, arrestations et détentions arbitraires, taxes et amendes illégales, tortures, vols et pillages organisés ce dernier temp :................

Selon le rapport de monitoring des violations des droits humains publié par le réseau GADHOP en 2016, les violations des droits humains ont connu une augmentation inquiétante depuis 2014 et plus de 60% des violations documentées portaient sur les violences sexuelles. C'est encore d’autant plus grave que les principaux auteurs sont directement des civils alors que les acteurs étatiques y sont impliqués dans la torsion de la procédure pénale en matière ds violences sexuelles. Dans plusieurs communautés, les instances non compétentes se sont transformées en spécialistes de traitement des cas de violences sexuelles en violation de la loi du 20 juillet 2006 dont celle n° 06/019 du 20 juillet 2006 modifiant et complétant le Décret du 6 août 1959 portant Code de procédure pénale congolais défini les instances compétentes en matière de procédure pénale spécialement sur les questions des violences sexuelles. Face à cette sorte d’irresponsabilité collective, il s’impose donc un travail de co