Articles

Affichage des articles du mai 3, 2016

Financement des élections prévue vers la fin du mois de novembre en République Démocratique du Congo, la Mission conjointe Nations-Unies (ONU) et de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) s’est entretenue ce lundi 2 mai 2016 avec une importante équipe gouvernementale de la Rd Congo en présence des membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) conduite par son président, Corneille Nangaa Yobeluo. Sous la direction du vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur et sécurité, le professeur Evariste Boshab, cette réunion de haut niveau consistait à évaluer l’appui nécessaire au processus électoral et d’identifier les besoins réels attendu de la communauté internationale.

Fructueuses discussions avec le Gouvernement de la RDC D’après le Président de la CENI, les échanges entre les trois composantes et parties prenantes au processus électoral ont porté essentiellement sur l’évaluation des besoins actuels du processus électoral en vue de rapport possible, de la Communauté Internationale. Corneille Nangaa Yobeluo au sortir de l’audience: « Nous avons reçu une mission conjointe de l’OIF et de Nations Unies et nous avons conduit cette mission auprès du Gouvernement. Cette mission est là pour évaluer et identifier les besoins pour le processus électoral et nous avons discuté objectivement de tous ce qui est encore contrainte au processus électoral ». Il a été l’occasion pour les trois parties de dresser l’état du financement du processus électoral en rappelant les grands défis qui gênent encore la poursuite normale du processus électoral. Les besoins, d’après le Gouvernement, sont de quatre ordres à savoir : le financement du processus électoral sans lequel

Nord-Kivu : la multiplicité des violences contre les femmes préocupe les associations dela société civile selon une ONG la CRDH Convention pour le réspect des droits del' homme basé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni : VIOL CONTRE LES MINEURS AU SUD DU TERRITOIRE DE LUBERO ON EN PARLE ENCORE : Dans la localité de Miriki au Sud du Territoire de Lubero, Province du Nord-Kivu, une fille de 10 ans que nous taisons encore son nom pour de raison déonthologigique a été violée aujourd'hui Mardi 03/05/2016 au Quartier Kasungwa à Miriki Centre vers 11 heures locale par Mr. Bonne année Kabengele agé de 35 ans, cultivateur domiciler de Miriki, Quartier Miriki. Le criminel est arrivé dans la parcelle de la victime, trouvant l'enfant seul, lui a demandé si où est parti sa maman. L'enfant lui a dit : "ma mère est allé au champs à Bushimba" et directement le boureau a recuperé la fille jusqu'à dans la maison et violer la victime. La CRDH s'inquiète de ce deuxième cas de viol en l'intervale de 21 heures de temps dans un même village et plaide pour l'arrêstation du criminel cité ci-haut et la justice et le poursuivre pour decourager c'est aspect de criminalité qui semple pendre un empleur inquiétant dans la Zone de Lubero Sud.

Les statistiques toujours croissantes de la violence sont là comme indicateur de réussite ou pas d’un gouvernement. 8 000 000 des morts, des millions des blessés et des disparus, des centaines des milliers des femmes violées, des millions des déplacés, etc. Pourquoi des hommes bons une fois au gouvernement ou à l’Assemblée Nationale tournent le dos aux problèmes primordiaux des congolais? Les experts de la politique en RDC sont unanimes pour affirmer que la RDC est devenue un état manqué plus aux petits soins des réseaux maffieux de pillage des ressources naturelles du pays que des citoyens congolais abandonnés au débrouillage ou article 15. D’aucuns vont même jusqu’à affirmer que la RDC n’existe pas comme Etat et prétendre le contraire est la source de la crise congolaise qui dure depuis Mobutu. Comment ramener la République Démocratique du Congo sous le contrôle des citoyens congolais ? Un photographe de Kirumba pense qu’il faut une solidarité agissante à l’égard des blessés et de

La 50ème session ordinaire de l'Examen d'Etat débute ce lundi 2 mai par l'épreuve de dissertation. A en croire le ministre de l'Enseignement Primaire et Supérieur (EPS)MAKER MWANGU, cet examen va se déroulaient sans encombre dans toutes les 26 provinces du pays. Pour la Ville-Province de Kinshasa, on a enregistré au total 3.327 autodidactes dont 1.660 filles soit (49,9 pourcent) et 1667 soit (50,1 pourcent) garçons. Les épreuves de la session ordinaire doivent avoir lieu en juin prochain.

