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Affichage des articles du septembre 21, 2016

Revenir le plus vite possible pour frôler des massacres en cours dans la région de Beni, où on signale de plus en plus, d'incursions succèssive ce dernier années jusqu'aujourd' hui, dans beaucoup d'aglomérations, et des villages dans le térritoire de Beni, situé, dans la partie Nord du Nord-Kivu, àl'Est dela République Démocrtique du Congo : Face à cette situation à répétion dans le coin du pay, la société civile démande encore un fois de plus aux autorités politico-millitaire de bien sécurisér, les habitants civile dela région, en proie d'insécurité, dépuis des années : « La population de Beni lutte pour survivre mais sa lutte est récompensée par des coups de machette… » Depuis deux ans, les habitants du Nord-Kivu sont devenus des moutons d’abattoir sur les routes, dans les champs et dans leurs propres maisons…et cela au vu et au su des responsables politiques et des forces de la Monusco qui sont sensés protéger la population et ses biens. Pour illustrer cela, je vous rapporte l’horreur du 13 Août 2016 que j’ai vécue et à laquelle j’ai échappé, pas puisque ma vie a plus de valeur que celle de mes compagnons de route et de mes voisins qui ont succombé aux coups des machettes, mais peut-être juste pour crier au secours, au nom des victimes de ce génocide organisé dans la région du Nord-Kivu, afin que leurs vies arrêtées subitement ne tombent pas dans l’oubli et pour que les éventuelles prochaines victimes échappent à ce projet maléfique des assoiffés du sang humain. Cela ne sera possible que si chacun, de loin ou de près, prend conscience de la dignité de la commune condition humaine que nous partageons tous et agit en conséquence. Sélon un jeune garçon qui précise que il at, trouvé de la bonne compagnie des hommes et des femmes qui se rendaient aux champs comme moi et nous avons fait route ensemble en discutant justement de cette situation de peur qui s’installe et du risque que nous courrons en allant dans nos champs. Nous nous sommes séparés les uns après les autres au fur et à mesure que chacun rejoignait son champ. Je me suis hâté de récolter juste ce qu’il nous fallait pour 3 jours dans le but de rejoindre mes enfants avant la tombée de la nuit, heure redoutable, heure où rugissent les hommes lions, assoiffés de voir couler le sang. Il était environ 16h00 quand je commençais la marche, manioc au dos, bâton à la main. Comme pour l’allée, j’ai eu de la compagnie des hommes et femmes qui revenaient de leurs champs comme moi, pas forcément les mêmes. Tout à coup, environ 30 minutes avant d’arriver dans mon quartier, nous voyons des hommes en tenue militaire qui se mettent à interpeller les passants. Voici ce qu’ils nous ont dit : « Ne prenez pas ce chemin là, il est très dangereux. Passez plutôt par celui-ci, vous ne risquez rien ». Naïfs que nous étions, nous nous étonnions de la « bonté » de ces hommes en tenue militaire. Nous avons obéi, ignorant évidemment que c’était une bonté déguisée. Ayant avancé plus loin, nous sommes tombés dans une embuscade : des hommes, des femmes et des enfants revenant des champs qui étaient là, arrêtés comme nous, déchargés de leurs fardeaux, pas pour un petit temps de repos qui leur ferait du bien, mais pour mourir… mourir à la machette… J’ai vu deux trois des assassins les pulvériser d’un produit. Et subitement, ils tombaient l’un après l’autre, immobiles mais conscients. C’était tellement inattendu et rapide que c’est difficile de décrire cette cène horrible. Je garde encore en mémoire le regard cynique et sadique de ces hommes aux machettes et le regard désespéré de ces victimes, incapables de se sauver de cette jungle. Leurs cris résonnent encore dans mes oreilles comme si cela se passait à l’instant même.

Une accalmie relative tendait à refonder l’espoir du retour prochain d’une atmosphère ordinaire et vivable. Mais on s’aperçoit vite que tout cela n’est qu’encore un trompe l’œil. Pour une énième fois, le samedi 17 septembre, les assaillants égorgeurs se sont confirmés dans leur barbarie toujours tragique à Kididiwe, localité située à environ 10 kilomètres seulement au nord-est de la ville de Beni. Ayant progressé par Vemba et Kipeyayo, deux autres localités de la même région, les tueurs se sont introduits à Kididiwe pour s’en prendre au camp des FARDC où se concentraient les agriculteurs du milieu qui y recherchaient protection. Le bilan de cette attaque surprise est de : – 3 morts – 3 blessés – de nombreux soldats grièvement blessés – 5 motos brûlées – au moins 45 maisons des paysans incendiées ainsi que le camp des FARDC détruit. Les assaillants ont pu s’emparer du contrôle de cette localité pendant deux jours (de samedi à dimanche). Il est urgent de noter que la confusion d

ATTAQUE MEURTRIÈRE DE KIDIDIWE, MALOLU ET VEMBA ÀLA PÉRIPHERIQUE DU CONTÉ EST DE BENI VILLE : le coordonateur de l'ong CEPADHO parle d'une rebellion en gestation dans cette partie du nord-kivu, mr omar kavota mentionne qu'il s'agit d'une milice qui serait entrain pour le moment d'opérer au nom des ADF pour tromper la vigilance de l'armée congolaise, dans une conference de presse tenue ce mardi à beni, il alerte l'opinion nationale et internationale de prendre cette question au sérieux. !

