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Affichage des articles du décembre 14, 2016

À ces jours les phytothérapeutes accusés, de contribuer au tatouage surtout, les jeunes garçons, qui préconisent leurs enregistrement dans la régron de Beni, en République Démocratique du Congo, en proie des massacres des civils ce dernier temp. Ils ont arrêté la décision, jeudi 08 décembre 2016, au cours d’une réunion tenue à Beni. Des dizaines de féticheurs et des tradi-praticiens étaient réunis autour du chef urbain de la culture et des arts. Cette activité était placée dans le cadre de la campagne de lutte contre le tatouage lancée en octobre dernier par le gouverneur du Nord-Kivu. Objectif ; étudier les modalités de mettre fin à cette pratique. Les participants ont unanimement arrêtés des grandes décisions parmi lesquelles l’enregistrement de tous les guérisseurs traditionnels et phytothérapeutes, ceci pour prévenir les arrestations arbitraires dont ils sont victimes ce dernier temps de la part des services de sécurité. Territoire de Beni : «la frontière de Kasindi est poreuse», reconnait le responsable de la police « Notre frontière est poreuse», a déclaré vendredi dernier le commissaire supérieur principal Jean Pierre WUMBI, commandant de la police nationale congolaise en territoire de Beni à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée le 09 décembre de chaque année. Il a reconnu que des nombreux cas de corruption sont toujours enregistrés au poste frontalier de KASINDI, en territoire de Beni frontalier avec l’Ouganda. Mais la police essaie de faire face à cette situation et traduire les auteurs devant la justice.«Les auteurs de cette pratique sont régulièrement arrêtés et amenés devant la justice. C’est ça le rôle de [l’escron] de la police de frontalière, (une unité spécialisée de la police nationale congolaise)», a-t-il rassuré. Ce responsable de la police note par ailleurs que la corruption ne peut être réduite simplement à l’argent. Elle revêt plusieurs dimensions parmi elles le trafic d’influence. L’administrateur du territoire de Nyiragongo révèle que les 519 rebelles sud-soudanais cantonnés à MUNIGI dans le camp militaire indien exige d’être rapatriés endéans une semaine. L’AT AUGUSTIN KAZADI EBONDO l’a dit après une réunion avec le chef de bureau MONUSCO/Nord-Kivu, DANIEL RUIZ et après sa toute première visite dans le cantonnement de ces sud-soudanais avec lesquels il a échangé. Ces sud-soudanais exigent d’être rapatriés exacerbés par les menaces de la population qui a intercepté un camion qui transportait 17 parmi eux qui revenaient des soins à l’hôpital de la MONUSCO au centre-ville de GOMA. L’année 2016 n’a pas été de tout repos pour l’armée congolaise dans la 34e région militaire. 69 criminels ont été identifiés dont 57 arrêtés avec 39 armées à feu récupérées. C’est le bilan révélé ce lundi par le commandant intérimaire de la 34e région militaire, le Général FRANCOIS KAMANZI. Avec ce fichier des criminels identifiés, le Général FRANCOIS KAMANZI dit être maintenant capable de donner des réponses à beaucoup de crimes opérés dans la ville de Goma toute cette année 2016. Par la même occasion le commandant ad-intérim a présenté à la presse deux bandits mains-armées venus du Sud-Kivu, MURONGOZI MUNAZI et JANVIER MULUMUDESHWA qui opéraient en complicité avec un officier de la 33e région militaire de MINOVA en fuite. Le colonel VAN KASONGO se félicite de l’opération de traque des MAIBOBO et autres jeunes délinquants qui tracassent la population à Goma. au cours de la parade hebdomadaire de la police de tous les lundis, il a profité d’une question des journalistes pour rappeler que les mouvements citoyens la LUCHA et FILIMBI n’ont pas droit de cité à Goma conformément à la lettre-recommandation du vice-premier ministre et ministre de l’intérieur EVARISTE BOSHAB. Il est dans ces propos recueillis par notre confrère, JAMES KISUBI.

