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Affichage des articles du octobre 14, 2016

Dépuis six jours maintenant, les activités économiques commerciales sont paralysées de plus à Beni-Ville situé dans la partie Nord-Est dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo ; Pendant ce temp, la FEC exige que 3 de ses membres arrêtés par les services de sécurité soient transférés devant le juge au lieu de trimer dans le cachot de ces services. !

En effet, parmi les 3 commerçants arrêtés, l’un d’entre eux, très connu à Beni s’appelle ASSANI KAMBALE dit KIN SOIR. Les factures de sa boutique auraient été retrouvées chez les ADF d’où le soupçon de sa complicité avec ses clients islamistes ADF. La FEC trouve en ces arrestations sans jugement un certain acharnement sur les commerçants. Dans un point de presse, le porte-parole des Operations SUKOLA1, MACK HAZUKAY, a condamné la grève de la FEC argumentant que l’infraction est individuelle et l’arrestation de Kin soir est avérée 2. La réunion réglementaire interinstitutionnelle entre l’assemblée provinciale et le gouvernement du Nord-Kivu a eu lieu ce jeudi au siège de l’assemblée provinciale. Ils se sont convenus entre autres de demander à la MONUSCO d’éloigner les sud-soudanais de Munigi dans le territoire de Nyiragongo pour ne pas donner des prétextes au Rwanda et à l’Ouganda sur leur sécurité. Ils ont relevé les difficultés d’élaborer le budget au Nord-Kivu à cause des allocatio

Tueries en cours dans la région de Beni àl'Est dela République Démocratique du Congo : Mise en place du "Mecanisme de suivi des activites des Adf-Nalu" par les pays membres de la CIRGL hier Kinshasa. Une decision visiblement salutaire d'après une ONG des défense des droits del'homme basé dans la province du Nord-Kivu : (1), quoique tardive (2) cependant non innoncente du contexte politique actuelle en Rdc (3). Salue par quelques notabilites dans la mesure elle exprime la "solidarite" de ces pays aux massacres des populations de Beni (i) et pourrait, si fonds il y aura, appuyer les FARDC et la Monusco dans la lutte contre l'activisme des Adf-Nalu(ii), mais une decision qui a attendu la mort de plus de 1500 personnes civils et militaires et les deplacements des populations de Beni, une decision donc tardive pour plus de 1500 personnes mortes. Une decision prise dans un contexte ou la situation politique est marquee par l'attente des conclusions du dialogue d'une part et les contestations d'une partie de l'opposition d'autre part, et ce, a douze jour de la convocation du sommet des chefs d'Etats de la CIRGL-SADC-UA en Angola ou la situation Rdc sera principalement abordee. Plusieurs chefs d'Etats membres de la CIRGL y sont attendus. Peut-on attendre la "solidarite africaine aux massacres de Beni" de ce sommet (1) Bien plus, la contribution africaine a la crise politique et qui contredirait le dialogue facilite par un mediateur de l'Union Africaine (2) Ce sommet attire deja l'attention de plus d'un quelques un de part, et d'autres.

En janvier 2014, une offensive lancée contre les ADF par les Forces armées de la RDC (FARDC), appuyée plus tard par la Mission de l’Onu (Monusco), a permis d’affaiblir cette rébellion qui a eu à perdre d’importants bastions. Toutefois, en raison d’un relâchement de ces opérations armées, les rebelles ougandais se sont réorganisés et ont repris du poil de la bête. Ainsi, en octobre, la série de massacres a-t-elle commencé. Si les assassins n’ont pas changé leurs modes opératoires caractérisés par une cruauté d’une autre époque (les victimes sont assassinées à l’arme blanche (machette, houe, hache, marteau, couteau…, et parfois décapitées), ils n’hésitent pas à défier de plus en plus les autorités en massacrant les populations civiles. La cruauté, la peur dues aux massacres à répétition attribués aux rebelles ougandais des ADF et qui ne cessent d’endeuiller le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu sont devenues le quotidien des habitants de ce vaste territoire. En effet, le dr

Les jeunes gens de Beni-Ville ont décidé de se rendre à Mayangose le samedi 15 octobre del'année en cours : ils disent que, la population dela région de Beni, doivent se prendre en charge contre les tuerries, vols, et d'incendies en cours dans cette partie dela province du Nord-Kivu, en proie d'insécurité grandissante ces derniers années où plus de 1200 personnes ont été massacrés sauvagement par les rébélles étrangers présent dans la région dépuis des années, selon la société de Beni-Ville et térritoire. !

