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Affichage des articles du septembre 11, 2016

DIALOGUE NATIONAL EN COURS ENTRE LES ACTEURS POLITIQUE EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO: DÉBUT DES TRAVAUX EN COMMISSIONS THÉMATIQUES ! La restitution de la Co-modération du vendredi 9 septembre a débuté par la demande du co-modérateur Vital KAMERHE qui a relayé le souci de la population de voir les travaux du Dialogue retransmis en direct sur la télévision nationale. Pour ce qui est des travaux proprement dits, après deux jours de débat général, la problématique du processus électoral dans ses différents aspects a été renvoyée en commissions thématiques pour approfondissement. C’est ce qui ressort du point de presse conjoint animé par le Facilitateur Edem KODJO accompagné du co-modérateur de l’opposition Vital KAMERHE et du porte-parole de la Majorité, Léonard Shé OKITUNDU. !

Les délégués du pouvoir en place et de l’opposition au dialogue politique se disent favorables aux élections. Mais, par quel scrutin commencer le processus ? Cette question a fait apparaître des thèses contradictoires entre ces deux composantes, lors de la cinquième journée du forum consacrée vendredi 9 septembre à Kinshasa au «débat général et constructif» sur les différents exposés présentés depuis le début des travaux. Le débat de vendredi a donné l'occasion aux dialogeurs de donner leurs suggestions en rapport avec les séquences des élections, le fichier électoral, la sécurisation des élections et du financement du processus électoral en RDC. En ce qui concerne la programmation des élections, l’opposition estime qu’il est préférable de commencer par la présidentielle et les législatives. Car, soutient-elle, la présidentielle est la seule élection constitutionnelle qui soit la plus urgente, le mandat du président de la République en exercice devant expiré en décembre. Les dél

11-Septembre: distribuer les restes du World Trade Center, le sacerdoce d'Amy Passiak AFP/Archives ! Durant six ans, Amy Passiak a coordonné la distribution de centaines d'objets extraits des ruines du World Trade Center de New York, transformés ensuite en mémoriaux, une mission qui vient de prendre fin, quelques jours avant le quinzième anniversaire du 11-Septembre. Ils n'étaient qu'une poignée, le 27 juillet dernier, dans un recoin de la zone de fret de l'aéroport Kennedy, pour assister à la fin d'une aventure. !

Rétrospectivement, cette distance avec l'événement lui a peut-être permis de se plonger totalement dans cette tâche sans en ressortir abimée. Le rythme s'était nettement ralenti depuis plus d'un an et Amy Passiak se consacrait déjà à d'autres projets, mais "durant quatre ans, (sa) vie a été le 11-Septembre, c'est dingue". De manière générale, "je pense que je suis quelqu'un de très stable émotionnellement", dit-elle, "ce qui m'a aidé pour faire ce travail. J'étais capable de garder mon calme". Amy Passiak et l'autorité portuaire ont répondu favorablement à 1.567 groupes différents, pour l'essentiel des pompiers, des écoles, des services de police, des casernes et des municipalités, un peu partout aux Etats-Unis. Il y a eu aussi le Canada, la Chine, l'Italie et l'Allemagne, dix pays étrangers au total. Malgré ses liens évidents avec les Etats-Unis, la France est bizarrement absente du tableau que tient ave

À Mecque : les pèlerins affluent sur le Mont Arafat, moment fort du hajj. Des milliers de pèlerins musulmans rassemblés sur le Mont Arafat, au 2e jour du Hajj, le 11 septembre 2016 à La Mecque, en Arabie Saoudite Plus de 1,8 million de pèlerins musulmans se rassemblaient dimanche sur le Mont Arafat, près de La Mecque, pour l'étape la plus importante du hajj en Arabie saoudite, endeuillé l'année dernière par une bousculade meurtrière. !

