À ces jours les phytothérapeutes accusés, de contribuer au tatouage surtout, les jeunes garçons, qui préconisent leurs enregistrement dans la régron de Beni, en République Démocratique du Congo, en proie des massacres des civils ce dernier temp. Ils ont arrêté la décision, jeudi 08 décembre 2016, au cours d’une réunion tenue à Beni. Des dizaines de féticheurs et des tradi-praticiens étaient réunis autour du chef urbain de la culture et des arts. Cette activité était placée dans le cadre de la campagne de lutte contre le tatouage lancée en octobre dernier par le gouverneur du Nord-Kivu. Objectif ; étudier les modalités de mettre fin à cette pratique. Les participants ont unanimement arrêtés des grandes décisions parmi lesquelles l’enregistrement de tous les guérisseurs traditionnels et phytothérapeutes, ceci pour prévenir les arrestations arbitraires dont ils sont victimes ce dernier temps de la part des services de sécurité. Territoire de Beni : «la frontière de Kasindi est poreuse», reconnait le responsable de la police « Notre frontière est poreuse», a déclaré vendredi dernier le commissaire supérieur principal Jean Pierre WUMBI, commandant de la police nationale congolaise en territoire de Beni à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption célébrée le 09 décembre de chaque année. Il a reconnu que des nombreux cas de corruption sont toujours enregistrés au poste frontalier de KASINDI, en territoire de Beni frontalier avec l’Ouganda. Mais la police essaie de faire face à cette situation et traduire les auteurs devant la justice.«Les auteurs de cette pratique sont régulièrement arrêtés et amenés devant la justice. C’est ça le rôle de [l’escron] de la police de frontalière, (une unité spécialisée de la police nationale congolaise)», a-t-il rassuré. Ce responsable de la police note par ailleurs que la corruption ne peut être réduite simplement à l’argent. Elle revêt plusieurs dimensions parmi elles le trafic d’influence. L’administrateur du territoire de Nyiragongo révèle que les 519 rebelles sud-soudanais cantonnés à MUNIGI dans le camp militaire indien exige d’être rapatriés endéans une semaine. L’AT AUGUSTIN KAZADI EBONDO l’a dit après une réunion avec le chef de bureau MONUSCO/Nord-Kivu, DANIEL RUIZ et après sa toute première visite dans le cantonnement de ces sud-soudanais avec lesquels il a échangé. Ces sud-soudanais exigent d’être rapatriés exacerbés par les menaces de la population qui a intercepté un camion qui transportait 17 parmi eux qui revenaient des soins à l’hôpital de la MONUSCO au centre-ville de GOMA. L’année 2016 n’a pas été de tout repos pour l’armée congolaise dans la 34e région militaire. 69 criminels ont été identifiés dont 57 arrêtés avec 39 armées à feu récupérées. C’est le bilan révélé ce lundi par le commandant intérimaire de la 34e région militaire, le Général FRANCOIS KAMANZI. Avec ce fichier des criminels identifiés, le Général FRANCOIS KAMANZI dit être maintenant capable de donner des réponses à beaucoup de crimes opérés dans la ville de Goma toute cette année 2016. Par la même occasion le commandant ad-intérim a présenté à la presse deux bandits mains-armées venus du Sud-Kivu, MURONGOZI MUNAZI et JANVIER MULUMUDESHWA qui opéraient en complicité avec un officier de la 33e région militaire de MINOVA en fuite. Le colonel VAN KASONGO se félicite de l’opération de traque des MAIBOBO et autres jeunes délinquants qui tracassent la population à Goma. au cours de la parade hebdomadaire de la police de tous les lundis, il a profité d’une question des journalistes pour rappeler que les mouvements citoyens la LUCHA et FILIMBI n’ont pas droit de cité à Goma conformément à la lettre-recommandation du vice-premier ministre et ministre de l’intérieur EVARISTE BOSHAB. Il est dans ces propos recueillis par notre confrère, JAMES KISUBI.