Les jeunes gens de Beni-Ville seront capable d'aller à Mayangose le samedi 15 octobre 2016 ? Difficile de savoir pour le moment ! Mais d'autres source parlent d'un dispositif des policiers qui va être déploiyer sur toutes axes routier qui mènent vers cette localité de Mayangose, peut être dans l'objectif de contrer les habitants civils qui ont proposés d'aller troubler l'opération millitaire en cours contre les rébélles des Adf, dans ce coin insécurisé. En écoutant les propos des un et des autres, le porte parole d'opération Sukula 1 le LTN MAC AZUKAY pour sa part a dit qu' il n'est pas d'accord avec les gens là qui veulent créer des troubles au sein des habitants civils ! Selon la même source, toute personne qui sera visible à Mayangose où se déroule l'opération dela traque contre les Adf-Nalu, sera considérée comme rébelle : Face à des attaques meurtrière à répétiton en Ville et térritoire de Beni, la population disent être abandonné pa

Un certain groupe des jeunes gens habitants, et quelque patriotes dela région de Beni ont décidé d'aller combatre eux même, les rébélles des Adf-Nalu, dans la brousse de MAYANGOS, un village situé àl'Est de Beni-Ville, vers l'Est dela République Démocratique du Congo : La population disent être abandonné par les autorités nationaux, aux mains des criminnels étrangers qui continuent avec une serie des massacres, contre les civils, victimes des plusieurs éxactions en cours dans la région dépuis deux ans ! Pendant ce temp le commandement d'opération Sukula 1 qui intensifie ce dernier jours la traque de grande avergure dans la région de Beni contre ces groupes des rébélles ne parlent pas la même language en ce qui concerne la traque des rébélles des ADF prèsent dans la brousse de MAYANGOS une localité situé dans la partie Est de Beni-Ville où ils mènent souvent des attaques meurtrière contre la population victimes des plusieurs massacres, vols, et des incendies, à répétition dépuis octobre 2014, à nos jours. Face à cette situation d'insécurité grandissante dans cette partie du Nord-Kivu, beaucoup des gens dans la ville de Beni disent qu'ils sont prêts à aller débroussayer la fôret de mayangose pour que le militaires voyent l'enemie de loin pour 15/10/2016, le maire dela ville Nyonyi à encourager l'initiative mais il a envoyé ces derniers d'aller voir le commendant des opérations, en écoutant les propos du porte parole MICK AZUKAY il n'est pas d'accord et ila dit je cite toute personne qui sera visible à cette évenement sera considérée comme rébelle or la population aussi dit celui qui va les empêchés donc est complisse. Alors on ne sait pas ce qui va arriver ce jours là, soyons prudent et sûr de sois même mes chers amis". Par ailleurs, les membres dela société dela région continuent à dénoncer : 1. Des multiples cas d’incursions des groupes armés étrangers sur le sol congolais : Dans le passé des des droits del'homme ont signalés une incursion des troupes ougandaises veste la partie Est de Beni téritoire. ! Dépuis plusieurs jours, les habitants de la chefferie de Watalinga, frontalière avec l'Ouganda en territoire de Beni font état d'une concentration des troupes de l'Uganda People Defence Forces à la frontière avec la RDC. Des mouvements suspects des personnes d’origine indéterminée à direction des zones de massacres. C’est le cas de 9 personnes, conduites par un certain HARERI MATERERUZAZA, arrêtées à Butembo en date du Jeudi 19 mai 2016. D’autres recherches menées par les organisations locales de défense des droits de l’homme notent une traversée clandestine de ces troupes Ougandaises sur le territoire Congolais. Le Centre d’étude pour la promotion de la paix et des droits humains, Cepadho, une structure qui documente les violations de droits de l’homme au Nord-Kivu a mené une réflexion sur cette présence décriée de l’armée Ougandaise sur le sol Congolais. La motivation qui pousserait l’Ouganda à intervenir militairement au Congo pourrait se justifier par le fait que ce pays dirigé par Yoweri Kaguta Museveni aurait indiqué que le territoire de Beni en RDC regorge des bases arrière d’un groupe terroriste, prêt à frapper en Ouganda.

Au cours de deux derniers, années les attaques contre les civils ont fait plus de 1200 victimes dans la région de Beni, en République démocratique du Congo (RDC). Les autorités congolaises accusent les Forces démocratiques alliées (Allied Democratique Forces, ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Le commandant de la zone opérationnelle Grand Nord et de l’opération Sokola 1 NORD, le général Marcel Mbangu Mashita, a exhorté la population de la province du Nord-Kivu (Est de RD Congo) à ne « pas abuser des réseaux sociaux pour démoraliser la population et les troupes sur terrain face aux ADF Nalu ». « Les réseaux sociaux et les médias ne sont pas des voies indiquées pour donner des informations au commandement Sokola 1 sur ceux là qui commettent des crimes dans le territoire de Beni », a recommandé le général Marcel Mbangu au cours d’un récent point de presse à Beni. En poste depuis juin 2015, cet officier aguerri, qui mène