Nord-Kivu : la multiplicité des violences contre les femmes préocupe les associations dela société civile selon une ONG la CRDH Convention pour le réspect des droits del' homme basé à Oicha chef lieu du térritoire de Beni : VIOL CONTRE LES MINEURS AU SUD DU TERRITOIRE DE LUBERO ON EN PARLE ENCORE : Dans la localité de Miriki au Sud du Territoire de Lubero, Province du Nord-Kivu, une fille de 10 ans que nous taisons encore son nom pour de raison déonthologigique a été violée aujourd'hui Mardi 03/05/2016 au Quartier Kasungwa à Miriki Centre vers 11 heures locale par Mr. Bonne année Kabengele agé de 35 ans, cultivateur domiciler de Miriki, Quartier Miriki. Le criminel est arrivé dans la parcelle de la victime, trouvant l'enfant seul, lui a demandé si où est parti sa maman. L'enfant lui a dit : "ma mère est allé au champs à Bushimba" et directement le boureau a recuperé la fille jusqu'à dans la maison et violer la victime. La CRDH s'inquiète de ce deuxième cas de viol en l'intervale de 21 heures de temps dans un même village et plaide pour l'arrêstation du criminel cité ci-haut et la justice et le poursuivre pour decourager c'est aspect de criminalité qui semple pendre un empleur inquiétant dans la Zone de Lubero Sud.

Les statistiques toujours croissantes de la violence sont là comme indicateur de réussite ou pas d’un gouvernement. 8 000 000 des morts, des millions des blessés et des disparus, des centaines des milliers des femmes violées, des millions des déplacés, etc. Pourquoi des hommes bons une fois au gouvernement ou à l’Assemblée Nationale tournent le dos aux problèmes primordiaux des congolais? Les experts de la politique en RDC sont unanimes pour affirmer que la RDC est devenue un état manqué plus aux petits soins des réseaux maffieux de pillage des ressources naturelles du pays que des citoyens congolais abandonnés au débrouillage ou article 15. D’aucuns vont même jusqu’à affirmer que la RDC n’existe pas comme Etat et prétendre le contraire est la source de la crise congolaise qui dure depuis Mobutu.
Comment ramener la République Démocratique du Congo sous le contrôle des citoyens congolais ?
Un photographe de Kirumba pense qu’il faut une solidarité agissante à l’égard des blessés et de leurs dependants. Mécontent du fait que Beni-Lubero Online recense seulement les martyrs (morts) mais pas les blessés qui ont plus besoin de publicité en vue d’une prise en charge consequente, un photographe de Kirumba a envoyé pour publication quelques images des blessés du Sud de Lubero. Le « femmecide », un mot qui veut dire génocide des femmes par la violence sexuelle, les viols massifs, et les mutilations des organes génitaux féminins, est la forme actuelle de la guerre d’agression et d’occupation que mènent le Rwanda et l’Ouganda en R.D. Congo. Pour créer l’espace vital aux colonies de peuplement, les agresseurs détruisent la maternité des femmes qui non seulement ne peuvent plus mettre au monde mais sont déjà socialement mortes.
La Fondation Benilubero ne peut rester indifférente à cette tragédie congolaise. Les dons reçus pour cette cause totalisent à ce jour un montant de 350 US$ pour couvrir les besoins nutritionnels et de santé de deux victimes du « femmecide ». Cette contribution si petite soit-elle a été envoyé à deux victimes identifiées par les correspondants de Beni-Lubero du Sud-Kivu, notamment Mr. Justin Kabanga du CAMPS (Centre d’Assistance Médico-Psychosociale). Par ce geste fait notamment à Mme Masembe Christine (50 ans) et Nabunani Munganga (22 ans), les amis de Beni-Lubero veulent démontrer que pour combattre et vaincre les « femmecideurs », on a besoin de tout un chacun, de tout congolais, de toute congolaise, de toute personne de bonne volonté. . L’histoire de ces deux mamans congolaises est révoltante et ne peut laisser personne indifférente!
Les amis de la Fondation Benilubero qui voudraient contribuer à la prise en charge de nos deux mamans Masembe Christine et Nabunani Munganga, peuvent nous envoyer leur contribution par le canal de notre compte paypal que vous trouvez sur le menu principal de votre site www.benilubero.com, avec mention : Don aux victimes du femmecide! C’est une véritable leçon de Non-violence que les Yira (Nande) sont entrain de donner aux vagues des Hutu qui passent actuellement par Beni-Lubero pour l’ITURI où ils iraient chercher des champs pour l’agriculture et l’élevage.
Le 17 janvier 2016 : 22 Hutu en route pour la Province de l’Ituri sont interceptés par la population à Kanyabayonga, au Sud du Territoire de Lubero. Ces voyageurs Hutu sont aussitôt remis aux agents de sécurité de la place. Le lendemain, le Comité de Sécurité de Kanyabayonga annoncera sa décision de les renvoyer en territoire de Masisi qu’ils avaient cité comme lieu de leur provenance.
Les 23 Hutu interceptes a Lubero
Le 20 janvier 2016 : La population de la cité de Lubero ainsi que la police interceptent un camion FUSO transportant 23 Hutu (six hommes, quatre femmes et treize enfants de cinq ans à neuf mois) et les remet à la Police. Ils détiennent tous des feuilles de route dûment signées par le secrétaire de la chefferie de Bwito, Territoire de Rutshuru. Selon la feuille de route, leur destination est CHABI, Territoire d’Irumu, Province de l’Ituri. Le lendemain, le Comité de Sécurité de Lubero déclarera à la radio que ces 23 Hutu allaient retourner au lieu de leur provenance, à savoir, le territoire de Rutshuru.
Le 22 janvier 2016 : 33 Hutu (en comptant les bébés) sont interceptés par la population en ville de Butembo avec bagages. Interrogés sur le motif de leur présence en ville de Butembo, ils ont répondu qu’ils étaient en route pour BOGA, Territoire d’Irumu, en Province Orientale. Eux aussi furent remis entre les mains des services de sécurité de la place. i
Pourquoi ces voyageurs Hutu choisissent-ils la période des massacres des Nande dans la région pour emprunter la route Goma-Bunia redoutée localement comme « Vusendo » c’est-à-dire lieu de la mort ou de glissade certaine vers la mort ? Pourquoi ces Hutu risquent-elles la vie de leurs enfants pour les engager sur cette route de la mort ? Sont-ils au courant de la situation du Kivu-Ituri pour émigrer en Ituri par Beni-Lubero en ce moment.

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