RDC : LA SOIÉTÉ CIVILE D'OICHA DANS LA CONFUSION TOTALE : D'autres composantes, dela société civile, bailleurs de fonds, tirent à boulet rouge sur le bureau dela société civile que dirige Mr Kambale Lewis Saliboko à Oicha dépuis des années. La société civile d' Oicha semble aujourd’hui cristalliser tous les malaises de la société dans le térritoire de Beni. Il faut dire que l’institution a longtemps été présidé par Kambale Lewis comme le symbole de l’évolution démocratique. Mais très rapidement les doutes sont apparus. A commencer par la nomination d’un enfants, dela région Kambale Lews , à la tête de la société civile de Beni térritoire. Les choses se sont gâtées avec la composition du bureaux des composantes étaient sous-représentée et la vraie société civile complètement absente. L’indépendance de la société civile est immédiatement remis en question par et de nombreuses ONG. DOSSIER MOTO CHARETTE DE LEWIS Récupération politique me dit Lewis hier soir me grondant d'avoir mis au grand jour le dossier surtout à la face du monde entier ignorant que suis membre de la SOCIV. A en croire ses propos, je trouve qu'ils ont couvert le PASTEUR MAKASI des ascrements. il n'y savait rien et pensait que ses ouailles disaient la vérité alors qu'on lui voilait la face avec une moto charette vétuste. Une leçon aux hommes de Dieu. restons dans le cadre ce monde est pourri des fourbes et ne faut pas le croire à la parole. LEWIS SALIBOKO (Président de la société civile OICHA) escroque 3000$ de la population de OICHA. Ce dont consistant de l'ONG PAP RDC à la population oïcienne a été utilisé par LEWIS sans concertation de ses membres. cette charette d'occasion, sans boitier, sans frein et autres pièces manquent, selon LEWIS et son compagnon pasteur BANIHASI qu'elle a couté 3000$. selon les habitants interrogés par RADIO MOTO OICHA, cette charette couterait entre 1000 et 1500$ et que ces derniers n'ont pas été consultés. on regrette aussi la fourberie du pasteur MAKASI à la parade soutenant LEWIS. NB: il y a peut on voulait organisé les élections de la SOCIV OICHA mais LEWIS ne veut pas permettre à PASCAL MAPENZI et l'AGIS d'accéder au bureau. Atelier sur la lutte contre la corruption : la société civile d' Oicha et quelques pasteurs interpellée. Le faut, président dela société civile d' Oicha, doit être désitué. L’Observatoire de Lutte contre la Corruption en Afrique Centrale (OLCAC), section RDC, est en atelier avec les membres de la société civile congolaise. Au menu du programme, on fait état du renforcement des capacités pour la lutte contre la corruption en RD Congo. En effet, cet atelier tombe à pic pour le président de l’OLCAC-RDC, Me Mulumba : « La société civile prend au mot le Gouvernement par son mot d’ordre de Tolérance zéro pour faire du Congo, une nation unie et prospère en dépit de toutes les vulgarités vécues des années passées. Cause pour laquelle il faut prôner la culture de l’excellence qui doit commencer par l’éducation au respect de la chose publique. Il faudra que le citoyen, quel que soit son rang social, fasse acte de foi en payant ses impôts… » A travers cet atelier de deux jours, les participants sont appelés à élaborer une feuille de route qui devra servir de « Task Force de lutte contre la corruption ». Pour le Ministre de la justice, Luzolo, qui a lancé les travaux : « Cet atelier qui intervient au lendemain de la nomination de nouveaux magistrats est un signe fort. Il apparaît comme une sonnette d’alarme envers la société civile sur la gestion de son rôle dans la lutte contre la corruption. L’assainissement du pouvoir judiciaire est nécessaire pour la moralisation de la vie publique et le renforcement de la justice tel que souhaité par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila. D’où l’espoir fondé du Chef de redresser les mœurs dans la gestion de la chose publique. Car, il n’est pas normal que sur un budget de 5 milliards, 15 soient signalés dans l’évasion fiscale ! » Cesser de chanter et passer à l’acte A cause du nombre d’ateliers de formation sans résultats escomptés organisé au cours de l’année, le Ministre de la justice taxe la société civile de complicité passive. « Pour le gouvernement, la société civile passe son temps à chanter plutôt que d’agir alors que la position du Chef de l’Etat est claire. Aucune place pour les malfaiteurs ! La balle est donc dans le camp de la société civile qui n’opère aucune action visible sur terrain pour dénoncer les détourneurs des fonds publics. » A ce propos, il a mis en exergue le travail impeccable de défense des droits de l’homme fourni par feu Chebeya. « Ce genre de travail devrait plutôt être relayer au niveau du respect des biens et services publics ! La société civile devrait dresser le monitoring des infractions commises de manière à mettre le gouvernement à l’épreuve. Identifier les actes et les dénoncer, c’est désormais une question de vie ou de mort pour la société civile qui doit débouter hors de l’état de nuire tous les détourneurs des fonts del' état.