Deux véhicules endommagés est activité momentanément paralysée. Bilan des actes de vandalisme perpétrer par KIRENGO qui accuse la justice de lenteur et n'est rien faire il ya deux ans sans suite depuis qu'il avait déposer sa plainte contre certains agents de la Monusco d'après ses dires ;qui lui avaient ses deux dents. par mis les véhicules casses celui du procureur près le TGI-BENI ce mardi 12 décembre 2016 : La population menace d’interdire tout mouvement des camions de la Monusco pour trois jours à partir de ce lundi dans le territoire de Nyiragongo. Elle veut ainsi protester contre la présence des rebelles Sud-Soudanais cantonnés dans un camp de militaires indiens dans a Munigi. Précisons que le chef de bureau de la Monusco Nord-Kivu, Daniel Ruiz a bien dit sur Kivu1 vendredi que ces 17 Sud-Soudanais interceptés par la population, revenaient des soins au centre ville de Goma. Ils sont du groupe de 519 internés à dans le Nyiragongo depuis plus de quatre mois. Une réunion avec certains représentants de la population de Nyiragongo, l’administrateur et la societe civile est prévue ce lundi au bureau de la Monusco afin de résorber cette crise d’incompréhension et de soupçons. Un membre de la société civile de Nyiragongo confirme cette nouvelle en parlant d’un probable plan de retrait de ces Sud-Soudanais ! En Ville de Butembo : La société civile se prononce sur des questions socio-sécuritaires de l’heure ! La force citoyenne de Butembo dénonce par ailleurs les incursions menées dans des écoles ainsi que dans des églises. La société civile invite par conséquent les acteurs politiques à éviter tout amalgame entre les populations civiles et les groupes de combattants. Une façon pour la société civile de dénoncer toute intention faisant croire que tout Butembo est constitué des mai-mai. « Des jeunes sont abusivement arrêtés à Bulengera et à Mususa et sont assimilés aux mai-mai »,peut-on retenir dans cette déclaration. Face à tous ces cas d’insécurité, la société civile recommande aux autorités de redoubler d’efforts pour sécuriser les personnes et leurs biens mais aussi de protéger ceux qui dénoncent les suspects. Aux autorités judiciaires, d’initier des enquêtes pour dénicher et punir les auteurs civiles, policiers et militaires impliqué dans des cas de vol, viol ou de cambriolage.
Aux services de sécurité, la société civile demande d’accomplir leur mission sans tracasser les populations civiles et de réagir en temps aux alertes. Aux habitants de Butembo, la société civile demande de ne pas céder à la violence et à la rumeur, mais aussi de respecter les biens publics. Les motards et étudiants sont appelés à ne pas céder aux manipulations politiciennes à l’approche de la date du 19 décembre. Certains les confondent aux adeptes d’une secte, d’autres les assimilent à un groupe de mai-mai qui voudraient combattre les génocidaires de Beni. Cette réparation des groupes armés dans plusieurs zones entourant Butembo plonge la population dans une incertitude craignant que des affrontements éclatent entre ces porteurs d’armes et l’armée loyaliste. La société civile condamne les cas de vol, de viols et d’exactions qui de fois sont commis même par des éléments censés sécuriser la population. Dans une déclaration parvenue à la rédaction de Radio Moto Butembo-Beni, la société civile se dit préoccupée par la situation socio-sécuritaire qui prévaut à Butembo et environs. Interrogeant la présence des groupes armés qui réapparaissent aux alentours de Butembo, les forces vives tirent la sonnette d’alarme notamment sur la présence autour du Mont Carmel des personnes dont la vraie identité n’est pas connue. Des dizaines de policiers
quittent clandestinementleurs
postes depuis quelques
semaines dans le territoire de
Beni. Il s’agit essentiellement
des policiers déployés en
septembre dernier, en renfort
dans certains villages en proie
aux massacres des présumés
ADF, a fait savoir lundi 11
décembre l’ONG Centre
d’études pour la promotion de
la paix, la démocratie et les
droits de l’homme (CEPADHO).
L’administrateur du territoire
de Beni parle d’une situation
inquiétante dans la zone.
Pour l’ONG CEPADHO, les
policiers qui ont quitté
clandestinementleurs positions
étaient déployés dans les
localités d’Eringeti et Mayi
Moya et dans la commune
rurale d’Oïcha, chef-lieu du
territoire de Beni. Ils
déplorent le non-paiement de
leur solde et le manque de
leur prise en charge par le
Gouvernement.
Selon cette organisation de
défense des droits de
l’homme, ces policiers
abandonnent leurs positions
pour retourner à Goma, leur
ancien lieu d’affectation.
L’administrateur de Beni, Amisi
Kalonda, confirme ces
informations et parle de trente
policiers ayant déjà quitté leurs
positions ! Difficile de croire encore dans cette situation, d'où un policier nouvellement affécté, à ERINGETI, dans le groupement de Bambubha-Kisiki a tiré sur son collegue dans la nuit, du mardi au mercredi, 14 décembre 2016 car celui ci l'a repprochez, de l'abandon de poste.

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