Deux véhicules endommagés est activité momentanément paralysée. Bilan des actes de vandalisme perpétrer par KIRENGO qui accuse la justice de lenteur et n'est rien faire il ya deux ans sans suite depuis qu'il avait déposer sa plainte contre certains agents de la Monusco d'après ses dires ;qui lui avaient ses deux dents. par mis les véhicules casses celui du procureur près le TGI-BENI ce mardi 12 décembre 2016 : La population menace d’interdire tout mouvement des camions de la Monusco pour trois jours à partir de ce lundi dans le territoire de Nyiragongo. Elle veut ainsi protester contre la présence des rebelles Sud-Soudanais cantonnés dans un camp de militaires indiens dans a Munigi. Précisons que le chef de bureau de la Monusco Nord-Kivu, Daniel Ruiz a bien dit sur Kivu1 vendredi que ces 17 Sud-Soudanais interceptés par la population, revenaient des soins au centre ville de Goma. Ils sont du groupe de 519 internés à dans le Nyiragongo depuis plus de quatre mois. Une réunion

Découverte macabre des ossements de Mr Kakule Meso dans le matin du mardi 12 décembre 2016, à kithevya kalongo village situés à 6km dans la partie Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo : en colère un groupe de famille éprouvé, se sont rendu sur le lieu, pour constanté, la disparition de leurs frère tué, dernièrement, les les inciviques des ADF ! Et après, les os ont été mis en terre sur place, d'où, celui ci, a été décapité de plus, àla machette, le jour d'incursion des rébélles érangers présent dépuis plus de 25 ans, dans la région de Beni signalons ici bas que, pauvre Kakule était l'une des personnes qui étaient, pris en otage par les rebeles ougandais du groupe des ADF-NALU lors de leurs dernière attaque meurtrière dans ce village, il ya un mois ! Selon nos source il s'agit des ossement d'un certain pripa ancien acteur dela radio moto skech, les neufs autres personnes n'a leurs dernieres nouvelles. La fois passé, une attaque des rébélles du Adf-Nalu été signalé à Kithevya en térritoire de Beni : Face à cette situation, les habitants d'Oicha ont été paniqués de plus après une nouvel incursion des rébélles des Adf-Nalu, dans l'après midi de ce lundi 31 octobre 2016, vers Kithevya une localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : au dernier nouvel la radio Moto Oicha nous informe que, les Adf ont pillés tout les biens de valeur qui se trouvaient dans le centre de santé dela place, et des médicaments aussi, ont été emportés, par les rébélles, ce qui a poussés des civils à majorité des hommes, femmes, et des enfants, en débandande de part et d'autres ! Beaucoup des gens ont abandonnés, leurs maisons d'habitation craignant d'être victimes des rébélles qui cherchent toujours à faire finir les gens dans toute partie du térritoire de Beni de plus ! La République Démocratique du Congo est un pays déchiré par plusieurs guerres importées entremêlées aux phénomènes qui maintiennent la population dans la pauvreté extrême suite à l’insécurité entretenue au quotidien contre des millions de Congolais. Pour un pays engagé dans une transition post-conflit avec un coût humain extrêmement élevés les défis sont énormes la restauration d’un niveau acceptable de la sécurité humaine est l’un de ces défis. Dans la plupart des provinces de l’Est de la RDC, plus particulièrement en territoire de Beni, la population continue à souffrir de l’insécurité permanente des violations de droits humains et des exactions de toute forme. Pour pallier à cette situation, l’ONGDH/CRDH s’est engagée fermement, mais se heurte aux défis de poursuite, des menaces par des services de sécurité ANR et des autorités politiques et militaires, les insuffisances des moyens matériels pour le reportage et le suivi des activités sur terrain. C’est ainsi que la CRDH tend la main aux personnes de bonne volonté de l’appuyer financièrement et antérieurement pour qu’elle soit efficace sur terrain.

Des assassinats de religieux musulmans inexpliqués. Outre les tensions liées aux velléités indépendantistes à l’Ouest du pays, l’Ouganda est confrontée à une étrange vague d’assassinats depuis l’année 2012. C’est la minorité musulmane qui est ciblée. À la fin du mois de novembre dernier, le Major Muhammed Kiggundu et son garde du corps étaient froidement abattus dans la banlieue de Kampala. Treizième leader musulman tué en Ouganda depuis 2012, le religieux avait déjà échappé à deux tentatives de meurtre par le passé, mais sera finalement tombé sous les balles de mystérieux assassins, comme de nombreuses personnalités musulmanes avant lui. Chaque fois, c’est le même mode opératoire qui est observé : en moto, deux tueurs interviennent de préférence en début de soirée, mais aussi parfois en plein jour, s’arrêtent près du véhicule de leur victime sur laquelle ils tirent deux à cinq balles avant de prendre la fuite. D’autres imams ont même été abattus à leur domicile sous les yeux de leurs