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La filiale de Total en RDC est l'opératrice du Bloc III, avec une participation de près de 67% contre 15% pour l'Etat congolais, 12% pour Sacoil et 6% pour Semilki. Sacoil s'est dit confiante du lancement effectif de la campagne de forage par Total dès l'année prochaine ou à la mi-2018 au plus tard au regard de certaines contraintes. Il n'empêche que le projet va connaître une accélération en 2017. Le Bloc III, constitue un site d'une superficie de 3.177km2 qui se trouve au Sud du lac Albert. En rapport justement avec le parc des Virunga, représentant le tiers de la surface du Bloc III, Total respectera ses engagements de ne pas travailler sur cette partie, conformément à la loi congolaise et aux conventions internationales de protection de la biodiversité. Les premières indications précises sur le bassin dans lequel se trouve également le Bloc III congolais ont pu être collectées après une vaste l’exploration effectuée dans la partie ougandaise de la frontiè

Les Nande accusent les Hutu congolais d'être les complices des FDLR pour les chasser de leur territoire. Les Hutu congolais, qui ne nient pas être à la recherche de nouvelles terres agricoles, accusent les Nande de violer leur droit constitutionnel à s'installer où ils le veulent. Les FDLR ont été créées par des Hutu rwandais réfugiés dans l'est de la RDC après le génocide des Tutsi au Rwanda de 1994. Les fondateurs de ce mouvement, ainsi qu'un certain nombre de ses plus anciens combattants, sont recherchés par la justice internationale qui les accuse d'avoir pris une part active au génocide. Disséminés essentiellement au Nord et au Sud-Kivu, les FDLR n'ont pas mené d'action militaire d'envergure au Rwanda depuis 2001 et sont régulièrement accusés de commettre des atrocités contre les civils dans les zones sous leur contrôle. La partie orientale de la RDC est déchirée depuis plus de 20 ans par des conflits armés alimentés par des différends ethniques

L’insécurité en ville de Butembo, est loin de dire son dernier mot. Les habitants victimes! Il ne passe plus aucune nuit sans qu’un cas d’insécurité ne soit signalé, dans un coin de cette ville commerciale hébergeant, plus d’un million d’habitants. En ce jour beaucoup des tuerries, atribués aux hommes armés, sont enregistré à Butembo ville, et Beni , ce dernier temp. Des informations en provenance de Butembo ville, dans la province du Nord-Kivu, font état de la récurrence des tuerries, des notables et dignitaires de ces deux territoires de la part des hommes armés non autrement identifiés. Selon la société civile qui a également livré la même information, ce sont les notables et dignitaires de cette partie du Nord-Kivu qui sont de plus ciblés. Médecins, infirmiers, pasteurs et opérateurs économiques ont leurs têtes mises à prix par des réseaux de kidnappeurs. Ce dernier temp, les bandits minue, des armés des fusils ne cessent de saboter la ville. La fois passé, dans la nuit du 14 au

GPS l'emporte sur les étoiles En 1675, lorsque l' Angleterre royale Observatoirea été fondée, la Terre a été pensé pour être parfaitement sphérique.Des observations ultérieures ont révélé que la planète, comme la plupart des autres, a un léger renflementautour de son centre, ce qui affecte la façon dont la gravité tire sur les choses à travers le monde.En 1884, Airy Transit Cercle de l'observatoire, un instrument qui mesure la position des étoiles et détermine l'heure locale, a été fixé à ce qui était alors considéré comme l'emplacement calculé du premier méridien, et qui est où la plupart des photographies sont prises aujourd'hui. Pour définir officiellement la ligne de longitude, les scientifiques comptaient sur un instrument connu sous le nom d'un tube zénithale photographique, un télescope à l'aide de la réflexion de la lumière hors du mercure pour déterminer la ligne verticale imaginaire allant vers le noyau de la Terre.Mais la croûte terrestre e

Restons sereins, et évitons intoxications des habitants des région de Beni, et Lubero a affirmé encore de nouveau, Julien Kahongya. La société civile du Nord-Kivu appelle les habitants des territoires de Beni et Lubero, à ne pas payer des taxes ni d’impôts, « tant que la paix ne sera pas rétablie dans cette région ». Les responsables de la cette structure citoyenne veulent, de cette façon, faire pression au gouvernement pour qu’il rétablisse l’autorité de l’Etat et restaure la sécurité dans ces territoires. « La population ne sera plus redevable vis-à-vis de l’Etat tant qu’elle sera victime de l’insécurité », menace la société civile de Beni. Ces membres de la société civile demandent aussi à l’Etat congolais, de déclarer Kanyabayonga, en territoire de Lubero et Beni-territoire, « zone sinistrée ». Le gouverneur de la province du Nord-Kivu a lancé un message vibrant à la jeunesse de sa juridiction afin qu’ils disent non à la guerre injuste imposée à la RD Congo pour les ennemis de

Au nom de la structure citoyenne urbaine, l’abbé professeur MUHINDO MALONGA TELESPHORE rappelle qu’il ne s’agit pas d’un conflit interpersonnel mais d’un débat d’idées. Dans ce document de 3 pages, les forces vives de Butembo démontrent, en citant la science et les faits, que la mesure du non payement de taxes est normale dans des sociétés démocratiques. Le droit à la paix et la sécurité est constitutionnel autant que le devoir de payement de taxes, insiste la société civile. « Lorsque la route ISIRO-NIANIA était devenu impraticable. On entendu les habitants de cette contrée refuser de payer les impôts et taxes jusqu’à la réhabilitation de ladite route et ce fut fait. Comment peut-on dire que cette pratique est inconnue de l’histoire ? D’autres intervenants ont tendance à identifier la société civile à l’opposition où à Satan au point de justifier le refus de la laisser s’exprimer ? Il y a peu, lorsque la société civile a stigmatisé l’action de la Monusco, on l’a assimilée à la majori

Environ 300 détenus sont restés dans cette maison correctionnelle de Butembo car non concernés la mesure grâce. Signalons que la même opération devra s’étendre sur la ville voisine de Beni et le chef–lieu du territoire de Lubero dans les prochains jours. Parmi ces personnes relaxées, trente-trois (33) étaient déjà jugées par le tribunal civil pendant que les six autres (06) avaient déjà leur sentence rendue par le Tribunal militaire. Certains étaient condamnés pour des faits autres que le viol notamment la concussion, la corruption, le vol en main armée. C’est avec satisfaction que tous les libérés ont repris leurs effets personnels et avant de promettre ne plus récidiver. Ils ont appelé tous les citoyens encore en liberté au bon comportement pour ne pas tomber dans les mêmes infractions sous peine de connaitre la prison. Quarante détenus de la prison de district de Kakwangura-Butembo ont recouvré vendredi 05 Août 2016 leurs liberté bénéficiant de la grâce présidentielle