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Affichage des articles du avril 1, 2016

En ces jours l’histoire politique nationale dela République Démocratique du Congo, est jalonnée par, de rencontres et de dialogues de par et d' autres entre la majorité présidentiel, et l' opposition dans un climat des tensions Ci-après d’autres aspects de la question abordés par le journaliste Jacques Mukaleng Makal lors de ce long entretien avec Me Norbert Nkulu Kilombo Mitumba. Si l’on plongeait dans la nuit des temps pour que les Congolais comprennent cette réalité liée au Dialogue… Le dialogue est en effet un sujet important. Un sujet d’actualité qui préoccupe les Congolais. Dans notre pays, le dialogue a connu plusieurs formes. Le Dialogue marque profondément l’histoire de notre pays. Voilà pourquoi le dialogue - terme générique - reçoit chaque fois une dénomination précise. Le Chef de l’Etat, Président de la République, à la suite de son message à la Nation a estimé bon de convoquer le Dialogue. Ce dialogue est dénommé «Dialogue national, politique et inclusif».

La table ronde de 1960 est donc une forme de dialogue... Absolument car il y avait d’une part les Congolais et d’autre part, les Belges, colonisateurs, pour discuter de l’avenir du pays. En fait, le dialogue marque profondément notre histoire. Savez-vous que l’Etat congolais dans sa configuration actuelle est née précisément du dialogue ayant réuni les puissances occidentales de l’époque. La Conférence de Berlin était une forme de dialogue entre puissances occidentales et à l’occasion de ce dialogue est né l’EIC, Etat Indépendant du Congo avec comme souverain, le roi Léopold II. De la Conférence de Berlin nous pouvons retenir ce qui est affirmé par toute l’Afrique, le principe de l’intangibilité des frontières. Ce principe hérité de la colonisation est une confirmation de ce qui a été fait à Berlin. Effectivement, l’Etat Indépendant du Congo est né et est devenu la colonie belge. A partir de 1955, les revendications à l’indépendance commencent à s’exprimer et les Belges, en accord av

Comment réagira Barack Obama au un autre président des États-Unies si jamais le chef del' état congolais Joséph Kabila modifie le Constitution ? «Ce n’est qu’une hypothèse pour le moment. Nous verront comment y répondre si la situation se présente. Mais, je tiens à répéter ce en quoi nous croyons c’est notre expérience et notre conseil à nos amis dans ces pays, le respect de la Constitution est important, très important pour la population pour qu’elle ait l’impression de pouvoir participer et choisir son président, très important aussi pour la réputation internationale de ces pays, de ‘prouver qu’ils peuvent avoir des transitions pacifiques. La réponse de Kabila attendue Après le passage de Russ Feingold sur RFI, tout le monde attend la réaction de Kinshasa. D’aucuns attendaient que le ministre de l’Information et porte-parole du Gouvernement, organise un point de presse pour répondre à l’Envoyé spécial des Etats-Unis d’Amérique. Mais une chose reste sûre Barack Obama, le président américain le temps et l’occasion de savoir ce que pense son homologue congolais au mois d’août prochain à Washington où une quarantaine des chefs d’Etat africains, dont Joseph Kabila sont invités par la Maison Blanche.

RDC : Kabila ou la stratégie du félin :p C'est lA quéstion qui agite le Tout-Kinshasa. Joseph Kabila quittera-t-il le pouvoir en 2016 ? De Paris à Washington, on scrute le moindre signe, mais le chef de l'État ne paraît pas décidé à mettre fin au suspense. Il est loin le temps - c'était le 9 octobre 2012, juste avant le sommet de la Francophonie à Kinshasa - où François Hollande disait : "La situation en République démocratique du Congo est tout à fait inacceptable, sur le plan des droits, de la démocratie et de la reconnaissance de l'opposition." Fini la période des poignées de main glaciales. Ce 21 mai, à l'Élysée, le président français a accueilli son homologue congolais à bras ouverts. Que se sont-ils dit dans leur tête-à-tête, avant la réunion élargie aux ministres et conseillers ? "Hollande a rappelé son attachement à la stabilité des institutions congolaises et à la défense des droits humains, souffle un diplomate français. Et, dans sa répons