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Affichage des articles du avril 12, 2016

Le nouveau Sécretaire del' ONU : Début de campagne pour les huit candidats à la succession de Ban Ki-moon : Parmi les favoris figurent la directrice de l'Unesco, la Bulgare Irina Bokova l'ex-Première ministre de Nouvelle-Zélande Helen Clark, qui dirige le Programme des Nations unies pour le développement, et l'ancien Haut-commissaire de l'ONU aux réfugiés, le Portugais Antonio Guterres. Les huit prétendants au poste de secrétaire général des Nations unies ont commencé à comparaître devant l'Assemblée générale de l'ONU pour des entretiens d'embauche inédits. Le plus jeune des candidats, Igor Luksic, ministre des Affaires étrangères du Monténégro, 39 ans, a planché en premier, se présentant comme le représentant d'un "pays petit mais fier à l'histoire tumultueuse". Visiblement nerveux il a alterné en anglais et en français des propos convenus sur les défis actuels (terrorisme réfugiés désarmement droits de l'homme etc...), avant de remercier les diplomates présents dans toutes les langues de travail de l'ONU.

Les Nations Unies tentent de rompre avec une tradition vieille de 70 ans. D’après les changements institués par l'Assemblée générale l'an dernier, les candidats au poste de nouveau secrétaire général des Nations unies auront, entre autres, l'occasion de présenter leurs programme à l'Assemblée générale de l'Onu pendant trois jours à partir de mardi 12 avril 2016 dans l'espoir d'influencer le Conseil de sécurité qui sélectionne le gagnant. Pour la premières fois, les candidats au poste de secrétaire général battront campagne. En effet ils s’adresseront à l’Assemblée générale dans l’espoir d’influencer le vote secret au Conseil de sécurité. La quête du successeur de Ban Ki-moon, qui termine son second quinquennat, donne l’occasion à l’ONU d’innover. Comme à l’accoutumée, il reviendra au Conseil de sécurité de faire une recommandation à l’Assemblée générale. Toutefois, après les changements introduits l’année dernière dans la procédure de nomination du numér

Le ciel tombera t' il lors d' ouverture de dialogue nationale prévue dans quelques jours en Rdcongo ? : L’opposition va-t-elle réussir à contrer cette tentative ou continuera-t-elle d’éviter une possible confrontation avec le président sortant, Joseph Kabila, lors de la prochaine élection présidentielle ? Pour faire échouer le projet gouvernemental, l’opposition congolaise a lancé le 4 septembre un nouvel appel à manifester contre l’éventuelle révision de la Constitution qui permettrait au président Kabila de se représenter pour la troisième fois. Réunis dans la paroisse Notre Dame de Fatima de Kinshasa, des représentants de l’UDPS d’Etienne Tshisekedi, de l’UNC de Vital Kamerhe, de l’Ecidé de Martin Fayulu, ainsi que du MPCR et de l’UDEMO ont appelé à une marche de protestation le 13 septembre 2014 à Kinshasa. De quoi l’opposition a-t-elle peur ? Pour l’opposition congolaise, une modification de la Constitution serait tout simplement un « Coup d’Etat » et ouvrirait le boulevard qui conduirait Joseph Kabila vers la « Présidence à vie ».

Combien d' opposants affronteront le président, Joséph Kabila en 2016 « La population souffre. Le peuple ne supporte plus le pouvoir de Kabila. Le Congolais en a marre de la corruption et son visage est monsieur Kabila … »De Vital Kamerhe à Martin Fayulu, les acteurs politiques de l’opposition ont les mots durs pour qualifier et dénoncer les actions menées depuis bientôt 15 ans par Joseph Kabila. A les écouter, tout est réuni pour battre le président sortant lors des prochaines élections. Un bon nombre d’opposants relèvent que le peuple congolais rejette Kabila, comme les Français le font actuellement avec François Hollande – le président français étant rentré dans l’histoire comme le président ayant battu des records d’impopularité avec 13 % d’opinions favorables. Tous les arguments possibles sont évoqués, s’agissant l’éventualité d’une défaite de Joseph Kabila aux prochains enjeux électoraux, sauf l’incapacité à démontrer au monde les insuffisances de ces opposants politiques

