Les jeunes gens de Beni-Ville ont décidé de se rendre à Mayangose le samedi 15 octobre del'année en cours : ils disent que, la population dela région de Beni, doivent se prendre en charge contre les tuerries, vols, et d'incendies en cours dans cette partie dela province du Nord-Kivu, en proie d'insécurité grandissante ces derniers années où plus de 1200 personnes ont été massacrés sauvagement par les rébélles étrangers présent dans la région dépuis des années, selon la société de Beni-Ville et térritoire. !

Les jeunes gens de Beni-Ville seront capable d'aller à Mayangose le samedi 15 octobre 2016 ? Difficile de savoir pour le moment ! Mais d'autres source parlent d'un dispositif des policiers qui va être déploiyer sur toutes axes routier qui mènent vers cette localité de Mayangose, peut être dans l'objectif de contrer les habitants civils qui ont proposés d'aller troubler l'opération millitaire en cours contre les rébélles des Adf, dans ce coin insécurisé.
En écoutant les propos des un et des autres, le porte
parole d'opération Sukula 1 le LTN MAC AZUKAY pour sa part a dit qu' il n'est pas d'accord avec les gens là qui veulent créer des troubles au sein des habitants civils ! Selon la même source, toute personne qui sera visible à Mayangose où se déroule l'opération dela traque contre les Adf-Nalu, sera considérée comme rébelle : Face à des attaques meurtrière à répétiton en Ville et térritoire de Beni, la population disent être abandonné par les autorités nationaux, aux mains des criminnels étrangers qui continuent avec une serie des massacres, contre les civils, victimes des plusieurs éxactions en cours dans la région dépuis deux ans ! Pendant ce temp le commandement d'opération Sukula 1 qui intensifie ce dernier jours la traque de grande avergure dans la région de Beni contre ces groupes des rébélles ne partage pas la même language avec les gens qui veulent aller à Mayangose. Pour cause, ce groupe des civils ne maîtrisent même des stratégies, tactiques, et tecnnique dela guerre comme les font les millitaires Fardc contre ce groupe des rébélles étrangers des ADF prèsent dans la brousse de MAYANGOS une localité situé dans la partie Est de Beni-Ville où ils mènent souvent des attaques meurtrière contre la population victimes des plusieurs massacres, vols, et des incendies, à répétition dépuis octobre 2014, à nos jours. Face à cette situation d'insécurité grandissante dans cette partie du Nord-Kivu, beaucoup des gens dans la ville de Beni disent qu'ils sont prêts à aller débroussayer, et d'autres pour contre attaque des rébélles dans la fôret de mayangose pour que, le militaires voyent l'enemie de loin pour 15/10/2016 ! Au cours de deux derniers, années les attaques contre les civils ont fait plus de 1200 victimes dans la région de Beni, d'après une source dela société dans cette partie délaboration province du Nord-Kivu vers l'Est dela République démocratique du Congo (RDC). Face à cette situation, des tuerries à répétion dans la région, les autorités congolaises accusen régulierement, les Forces démocratiques alliées (Allied Democratique Forces, ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Pour sa part la fois passé le commandant de la zone opérationnelle d’opération Sukula 1 NORD le général Marcel Mbangu Mashita, a exhorté la population de Beni térritoire au Nord-Kivu, à ne « pas abuser des réseaux sociaux pour démoraliser la population et les troupes sur terrain face aux ADF Nalu ».
« Les réseaux sociaux et les médias ne sont pas des voies indiquées pour donner des informations au commandement Sokola 1 sur ceux là qui commettent des crimes dans le territoire de Beni », a recommandé le général Marcel Mbangu au cours d’un récent point de presse à Beni-Ville.
En poste depuis juin 2015, cet officier aguerri, qui mène avec perspicacité les opérations des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à Beni et à Lubero, (région incluant la zone opérationnelle Sokola1), sait à quoi il a à faire face aux rebelles ougandais qui peine nt à se relever des offensives punitives de l’armée congolaise.
La complicité locale
Ne négligeant aucun détail, le général Marcel Mbangu appelle à « la consolidation de la collaboration entre l’armée et la population ».
Depuis près de 25 ans, les terroristes ougandais ADF-Nalu ont investis la région de Beni, usant d’un modus opératoire qui n’est différent de celui de ses homologues de l’AQMI au Sahel.
Ils profitent de leurs accointances avec certains individus, « ennemis du peuple » dans la région, pour échapper aux traques menées par les troupes gouvernementales. « C’est le grand problème auquel nos FARDC font face », déplore un responsable de la société civile locale à Beni. Les deux dernières années, plusieurs « complices » ont été arrêtés par les services de sécurité congolais.
À peine entré en fonction, le général Mbangu a conclu « un mariage avec la population, très indispensable pour relever ce défi sécuritaire », selon le chef de l’Etat et Commandant suprême des FARDC, Joseph Kabila lors de son passage ce dernier temp dans cette partie du pay.
En décembre 2015, plusieurs voix ont condamné l’organisation d’une « journée ville-morte » à Beni et ses périphéries alors que, curieusement, les troupes loyalistes venaient de tuer une dizaine de rebelles dans la région d’Oïcha et Eringeti, dont les corps avaient été exposés sur la place publique.
Sont-ils sont mécontents de voir notre armée tuer des ADF-Nalu ?

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