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Affichage des articles du mai 13, 2016

Sciences & Astronomie : le plus grand Sans nom corps du système solaire Épiées Par télescope spatial |Vidéo planète naine 2007 0R10 était visible à Kepler Espace Telelescope de la NASA pendant 16 jours en 2014 et l'imagerie a été compilé par un groupe d'astronomes.Étonnamment, ils ont constaté que 2007 0R10 est de 955 miles (1535 km) de diamètre;plus grande qu'on ne le pensait.En comparaison: Pluton est 1.475 mi (2374 km) et Eris est 1,445 mi.(2326 km). (L' histoire complète)

En astraunomie, un objet lointain surnommé "Snow White" est considérablement plus grande que les scientifiques avaient pensé, et est en fait la troisième plus grande planète naine du système solaire, une nouvelle étude suggère. Snow Whiteest d' environ 955 miles (1.535 kilomètres) de diamètre plutôt que 795 miles (1.280 km) de large cru comme précédemment, selon la nouvelle étude.Cela en fait le plus grand objet encore sans nom dans notre système solaire, les responsables de la NASA dit.(La planète naine n'a pas encore été officiellement nommé et va actuellement par la désignation de l' espace réservé 2007 OR10.) NASA a publié une nouvelle vidéo de la planète naine Snow Whiteavec ses nouveaux chiffres de taille. Si la nouvelle mesure est exacte, les planètes naines connues seulement plus grand que Snow White sont Pluton et Eris, qui sont 1.475 miles (2.374 km) et 1.445 miles (2.236 km) à travers, respectivement.[ Rencontre planètes naines du système solaire]

Réaction du G7, et le Front citoyen, la Dynamique de l’opposition et l’Alternance pour la République n’accepteront pas que le président de la RDC, Joseph Kabila prolonge son mandat au-delà du 19 décembre 2016. Les leaders de ces plates-formes de l’opposition l’ont affirmé lors d’une rencontre jeudi 12 mai à Lubumbashi, en réaction au récent arrêt de la Cour constitutionnelle relatif à l’article 70 de la constitution.

La Dynamique de l’opposition a tenu son meeting, quoiqu’interdit par le gouvernement provincial, dimanche 24 avril 2016 devant le Stade des Martyrs à Kinshasa. Les intervenants ont donné deux messages à l’assistance: élection présidentielle en novembre 2016 et alternance au pouvoir. Aucun incident n’a été signalé jusqu’à la fin de cette manifestation. Les différentes interventions des leaders de la Dynamique de l’opposition étaient entrecoupées par des slogans du public, appelant à l’alternance politique en RDC. Ils ont maintes fois cité le nom du président Joseph Kabila, dont le dernier mandat constitutionnel doit expirer en décembre 2016. Les élections doivent être organisées en novembre et il doit y avoir alternance au pouvoir, ont martelé les intervenants. A cette occasion, ces derniers ont également appelé à plus d’indépendance la Cour constitutionnelle, récemment saisie par la Majorité présidentielle en interprétation notamment de l’article 70 de la constitution qui limite le

Encore une fois de plus en plus: l'opposant congolais Moïse Katumbi est de nouveau convoqué par la justice le vendredi 13 mai 2016 à Lubumbashi au Sud Est dela République Démocratique du Congo

Les juges le soupçonnent d'avoir recruté des mercenaires étrangers. Plusieurs personnes ont été arrêtées : trois Congolais et un Nord-Américain, interpellés le 24 avril à Lubumbashi et transférés depuis à Kinshasa. Les accusations portées contre le Nord-Américain, Darryl Lewis, ont été vivement démenties mais la procédure se poursuit. Cet Américain de 48 ans est soupçonné d'avoir été embauché comme mercenaire par l'opposant Moïse Katumbi. On lui reproche aussi d'être entré illégalement sur le territoire : en se faisant passer pour un expert agricole alors que, selon les autorités, il a reconnu être plutôt expert en armement. En fait, Darryl Lewis avait un rôle de consultant auprès de Moïse Katumbi. Selon l'entreprise de sécurité privée pour laquelle il travaille aux Etats-Unis, il donnait des conseils à l'opposant pour assurer sa sécurité. Mais son employeur est catégorique : il ne portait pas d'armes. Le jour où il a été arrêté, il se trouvait dans une vo

Julien Kahongya, le gouverneur dela province du Nord-Kivu, est déterminer, pour finir avec le phénomène des Adf-Nalu dans la région de Beni, dans un message publié sur son compte twitter

Cette fois ci, Julien Kahongya, est déterminer pour finir avec le phénomène des Adf-Nalu dans la région de Beni. D' après, le Ministre dela Défense, la quéstion des Adf est dans sa dernière phase d'être éradiquée, une fois pour redonner, une sourire aux habitants, de Beni ville, et Beni térritoire. La traque de l’armée congolaise contre les ADF, dans le territoire de Beni (Nord-Kivu), va porter des fruits. C’est ce qu’a laissé entendre le Général Mushale, commandant de la troisième zone de défense des FARDC. « J’estime à mon sens que la traque contre les groupes armés avance très bien. Pour les ADF-Nalu, dans le territoire de Beni, vous allez voir qu’il y a quand même un changement, a ainsi expliqué le Général dans des propos rapportés par Radio Okapi. C’est le travail qui est en train d’être fait qui a permis que la situation s’améliore. C’est déjà un acquis. Mais, il ne faut pas croiser les bras et dire que c’est fini. Il y a un chemin à parcourir: il faut arriver à l’érad

UDPS un parti d'opposition historique en République démocratique du Congo a qualifié jeudi d'"imposture" l'arrêt de la Cour constitutionnelle autorisant le président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, a rester à la tête du pays au-delà du terme de son mandat en décembre.

Sur requête de plus de la moitié des députés nationaux de la RDC, la Cour constitutionnelle a prononcé mercredi son arrêt en interprétation au sujet de la date de la fin du second mandat de Joseph Kabila si la présidentielle n'est pas organisée dans les délai constitutionnels. Décryptage en trois points. Pourquoi la Cour constitutionnelle a-t-elle été saisie ? Dans son arrêt prononcé le 11 mai, que Jeune Afrique s’est procuré, la Cour constitutionnelle de la RD Congo rappelle qu’elle a été saisie pour interpréter notamment l’article 70 alinéa 2 de la Constitution. Il s’agissait en effet de répondre à la requête de 286 députés de la Majorité présidentielle (MP) qui estimaient que « deux opinions s’affrontent autour des conséquences devant découler de la fin du mandat du président de la République, au cas où l’élection de son remplaçant n’est pas organisée dans le délai fixé par la Constitution », soit d’ici fin novembre. Selon ces députés, on retrouve d’un côté ceux qui soutienn