Le 24 septembre 2015, quelque 2.300 pèlerins --selon des données compilées à partir de bilans des gouvernements étrangers-- y avaient péri dans une gigantesque bousculade, la pire tragédie de l'histoire du hajj. L'Arabie saoudite avance, elle, le chiffre de 769 morts, et n'a toujours pas annoncé les résultats de son enquête sur le drame, alors que de nombreux gouvernements se sont plaints de la confusion qui a suivi et des problèmes rencontrés pour identifier leurs ressortissants décédés. Pour éviter qu'une telle tragédie ne se reproduise, Ryad assure avoir pris des mesures, notamment la création d'un bracelet électronique stockant les données personnelles de chaque pèlerin. Aucun chiffre n'a cependant été donné sur le nombre de fidèles équipés de ce bracelet. -Pèlerinage de substitution- Dimanche, des hélicoptères survolaient le Mont Arafat, tandis que des policiers à pied, à moto et à bord de véhicules tout terrain régulaient la circulation et orientaient l

La Corée du Nord demande à être reconnue comme une puissance nucléaire militaire d'après une source del'AFP dans cette partie du continent d'Asie La Corée du Nord a demandé dimanche à être reconnue par les Etats-Unis comme une puissance nucléaire militaire à part entière après son cinquième essai nucléaire, auquel Washington, Tokyo et Séoul veulent riposter par la plus grande fermeté. En dépit de sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU sans cesse plus dures contre Pyongyang, la Corée du Nord a réalisé vendredi son plus puissant essai nucléaire. Celui-ci n'est intervenu que huit mois après le quatrième, raccourcissant considérablement un délai qui était en moyenne de trois ans entre les précédents tests. Pyongyang a en outre affirmé que l'engin testé vendredi était une tête susceptible d'être montée sur un missile. !

Dans un communiqué, le porte-parole présente l'essai de vendredi comme la réponse nécessaire à la menace nucléaire américaine et annonce que Pyongyang développera sa dissuasion "en qualité et en quantité". - 'Volonté de fer' de Kim - En visite au Japon, un haut diplomate américain a expliqué que Washington et Tokyo tentaient d'obtenir de la communauté internationale "la mesure la plus forte possible" pour riposter à Pyongyang. Sung Kim, représentant spécial pour la Corée du Nord au sein du Département d'Etat, a également laissé entendre que son pays pourrait prendre de nouvelles sanctions unilatérales face au "comportement provocateur et inacceptable des Nord-Coréens". Les Nord-Coréens justement, a assuréKCNA, sont unis derrière leur dirigeant Kim Jong-Un. "L'essai a prouvé la dignité du pays guidé par son commandant à la volonté de fer ainsi que la force du peuple nord-coréen", a déclaré à KCNA Choe Kwang-Ho, un scie

Nord-Kivu : Une coalition de deux factions Raïa Mutomboki multiplient des exactions contre des populations civiles dans le groupement Bakonjo, dans le secteur Bakano, au sud du territoire de Walikale, situé dans la province du (Nord- Kivu); àl'Est dela République Démocratique du Congo. !

Des sources locales qui se sont exprimées, vendredi 9 septembre à Radio Okapi, indiquant que ces deux factions pillent et extorquent des biens des paysans et creuseurs artisanaux des minerais dans ce groupement Bakonjo, et dans une zone au Nord-Est du parc national de Kahuzi Biega, Sud- Kivu. Pour le chef de secteur des Bakano, Mwami Katindi Lwamyango, plusieurs habitants du secteur ont fui leurs villages. Les uns ont trouvé refuge à Mubi et Ndjingala, les autres au chef-lieu du secteur à Itebero. L’une des factions des Raïa Mutomboki est dirigée par un certain Kisekedi Katanda et l’autre par un certain Mirage. Ces miliciens ont investi les villages Basengele et Banasiga depuis déjà près de 8 mois, profitant du vide laissé par le redéploiement sans relève du régiment FARDC pour une autre zone opérationnelle. Des sources militaires dans la zone indiquent qu’une unité FARDC est en déploiement dans la zone. La fois passé, plus de 230 familles ont, abandon