Les gouverneurs issus du Pprd en Rdcongo réfléchissent sur les enjeux et défis de nouvelles provinces. Le thème choisi par Henri Mova Sakanyi était « Gouvernance de nouvelles provinces : enjeux et défis ». Le secrétaire général du PPRD a invité tous les membres du parti à soutenir et à accompagner leurs camarades qui n’ont pas été élus pour eux-mêmes. Les gouverneurs élus de nouvelles provinces issus du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) ont réfléchi, vendredi, avec le secrétaire général, Henri Mova Sakanyi, sur les enjeux et les défis qui les attendent, au cours du café politique à l’Hôtel Venus à Gombe. Le thème choisi par Henri Mova Sakanyi était « Gouvernance de nouvelles provinces : enjeux et défis ». Le secrétaire général du PPRD a invité tous les membres du parti à soutenir et à accompagner leurs camarades qui n’ont pas été élus pour eux mêmes et pour l’intérêt général il a exhorté les nouvelles autorités à privilégier la cohésion nationale, et la restauration de l’autorité de l’Etat.

Transformer l’Etat à un acteur provoque des initiatives de la base renforcé la notion de l’entreprise en charge de l’enjeu communicationnel Auparavant, le secrétaire général du PPRD avait félicité les nouveaux gouverneurs qui ont gagné les élections haut la main avant de les rassurer du soutient de leur parti. La victoire de Thérèse Gerengbo a été qualifiée de « spéciale » parce que c’est la première dans l’histoire de l’ex-province de l’Equateur d’avoir une femme gouverneur et que son élection est intervenue au mois de mars dans un contexte particulier. Les gouverneurs présentés par le secrétaire général du PPRD sont : Gentiny Ngobila, gouverneur de Maï-Ndombe, Thérése Gerengbo, gouverneur de la Mongala, Cyprien Lomboto, gouverneur du Tshuapa, Josué Kazembe, gouverneur du Haut-Katanga, Célestin Mbuyu Kabangu, gouverneur du Haut-Lomami ainsi que le vice-gouverneur du Kwilu, Nicolas Bulukungu. Atundu réagit aux critiques d’une certaine opposition sur l’élection des gouverneurs. « Il n

Politique de chaise vide ne paie pas ? Moïse Katumbi, le candidat du groupe del' opposition G7 pour les élections prévue vers la fin du novembre 2016 : un compromis dans l’affaire des offshores au Panama. Pendant une année durant, un groupe des journalistes ont fouillé aux confins de la terre, sur une affaire qui fait éclabousser et bouger le monde. Des hommes politiques aux hommes d’affaires, en passant par les sportifs, ces révélations n’épargnent personne. C’est le cas du Premier ministre islandais qui a démissionné, élégance politique oblige pour se mettre à la disposition de la justice de son pays. David Cameron, Premier ministre britannique, après avoir nié les faits, a été obligé de demander publiquement pardon. Il demeure sur la sellette, d’autant plus que sa démission exigée par une franche importante de la population. Outre les dirigeants occidentaux, l’affaire dit Panama Papers n’épargne guerre l’Afrique, plus précisément la République Démocratique du Congo, où certains noms sont cités et d’autres oubliés pour des raisons inavouées.

