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Affichage des articles du janvier 28, 2016

RDC : LA SOIÉTÉ CIVILE D'OICHA DANS LA CONFUSION TOTALE : D'autres composantes, dela société civile, bailleurs de fonds, tirent à boulet rouge sur le bureau dela société civile que dirige Mr Kambale Lewis Saliboko à Oicha dépuis des années. La société civile d' Oicha semble aujourd’hui cristalliser tous les malaises de la société dans le térritoire de Beni. Il faut dire que l’institution a longtemps été présidé par Kambale Lewis comme le symbole de l’évolution démocratique. Mais très rapidement les doutes sont apparus. A commencer par la nomination d’un enfants, dela région Kambale Lews , à la tête de la société civile de Beni térritoire. Les choses se sont gâtées avec la composition du bureaux des composantes étaient sous-représentée et la vraie société civile complètement absente. L’indépendance de la société civile est immédiatement remis en question par et de nombreuses ONG. DOSSIER MOTO CHARETTE DE LEWIS Récupération politique me dit Lewis hier soir me grondant d'avoir mis au grand jour le dossier surtout à la face du monde entier ignorant que suis membre de la SOCIV. A en croire ses propos, je trouve qu'ils ont couvert le PASTEUR MAKASI des ascrements. il n'y savait rien et pensait que ses ouailles disaient la vérité alors qu'on lui voilait la face avec une moto charette vétuste. Une leçon aux hommes de Dieu. restons dans le cadre ce monde est pourri des fourbes et ne faut pas le croire à la parole. LEWIS SALIBOKO (Président de la société civile OICHA) escroque 3000$ de la population de OICHA. Ce dont consistant de l'ONG PAP RDC à la population oïcienne a été utilisé par LEWIS sans concertation de ses membres. cette charette d'occasion, sans boitier, sans frein et autres pièces manquent, selon LEWIS et son compagnon pasteur BANIHASI qu'elle a couté 3000$. selon les habitants interrogés par RADIO MOTO OICHA, cette charette couterait entre 1000 et 1500$ et que ces derniers n'ont pas été consultés. on regrette aussi la fourberie du pasteur MAKASI à la parade soutenant LEWIS. NB: il y a peut on voulait organisé les élections de la SOCIV OICHA mais LEWIS ne veut pas permettre à PASCAL MAPENZI et l'AGIS d'accéder au bureau. Atelier sur la lutte contre la corruption : la société civile d' Oicha et quelques pasteurs interpellée. Le faut, président dela société civile d' Oicha, doit être désitué. L’Observatoire de Lutte contre la Corruption en Afrique Centrale (OLCAC), section RDC, est en atelier avec les membres de la société civile congolaise. Au menu du programme, on fait état du renforcement des capacités pour la lutte contre la corruption en RD Congo. En effet, cet atelier tombe à pic pour le président de l’OLCAC-RDC, Me Mulumba : « La société civile prend au mot le Gouvernement par son mot d’ordre de Tolérance zéro pour faire du Congo, une nation unie et prospère en dépit de toutes les vulgarités vécues des années passées. Cause pour laquelle il faut prôner la culture de l’excellence qui doit commencer par l’éducation au respect de la chose publique. Il faudra que le citoyen, quel que soit son rang social, fasse acte de foi en payant ses impôts… » A travers cet atelier de deux jours, les participants sont appelés à élaborer une feuille de route qui devra servir de « Task Force de lutte contre la corruption ». Pour le Ministre de la justice, Luzolo, qui a lancé les travaux : « Cet atelier qui intervient au lendemain de la nomination de nouveaux magistrats est un signe fort. Il apparaît comme une sonnette d’alarme envers la société civile sur la gestion de son rôle dans la lutte contre la corruption. L’assainissement du pouvoir judiciaire est nécessaire pour la moralisation de la vie publique et le renforcement de la justice tel que souhaité par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila. D’où l’espoir fondé du Chef de redresser les mœurs dans la gestion de la chose publique. Car, il n’est pas normal que sur un budget de 5 milliards, 15 soient signalés dans l’évasion fiscale ! » Cesser de chanter et passer à l’acte A cause du nombre d’ateliers de formation sans résultats escomptés organisé au cours de l’année, le Ministre de la justice taxe la société civile de complicité passive. « Pour le gouvernement, la société civile passe son temps à chanter plutôt que d’agir alors que la position du Chef de l’Etat est claire. Aucune place pour les malfaiteurs ! La balle est donc dans le camp de la société civile qui n’opère aucune action visible sur terrain pour dénoncer les détourneurs des fonds publics. » A ce propos, il a mis en exergue le travail impeccable de défense des droits de l’homme fourni par feu Chebeya. « Ce genre de travail devrait plutôt être relayer au niveau du respect des biens et services publics ! La société civile devrait dresser le monitoring des infractions commises de manière à mettre le gouvernement à l’épreuve. Identifier les actes et les dénoncer, c’est désormais une question de vie ou de mort pour la société civile qui doit débouter hors de l’état de nuire tous les détourneurs des fonts del' état.

Débat : L’Afrique centrale et la corruption. Le Programme régional de lutte contre la corruption en Afrique est une initiative de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) dont le siège se trouve à Addis-Abeba (Éthiopie). Cette initiative qui a été prise avec le Conseil consultatif de l’Union africaine sur la corruption vise à renforcer la lutte contre la corruption sur le continent et garantir l’existence d’un continent exempt de corruption, mieux gouverné et prospère sur le plan économique. La Convention des Nations Unies contre la corruption (2003) et la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption (2003) constituent les principaux cadres stratégiques et politiques de l’élaboration du présent programme. Son principal objectif est de faciliter l’élaboration et la mise en oeuvre de ces deux cadres sur le continent africain. Le programme adopte une méthode stratégique à plusieurs volets qui englobe la recherche et l’analyse stratégiques, la for