Coup d’envoi des épreuves hors-session de l’Examen d’Etat édition 2016. La dissertation était au centre lundi 2 mai 2016 par la dissertation, et ce sur l’étendue du territoire national. Au total, 618.004 candidats regroupés dans 1.793 centres de passation pour le cycle long et 5.512 candidats répartis dans 278 centres pour le cycle court. Pour ce faire, la ministre Provinciale en charge de l’éducation, madame Thérèse OLENGA, ainsi que les membres de la grande famille éducationnelle ont effectué une ronde dans quelques écoles situées dans les trois provinces éducationnelles (Kin-Est, Kin-Ouest et Kin-Centre) de la capitale en vue de s’assurer du bon déroulement de ces épreuves.Les écoles visitées sont le lycée saint Germain de N’djili, le complexe scolaire Mgr MOKE de Kasa-vubu et le collège Elikia de la Gombe. A cet effet, Madame Thérèse OLENGA a saisi cette opportunité pour encourager les élèves et les a exhorté à ne pas avoir peur mais plutôt de rester concentrer afin de bien p

Les jeunes gens dela région de Beni sont des complices avec les Adf-Nalu ? Nous ne cesserons de l’affirmer que la défaite du M23 ne signifie nullement la fin de l’instabilité dans l’Est du Congo, plus de 40 groupes armés y subsistent toujours. Surtout, il ne faut pas oublier que la majorité des troupes de l’ADF/NALU sont des Nande de l’Ouganda convertis à l’islam. De même, l’actuel chef d’état-major général de l’UPDF, l’armée ougandaise, le généralKatumba Wamala, est un Nande. Il y a donc des affinités et des interactions entre les Nande de la RDC et ceux de l’Ouganda : mariage, business, obsèques etc... « . Ces affinités avec certains congolais ont aussi été confirmées par les experts de l’ONU qui ont affirmé dans un rapport daté du 20 juin 2012 que « deux anciens combattants de l’ADF et les services de renseignement ougandais affirment que l’ADF a reçu des virements en provenance de Londres, du Kenya et de l’Ouganda, rassemblés par des intermédiaires congolais à Beni et Butembo », au Nord-Kivu. Les mêmes sources citées par les experts onusiens soutiennent que l’ADF se finance aussi par un réseau de taxis opérant dans la zone frontalière et tirait profit de l’or et de l’exportation de bois en Ouganda.

Un présumé Adf-Nalu rémpondant au nom de Kakule Malonga, est tombé au le fillet des millitaires Fardc, dan la nuit du dimanche à lundi vers, vingt trois heurs à Mutara un village situé non loin, à l' Est dela localité de Kokola, groupement de Bambubha Kisiki en térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. selon une source capté sur une radio locale Muungano Oicha dans son édition du journale du 6:30" le mardi 03 mai 2016, pour le moment il est, à l' État-Major d' OPS Sukula1. Informé de son arrestation, les journalistes dela RTM OICHA se sont rendu sur le lieu, pour s' informé de plus et après, ça n'est suivi une serie des quéstions orale entre les journalistes et cet homme rébélle : voici son témoignage ici bas : « Nous nous sommes rendus au champs pour chercher la nourriture. Et là les ADF/Nalu nous ont prises de force et nous a emmenées à la forêt du térritoire de Beni précisement à Madina où nous avons vue beaucoup des personnes comme les hommes, femmes, et

Les millitaires Fardc ont appréhendé, un homme dela communauté Nande à Mutara un village situé, au Nord-Est de Beni térritoire dans la nuit du 01 au 02 mai 2016 : selon une source millitaire, cet homme est suspecté d’appartenir à un réseau de recrutement des ADF, les rebelles ougandais auteurs de nombreuses tueries dans ce territoire du Nord-Kivu. "Les ADF ont bénéficié ces derniers mois d’un soutien important auprès de ceux qui œuvrent pour la déstabilisation de l’est de la RDC. Des jeunes ont été recrutés en Ouganda où sont réfugiés des anciens combattants du M23. Ces derniers ne sont donc pas étrangers à ce qui se passe à Beni." Et d’alerter : "c’est une nouvelle guerre qui se prépare." Contacté parJeune Afrique, Amani Kabasha, porte-parole du M23, a toutefois catégoriquement réfuté ces accusations. "Nos troupes sont cantonnées en Ouganda, elles n’ont pas bougé. Au lieu de persister dans sa politique de recherche des boucs émissaires, Kinshasa doit jouer son rôle régalien de protection des populations civiles", a-t-il déclaré. Le M23 se régénère-t-il à partir du Rwanda et de l’Ouganda *.Quelle est la particularité de Beni pour les assaillants ? Pourquoi cette "nouvelle guerre" partirait-elle, cette fois-ci, de Beni ? Les experts sont unanimes : le territoire est propice aux mouvements rebelles. Montagnes, massif de Rwenzori, forêt dense, vallées, parc national des Virunga… Bref, l’environnement de Beni ne facilite pas le démantèlement des groupes armés. Il y aussi la rivière Semliki et tous ses affluents qui regorgent d’or, entre autres. Conséquence : depuis des années, divers groupes armés et milices locales y exploitent illégalement des ressources naturelles le bois notamment et des minerais. En toute impunité. Julien Paluku gouverneur du Nord-Kivu à accusé Mbusa Nyamwisi de préparer une nouvelle rebellion. «L’insécurité à Beni n’est pas seulement l’œuvre des rebelles ougandais. Elle est facilitée par les enfants de Beni», a affirmé récemment le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, accusant nommément Antipas Mbusa Nyamwissi, notable de Beni, d’avoir orchestré les récents massacres des populations civiles dans ce territoire. De son côté, le parti de Mbusa Nyamuisi, le RDC/KML, a rejeté samedi 15 novembre ces accusations, les qualifiant d’«imputations mensongères.» “Antipas Nyamwissi a fait tuer des civils afin de mettre sous pression les populations et venir ensuite se présenter comme leur libérateur avec sa rébellion en gestation“, a indiqué Julien Paluku lors d’une adresse à la population mercredi 13 novembre. Julien Paluku a dénoncé un projet macabre: «On est en train de citer Mbusa dans certaines choses, la plupart des Nande commencent à dire que Julien aussi attaque Mbusa. Mais ce n’est pas le fait de Julien. Lorsqu’un fils de la communauté se révèle être un criminel, on doit le dénoncer. Et c’est la raison pour laquelle moi, en ma qualité de gouverneur, je dénonce d’abord ce projet macabre et j’en appelle à toutes les communautés de la province du Nord Kivu, pour ne pas faire le lit de l’adage: ‘qui ne dit mot consent’ de devoir condamner tout ce qui se passe dans la province.» Julien Paluku et Antipas Mbusa sont tous des Nande. Mais le gouverneur Paluku a tenu à souligner que la démarche de M. Mbusa n’était pas à attribuer à toute cette communauté: «Pour que les entreprises [criminelles] initiées par certaines personnes appartenant à des communautés soient considérées comme des entreprises privées, individuelles mais qui n’engagent pas les communautés respectives, j’aurais bien voulu que la communauté des Nande à Beni, à Butembo, à Goma, à Kinshasa et partout ailleurs dénonce ça et dise que ce qui se fait à Beni n’engage pas la communauté mais engage le responsable de cette entreprise.» Fin décembre, Joseph Kabila lui-même s’était rendu dans la région pour essayer de rassurer la population, promettant de "vaincre" les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), soupçonnés d’être responsables de cette série des massacres.