Le Centre pour la coopération internationale (CIC) de l’Université de New York a indiqué samedi 9 avril être « profondément préoccupé » par l’expulsion de la RDC du chercheur Jason Stearns. L’on se souviendra que lors de son dernier passage dans l’ancienne province du Katanga, le Chef de l’Etat Joseph Kabila s’était indigné de la misère noire qui se vit tout le long des routes qui transportent les minerais, pendant que la province avait bénéficié d’une attention particulière quant à l’argent injecté par les investissements des nationaux et des étrangers. Mais la population est malheureuse. Bien avant le Chef de l’Etat, les Congolais n’ont pas oublié les dénonciations du bâtonnier Jean-Claude Muyambo, avec un document à l’appui qu’il avait versé lors des Consultations nationales. Des révélations troublantes Aujourd’hui, la consœur Mariane de la Libre Belgique, dans une de ses publications qui ont dominé les réseaux sociaux ces derniers temps, révèle pince sans rire, que l’ancien gouve

Qui sont les hauteurs, et complices dans le Génocide de Beni térritoire à vrai dire : Au cours des 18 derniers mois les attaques contre les civils ont fait plus de 500 victimes dans la région de Beni, en République démocratique du Congo (RDC). Les autorités congolaises accusent les Forces démocratiques alliées (Allied Democratique Forces, ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Or cela n’est pas si simple : des éléments de preuve suggèrent en effet l’implication de l’armée congolaise et des liens potentiels avec les réseaux de contrebande. Kolu Mosekuse se rappelle très bien l’attaque commise contre Ngadi, un village endormi situé en bordure de la route nationale 4, le long de la frontière ougandaise. Alors que nous marchons le long d’un chemin de terre bordé d’étals de nourriture, d’un atelier de réparation et d’une station-service de fortune, M. Mosekuse, le chef adjoint du village, me raconte comment s’est déroulée l’attaque contre son village.

En octobre 2014, M. Makuta a reçu des coups de machette à la tête et au cou lors d’une attaque des hommes armée qui a fait huit victimes il a dit que son agresseur était un soldat. « Ils portaient l’uniforme de l’armée congolaise et j’ai reconnu leur commandant, un colonel appelé Byamungu. Nous n’avons jamais eu de problèmes avec les ADF et ils n’ont jamais attaqué le village. » La fréquence des violences – qui se sont produites sur un vaste territoire – et le fait que certains des attaquants parlaient le kinyarwanda – une langue qui n’est généralement pas parlée dans cette région de la RDC – laissent supposer que de multiples groupes armés originaires d’une vaste région géographique sont impliqués. Les ADF sont basées en RDC depuis plus de deux décennies. Le groupe rebelle a forgé des liens solides avec des personnalités politiques et économiques locales et a exploité les réseaux de contrebande existants, principalement celui du bois, tirant profit de la corruption existante au sei

Un nouveau combat, entre les Fardc et un groupe des rébélles des Adf-Nalu, qui s' est soldé par la victoire del' armé régulière qui, controle la situation, après la fuite térroristes au font dela Parc Nationale des Virunga.

Des violents combat àl' arme lourde et légère signalés par une source militaire dans le Nord du térritoire de Beni au Nord-Kivu entre les FARDC et les rebelles ADF-NALU. On nous informe que, cette accrochage a eu lieu, le matin du mardi 12 avril 2016 entre un groupe des militaire fardc et les hommes idatifié au groupe des Adf-Nalu, entre la localité, de Kokola, et Atokaka qui est, une position des Fard situé àl' est de Kokola dans la brousse du groupement de Bambubha-Kisiki, Sécteur de Beni-Mbau. Pas de bilan disponible pour le moment, mais un officier supérieur, dans la zone rassure que les fardc controle la situation. Cette nouvel guerre arrive, après un, accrochage entre ce même rébélles et les FARDC tôt le matin du vendredi 8 avril 2016 à Kokola, localité située à environs 17Km sur l’axe Oicha-Eringeti en groupement Bambuba-Kisiki. Toutefois, dépuis l' année, 2013, les FARDC poursuivent leurs opérations contre les rebelles ougandais de l’ADF-Nalu dans le nord du terr