Oui, un moment, quand on n’en peut plus, on court le risque de sombrer dans le découragement. Pourtant, le découragement est l’un de plus grands dangers dans la lutte pour la paix, le droit, la justice, le développement…Allons-nous nous laisser abattre ? En tout cas, pas moi. Je vais me battre jusqu’au bout, vu ce à quoi j’ai échappé. Si j’ose raconter aujourd’hui, c’est pour témoigner devant tous que la population de Beni-Lubero vit l’horreur et que son avenir tient à un bout de tison. Cette alerte est plus que jamais urgente. Grâce à la mobilisation de tous, le salut de cette population est encore possible si nous agissons vite et ensemble, chacun à son niveau. « La population de Beni lutte pour survivre mais sa lutte est récompensée par des coups de machette… » Depuis deux ans, les habitants du Nord-Kivu sont devenus des moutons d’abattoir sur les routes, dans les champs et dans leurs propres maisons…et cela au vu et au su des responsables politiques et des forces de la Monusco qu

Siège d'un parti politique connu sous le nom de l'UDPS aussi a été incendié à Kinshasa, la capital dela République démocratique du Congo : selon une source del'AFP, vers une longue attente des morts-vivant. Allongé par terre, l'homme semble mort mais il esquisse un geste de la main comme pour demander à boire. Pris au piège de l'incendie criminel ayant visé le siège de l'UDPS, premier parti de l'opposition congolaise, à Kinshasa, il ne devra son secours qu'aux Nations unies. !

En République démocratique du Congo (RDC), un angoissant compte à rebours est enclenché, menaçant de replonger le géant d’Afrique centrale dans une nouvelle période d’instabilité. Ces inquiétudes se fondent sur deux inconnues : quand aura lieu l’élection présidentielle, prévue théoriquement le 27 novembre mais dont le report est d’ores et déjà acquis ? Que fera Joseph Kabila, le chef de l’Etat, le 19 décembre au soir, lorsque son second et dernier mandat aura officiellement expiré ? Les manifestations lancées à l’appel des principaux partis d’opposition qui n’entendent offrir aucun délai supplémentaire au président sortant démontrent que la rue congolaise demeure hautement inflammable. Organisées dans plusieurs villes du pays, lundi 19 septembre, date à laquelle aurait dû être convoqué le corps électoral, elles se sont soldées dans la capitale par des violences meurtrières. Rassemblés derrière le slogan sans équivoque « Kabila dégage ! », les manifestants n’ont pas tardé à se confront

En République Démocratique du Congo, nouvelles violences meurtrières à Kinshasa, plusieurs sièges de partis d'opposition incendiées. Plusieurs personnes ont été tuées mardi dans de nouvelles violences à Kinshasa, où trois sièges de partis d'opposition ont été incendiés dans la nuit après les affrontements mortels de lundi en marge d'une manifestation réclamant la tenue d'une présidentielle d'ici la fin du mandat du président Kabila en décembre. Vers 08h45 (07h45 GMT), le siège de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), premier parti de l'opposition à l'Assemblée nationale de la République démocratique du Congo (RDC), brûlait vivement, selon des journalistes de l'AFP. !

- Enquête onusienne - Présent mardi au siège de l'UDPS pour une "enquête" sur les violences, le chef du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l'Homme en RDC (BCNUDH), José-Maria Aranaz, a déclaré à l'AFP que son organisation cherchait à "voir ce qu'on peut faire pour avoir un climat apaisé, réduire la tension politique et amener ceux qui sont responsables (...) des morts (devant) la justice". Lundi soir, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, avait exhorté toutes les parties "à s'abstenir de tout autre acte de violence susceptible d'aggraver la situation". Mardi matin, les journalistes de l'AFP ont entendu à plusieurs reprises dans le lointain des détonations de tirs de grenades lacrymogènes et d'armes à feu. Dans un message envoyé par email à la communauté belge vers 10h00 (09h00 GMT), l'ambassade de Belgique a Kinshasa a fait part d'"échauffourées" en cours "en divers end

Journée de violence à Kinshasa la capital dela République Démocrtique du Congo : 17 à 50 morts selon les bilans. Les affrontements ont fait 50 morts ce lundi à Kinshasa. Kinshasa a renoué lundi avec ses vieux démons des violences à caractère politique au cours d'une journée meurtrière dont l'opposition entend faire le coup d'envoi d'un compte à rebours jusqu'au départ du président Joseph Kabila à l'issue de son mandat, le 20 décembre. !

Les bilans des heurts dans la capitale de la République démocratique du Congo apparaissent irréconciliables : 17 morts pour le pouvoir contre plus de 50 pour le "Rassemblement" de l'opposition qui avait appelé à manifester dans tout le pays pour signifier à M. Kabila son "préavis" et exiger la convocation de la présidentielle dans les temps. Selon la Constitution, mardi est la date limite pour convier les électeurs aux urnes pour ce scrutin censé avoir lieu cette année. Pouvoir et opposition se sont renvoyé la responsabilité des violences, comme en janvier 2015, lorsque des émeutes ont totalement échappé au contrôle des deux camps après la répression violente de manifestation anti-Kabila dans la capitale. On avait alors dénombré plusieurs dizaines de personnes tuées en trois jours. "La ville de Kinshasa vient de faire face à un mouvement insurrectionnel qui s'est soldé par un échec", a affirmé à la presse le ministre de l'Intérieur, Évarist