CLIMAT POLITIQUE TOUJOURS INSTABLE SELON LES ACTEURS POLITIQUE DEL'OPPOSITION EN RDCONGO : SOUVENEZ- VOUS DE LA REVELATION DE MOÏSE KATUMBI CONCERNANT LE PLAN DEL'ACTUEL PRÉSIDENT DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO JOSÉPH KABILA. Pour Katumbi dénonce le plan de Kabila pour s’accroche au pouvoir. Le Guide économique et commercial de la république démocratique du Congo vous informe ; L’ancien gouverneur du Katanga accuse le président congolais de vouloir convoquer un dialogue politique « factice », de privilégier les élections locales afin de retarder la présidentielle et de vouloir modifier la Constitution « dans le seul but de se maintenir au pouvoir ». Katumbi jeunesse Les dernières déclarations du président Joseph Kabila en Ouganda le 4 août dernier continuent de faire polémiques. Il faut dire que dans un contexte de crise politique aiguë, le chef de l’Etat congolais est plutôt avare de déclaration. Face au blocage du processus électoral, Joseph Kabila est souvent atone sur le sujet. D’autant plus que l’opposition l’accuse de vouloir retarder la présidentielle pour s’accrocher à son fauteuil alors que la Constitution lui interdit de briguer un nouveau mandat. Jusque-là, le président congolais ne s’est jamais exprimé sur son avenir politique. Mais le 4 août en Ouganda, le chef de l’Etat a confirmé ce que tout le monde voyait venir, à savoir un report de plusieurs mois de la présidentielle,prévue pourtant en novembre 2016. Le président de la République a en effet annoncé que la publication du calendrier électoral, en souffrance depuis plusieurs mois, ne pourrait être publié avant la fin des opérations d’enrôlement des électeurs menées par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Une opération qui ne pourrait pas se terminer avant août 2017, selon le patron de la CENI. La déclaration de Joseph Kabila, en anglais dans le texte, valide donc les craintes de l’opposition qui dénonce un « glissement » volontaire du calendrier. Les trois axes du « plan » Kabila Pour l’opposant Moïse Katumbi, en exil en Europe, « l’objectif de nos dirigeants est donc clair : tout faire pour se maintenir au pouvoir ». L’ancien allié du président Kabila, passé depuis septembre 2015 dans l’opposition et candidat à la prochaine présidentielle,dénonce la stratégie du chef de l’Etat pour rester au pouvoir le plus longtemps possible. Son « plan » reposerait sur trois axes. Premièrement, « organiser un dialogue politique factice avec quelques complices de tous bords, afin de déboucher sur un gouvernement de transition illégitime au service de leurs ambitions totalitaires ». Deuxièmement, « annoncer un calendrier électoral qui privilégie d’abord les élections locales et provinciales, avant les législatives nationales. Cela permettra de retarder au maximum l’élection présidentielle et, via des élections non conformes, s’assurer une majorité confortable aux institutions locales, aux assemblées provinciales, au Sénat et à l’Assemblée nationale ». Et enfin troisièmement, « faire voter un changement de la Constitution par les deux chambres réunies en Congrès qui leur permettra de s’accrocher au pouvoir ». Rendez-vous le 20 septembre et 20 décembre 2016 L’homme d’affaires explique que ce plan « constitue un crime de haute trahison (…) d’un régime aux abois » et redoute une « dérive totalitaire » du pouvoir en place à Kinshasa. L’ancien gouverneur du Katanga donne ensuite les deux prochains rendez-vous aux Congolais dans le long feuilleton de la crise pré-électorale qui secoue la République démocratique du Congo (RDC). « Le 20 septembre 2016 le corps électoral doit être convoqué, conformément à la Constitution. Le 20 décembre 2016, un nouveau Président de la République doit être en fonction ». Et de prévenir : « Si ces obligations constitutionnelles ne sont pas respectées, le peuple congolais devra refuser l’installation de la dictature et ne plus reconnaître le régime en place ». !