Dialogue nationale en Rdc divise toujours la classe politique : par éxemple àl' UNC l' un des partis politique del' opposition en République Démocratique du Congo, ne participera pas au dialogue nationale prévue dans quelques jours sélon Bertrand Ewanga le sécretaire générale de ce parti politique. La conférence de presse d’Eden Kodjo ce lundi 11 avril 2016 n’a pas laissé indifférents les acteurs politiques congolais. Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’UNC, s’est confié à politico.cd « Nous réitérons notre position. Pour nous, Kodjo n’est pas le bienvenu. L’acte de sa désignation ne fait même pas allusion à la constitution, même pas à la résolution 2277. Et vous voulez qu’on s’embarque dans une histoire comme ça ? A son arrivée, il dit qu’il reconnait le comité préparatoire issu de l’ordonnance de Monsieur Kabila. Ça ne nous concerne pas. Il prend déjà fait et cause pour les autres. Et quand l’UDPS arrive, il dit que l’UDPS nous a rejoints. Lui et qui ? Lui et la Majorité. Donc on n’a pas confiance. » Pourtant, Kodjo a rassuré qu’il ne vient pas violer la constitution.

Du conté del' UDPS tout semble à marche pour y participer : un communiqué rendu public ce dimanche, Etienne Tshisekedi affirme que l’UDPS participera au dialogue. Il dit que la résolution 2277 rencontre« sa vision du dialogue politique conduit dans le respect de la constitution, par la médiation internationale neutre, pour que le peuple congolais ait, en novembre 2016, aux élections crédibles et apaisées. » Le Président de l’UDPS dit prendre acte de la nomination d’Edem Kodjo comme facilitateur du Dialogue. Il dit« dépêcher des délégués dûment mandatés auprès du facilitateur désigné, afin de s’assurer de la concordance. Au nom de ses pairs, Olivier Kamitatu a salué l’adoption à l’unanimité de la Résolution 2277 par les membres du Conseil de sécurité.« Cette décision rencontre sans aucun doute les préoccupations du peuple congolais notamment en ce qui concerne le respect de la Constitution et l’organisation des élections dans les délais constitutionnels »a-t-il indiqué. Rappelant

EXPLORATION PÉTROLIÈRE EN ITURI : ÉVALUATION DES RISQUES LIÉS AUX DROITS DE L’HOMME ET DES RISQUES DE CONFLIT DANS LE BLOC III JUILLET 2014 À propos d’International Alert International Alert aide les populations à trouver des solutions pacifiques aux conflits. Nous sommes l’une des plus importantes organisations de consolidation de la paix au monde et nous bénéficions de près de 30 ans d’expérience dans ce domaine. Nous travaillons avec les populations locales du monde entier et les aidons à bâtir la paix. Nous conseillons également les gouvernements, les organisations et les entreprises sur la façon dont leurs politiques et activités peuvent soutenir la paix. Nous nous concentrons sur les questions qui affectent la paix, dont le changement climatique, l’économie, le genre et la gouvernance ainsi que le rôle des entreprises et des organisations internationales dans les régions à haut risque. Pour un complément d’information sur notre travail et les pays où nous sommes présents.

Les informations ainsi obtenues permettront d’établir le profil des différentes strates et donc de connaître leur capacité à identifier un réservoir d’hydrocarbures (pétrole ou gaz). Cette évaluation doit permettre à Total E&P RDC de mieux appréhender l’environnement complexe en RDC, en particulier au sein et autour du Bloc III. Elle devrait aider Total E&P RDC à s’assurer que ses opérations d’exploration soient sensibles à cette dynamique, réduisent les éventuels effets négatifs, tout en maximisant le potentiel des impacts positifs. L’évaluation vient compléter l’Évaluation d’impact environnemental et social (ESIA) réalisée par Total E&P RDC puis présentée aux acteurs de la société civile ainsi qu’à d’autres parties prenantes lors d’une réunion organisée en juin 2013 à Bunia. Bien qu’International Alert et le Réseau Haki na Amani aient effectué les travaux de recherche pour le compte de Total E&P RDC, ces deux organisations restent indépendantes de Total dans leur trav