Débat : L’Afrique centrale et la corruption. Le Programme régional de lutte contre la corruption en Afrique est une initiative de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) dont le siège se trouve à Addis-Abeba (Éthiopie). Cette initiative qui a été prise avec le Conseil consultatif de l’Union africaine sur la corruption vise à renforcer la lutte contre la corruption sur le continent et garantir l’existence d’un continent exempt de corruption, mieux gouverné et prospère sur le plan économique. La Convention des Nations Unies contre la corruption (2003) et la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption (2003) constituent les principaux cadres stratégiques et politiques de l’élaboration du présent programme. Son principal objectif est de faciliter l’élaboration et la mise en oeuvre de ces deux cadres sur le continent africain. Le programme adopte une méthode stratégique à plusieurs volets qui englobe la recherche et l’analyse stratégiques, la formation et le développement des capacités, l’apprentissage mutuel, le partage de connaissances et d’informations et la collecte des données concernant les meilleures pratiques de la lutte contre la corruption, la concertation axée sur les orientations et l’organisation de manifestations spéciales sur la corruption en Afrique. Avec 7 pays parmi les 20 pays les plus corrompus du continent africain en 2014, l’Afrique centrale figure parmi les régions les plus corrompus de la planète selon l’indice de perception de la corruption publié annuellement par l’ONG Transparency international. Bien qu’il existe au sein de chaque pays de la communauté économique des états d’Afrique centrale (CEEAC) des institutions en charge de la lutte contre la corruption, force est de constater qu’elles produisent peu de résultats. Comme pour palier à la corruption qui affecte leurs économies, les 10 pays de la CEEAC ont créé le 8 octobre dernier un Réseau des institutions nationales de lutte anticorruption (RINAC).
Confier l’intégralité de la lutte contre la criminalité financière à une seule institution
L’analyse du dispositif institutionnel de lutte contre la corruption des pays de la CEEAC laisse apparaitre l’existence de plusieurs institutions en charge de lutter contre la corruption mais dont les périmètres d’actions respectifs restent mal définis. Ainsi chaque pays de l’espace régional centrafricain dispose de :
– Une cellule nationale de renseignements financiers, souvent appelée Agence nationale d’investigation financière (ANIF) en charge de lutter contre les flux financiers illicite (intégrant de fait la corruption) et contre financement du terrorisme. Au plan international ces institutions sont affiliées au Groupement d’action financière (GAFI) qui édicte des règles pour organiser la lutte contre le blanchiment des capitaux au niveau mondial.
– Une agence nationale de lutte contre la corruption, en charge elle aussi de lutter contre la corruption.
– Des tribunaux financiers qui jugent entre autres des affaires en liens de corruption.
A travers le RINAC récemment créé, les Etats de le CEEAC ont ajouté une couche institutionnelle supplémentaire alors qu’il aurait peut-être été plus efficace de confier l’intégralité de la lutte contre la criminalité financière et la corruption à une seule institution, en l’occurrence l’ANIF, et dans le même temps accroitre les moyens dont elle dispose pour la rendre plus efficace dans la réalisation de ses missions. Les tribunaux financiers quant à eux n’interviendraient que pour assurer la partie pénale des affaires. La nécessité d’une volonté politique pour contrer la corruption. La vue des 20 pays réputés les plus corrompus du continent interpelle sur la gouvernance de ces états mais surtout sur la transparence liée aux contrats miniers ou pétroliers signés ou exécutés. En effet, la moitié de ces pays sont producteurs de pétrole où disposent d’importantes concessions minières dont l’attribution est souvent opaque.
Par ailleurs, il est indispensable que les autorités politiques de chaque pays affirment une réelle volonté de lutter contre le fléau que représente la corruption. Cela doit se traduire par une réelle traque des actes de corruption et une répression judiciaire le cas échéant. Suivez le débat sur la corruption en Afrique centrale organisé dans le cadre de l’émission African News Room (ANR) de la chaine de télévision internationale Africa 24.
Les 20 pays les plus corrompus du continent africain
Country Rank Regional RankCountry / Territory CPI 2014 Score 126
28 Gambia 29126
28 Togo 29133
30 Madagascar 2813631
Cameroon 27136
31 Nigeria 27142
33 Comoros 26142
33 Uganda 26145
35 Guinea 25145
35 Kenya 2515037
Central African Republic2415238
Congo Republic 2315439
Chad 2215439
Democratic Republic of the Congo 22156
41 Zimbabwe 2115942
Burundi 2016143
Angola 19161
43 Guinea-Bissau 19166
45 Eritrea 18171
46 South Sudan 1517447
47 Somalia 54782356. Les institut nat de lutte contre la corruption.

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