Un présumé Adf-Nalu rémpondant au nom de Kakule Malonga, est tombé au le fillet des millitaires Fardc, dan la nuit du dimanche à lundi vers, vingt trois heurs à Mutara un village situé non loin, à l' Est dela localité de Kokola, groupement de Bambubha Kisiki en térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. selon une source capté sur une radio locale Muungano Oicha dans son édition du journale du 6:30" le mardi 03 mai 2016, pour le moment il est, à l' État-Major d' OPS Sukula1. Informé de son arrestation, les journalistes dela RTM OICHA se sont rendu sur le lieu, pour s' informé de plus et après, ça n'est suivi une serie des quéstions orale entre les journalistes et cet homme rébélle : voici son témoignage ici bas : « Nous nous sommes rendus au champs pour chercher la nourriture. Et là les ADF/Nalu nous ont prises de force et nous a emmenées à la forêt du térritoire de Beni précisement à Madina où nous avons vue beaucoup des personnes comme les hommes, femmes, et

Contradiction des politiciens sur la tenue de dialogue en Rdc : la dernière déclaration de Félix Tshisekedi sur Top Congo. Cette déclaration a immédiatement provoqué l’incompréhension du porte-parole de la Majorité présidentielle, André-Alain Atundu, qui l’a qualifiée de « confusionniste ». Il conseille en toute responsabilité, que maintenant que nous sommes tous tendus vers le dialogue, favorisons le dialogue. Invité le week-end dernier par Top Congo, Félix Tshilombo Tshisekedi, Secrétaire exécutif de l’UDPS en charge des Relations extérieures, a indiqué que le dialogue allait mettre de côté la Constitution de la République, pour tracer un nouvel ordre politique, lequel sera dirigé par le lider maximo Etienne Tshisekedi wa Mulumba qui ne compte pas partager le pouvoir avec d’autres forces politiques Cette déclaration ne pouvait pas laisser indifférent le porte-parole de la Majorité Présidentielle, l’ambassadeur André-Alain Atundu, qui l’a qualifiée de « confusionniste ». Pour lui, la préoccupation de la classe politique aujourd’hui, c’est d’aller au dialogue.

Préparons-nous d’aller au dialogue parce que c’est la voie ou l’endroit où chacun aura à donner son point de vue sur l’avenir démocratique de notre pays, et dégager une solution consensuelle », conseille-t-il. Les dernières déclarations de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) risquent de compliquer la publication des membres du Comité préparatoire, processus qui va déboucher sur la convocation du dialogue attendu par tout le monde en Rdcongo. Et pourtant, le 14 décembre 2015, le Président de la République Joseph Kabila, en sa qualité de Garant de la Nation a appelé, une fois de plus, au sens élevé de responsabilité de chacun et de tous, afin qu’au sortir du Dialogue national, nous soyons plus unis qu’avant, dans la mise en œuvre d’un processus électoral authentiquement le congolais, fruit d’un consensus librement dégagé, avec pour objectifs la consolidation de notre jeune démocratie, et la préservation de la paix chèrement acquise, de la sécurité, de la stabilité et