Articles

Affichage des articles du mars 22, 2020

Les habitants de Beni térritoire s'inquietent de voir les prix des produits alimentaires revu àla hausse au motif de COVID-19 en travers le monde

Image
Beni-Covid 19: hausse des prix de denrées alimentaires à Eringeti. Après la prise  des mesures de prévention contre le Coronavirus  par le gouvernement central au petit marché d’Eringeti , dit ” Limanga “, tout comme grand marché central , plusieurs produits vivriers ont pris de l’ascenseur. À titre illustratif, 1kilo de haricots qui se vendait à 1200Fc est passé à 3400fc, alors celui de la pomme de terre a galopé de 30% c’est-à-dire de 800 Fc à  1000 Fc , un sachet du sel qui était à 500 Fc actuellement se négocie à 1500 Fc . Cette inflation  a suscité la réaction de  plusieurs habitants qui s’inquiétent de cette inflation prix de ces denrées alimentaires constituant leur aliment de base, prendre de l’ascenseur jusqu’à ce niveau. Elles ont pour ce faire, appelé les autorités de la place, à bien vouloir veiller à cette situation qui risque de pénaliser au plus haut point les habitants d’Eringeti, dont la plupart vivent essentiellement de ces produits. À noter que, déjà avan

Mavivi-Rdc ; La societé civile du térritoire de Beni accuse les infirmiers qui travaillent une demi-journée avant d’abandonner les malades

Image
La société civile dénonce la légèreté dans la prise en charge des malades au centre de santé de Mavivi. Les prestations des soignants au centre de santé de référence de Mavivi en territoire de Beni sont évaluées négativement par les forces vives locales. Le médecin chef de zone de santé d’Oicha joint ce samedi 21 mars 2020 n’a pas voulu beaucoup commenter la question. Il dit avoir laissé le comité du centre de santé de Mavivi évaluer la situation sécuritaire afin qu’il permette aux prestataires de santé de travailler 24 heures par jour.  Les forces vivent mentionnent que les infirmiers ne travaillent qu’une demi-journée avant d’abandonner les malades. Malgré l’accalmie observée et le retour progressif de la population dans cette partie du territoire de Beni, les prestataires des soins du centre de santé de Mavivi abandonnent les patients, même les grabataires pour aller à Oicha tous les après-midi. Cette façon de faire ne plait pas à la société civile locale qui implore l’