Face à cette situation, Bruxelles est dans son dernière étape avant le retour au pays de Moïse Katumbi (INTERVIEW) Plus déterminé que jamais, Moïse Katumbi, devenu l’adversaire politique numéro un du président Kabila, se prépare à regagner le Congo. Blessé par une mystérieuse injection alors qu’il gagnait le tribunal de Lubumbashi entouré de la foule de ses partisans, l’ex-gouverneurdu Katanga s’est fait soigner aux Etats Unis et aujourd’hui la forme est revenue, la pugnacité aussi. Avant de s’exprimer devant le Parlement européen, à l’initiative de l’association Culture et Progrès, il nous raconte ce qui lui était arrivé au cours de la bousculade qui opposa ses partisans aux forces de sécurité : « J’ai été piqué dans le dos…Des analyses de la substance qui m’avait alors été injectée ont été réalisées à l’étranger et le résultat sera bientôt publié… » Vous avez été accusé d’avoir recruté des mercenaires, parmi lesquels des Américains, d’avoir spolié la maison d’un ressortissant grec,

À Kinshasa la capital dela République Démocratique du Congo, la rentrée scolaire rime avec galère selon une source del' (AFP du 10/09/2016. La rentrée scolaire a eu lieu il y a quelques jours à Kinshasa mais "seul le dernier de mes quatre enfants va à l'école", regrette Hortense Kabalira. !

"Les trois autres restent à la maison, faute d'argent pour payer les frais, acheter les sacs, les chaussures, les tenues", explique cette ménagère, qui fait face aux mêmes difficultés que des milliers de familles de la capitale de la République démocratique du Congo. Dans ce pays d'Afrique centrale, la part des ménages dans la scolarisation des enfants est estimée par l'Unicef à près de 77% des dépenses totales d'éducation. Septembre est un mois de tous les défis pour les parents, souvent obligés de retarder de quelques jours le retour à l'école de leur progéniture. Veuve et mère de trois enfants, tous du niveau du primaire, Anny Boloko ploie sous le poids des frais de scolarité non-payés l'année dernière. "Je n'ose pas envoyer mes enfants à l'école", dit-elle, ajoutant n'avoir même pas pu réunir de quoi acheter crayons ou uniformes. A cette allure, "je risque de ne pas les scolariser" cette année, chuchote-t-elle. P

Aux Etats-Unis : les américains commémorent l'événement malheureux, des attentats du 11 eptembre 2001, où des tours jumelles du World Trade Center ont été, détruites le 11 septembre 2001, sous mandat du président Gorge W. Bush àl'époque. Les Etats-Unis marquent ce dimanche 11 septembre 2016, dans le recueillement du quinzième anniversaires des attentats du 11 septembre 2001, traumatisme encore présent dans tous les esprits. Près de 3.000 personnes sont mortes dans les attaques perpétrées par 19 extrémistes d'Al-Qaïda au moyen d'avions de ligne détournés et précipités sur les tours du World Trade Center à New York, sur le Pentagone près de Washington et dans la campagne de Pennsylvanie à Shanksville. !

Quelque 75.000 personnes souffrent toujours aujourd'hui de troubles mentaux et physiques liés à ces attaques, dont de nombreux urgentistes ayant respiré des particules cancérigènes en tentant de sauver des vies. Pour la première fois depuis plus de près de deux siècles, les Etats-Unis étaient attaqués sur leur sol métropolitain. Ils répondaient en lançant une "guerre mondiale contre le terrorisme" qui fait rage encore aujourd'hui. A New York, les noms des morts seront lus dans une cérémonie du souvenir dimanche matin à Ground Zero, là où s'élevaient les tours jumelles effondrées dans les attentats, et au pied du One World Trade Center, ou "Freedom tower", nouvelle tour, plus haute encore que les anciennes. Les deux candidats démocrate et républicain à l'élection présidentielle, la sénatrice de New York au moment des attentats Hillary Clinton, et le magnat de l'immobilier de Manhattan Donald Trump doivent assister à la cérémonie. Six fois, le