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Affichage des articles du mars 9, 2016

Un groupe des gens, des hommes escrocquent, l' argent des quelques habitants d' Oicha et Mbau au nom des ONG pour s'proprier des vivres et non vivres dépuis le début del' année 2016 ; Selon une source proche dela population de cette parti de Beni térritoire, il y a bien un groupe des civiles faux Humanitaires qui demandent 500fc par ménages en trompant nos mamans, papa, et nos frères pour l'enregistrement. Soulignons ici bas, que l'assistance humanitaire est totalement gratuite. D'après une source locale, les habitants demandent l'implication des autorités dela place pour mètre la main sur ce réseau. Selon un communiqué des ONG, agence de Beni Ville, les personnes qui se considèrent comme des humanitaires sont des escrots, qui veulent troubler la vie social dela population. Pour eux avant une serie des distributions, les déplacées doivent être informer par la presse. La même source ajouter qu', ils sont là pour les déplacées ainsi que 25000 personnes se trouvant le long de la route reliant Eringeti à Beni.

À vraie dire ces hommes escrots des sectes d’illusion se font passer pour des modèles d'hommes et appellent d’autres gens à se joindre à eux.« Je suis dans la lumière, mobilisez-vous pour la croisade qui démarre ce vendredi, ce jusqu’à dimanche prochain, il y aura des miracles pour tout le monde »,disait l’un des meneurs des sectes d’illusion sur un plateau de télévision.Or les miracles divins ne se proclament pas d’avance, ils sont une surprise pour ceux qui les vivent. Ils sont une volonté de Dieu et non de l’humain. C’est de l’escroquerie pure et simple. Car nombre de ceux qui se proclament « envoyés de Dieu » considèrent le religieux comme un tremplin pour pouvoir arriver à leurs buts qui contrastent avec la chose divine Dans une de nos agglomérations, quelqu’un qui passait pour un apôtre et un vrai moralisateur et qui prenait en « otage » des plateaux de télévision avait fini par être destructeur d’un foyer conjugal et s’est illustré par des actes d’escroquerie et inhumains,

Internet au service de fonction publique en Rdc: Acquisition de matériel informatique classique pour la modernisation du site web de la Fonction Publique. REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA FONCTION PUBLIQUE PROJET DE REFORME ET DE RAJEUNISSEMENT DE L'ADMINISTRATION PUBLIQUE (PRRAP) Avis d’Appel d’Offres National (AA0N) relatif à l'acquisition de matériel informatique classique pour la modernisation du site web de la Fonction Publique AON n° 004/CMRAP/PRRAP/COORDO/EPM/03/2016 1. Cet Avis d’appel d’offres fait suite à l’Avis Général de Passation des Marchés paru sur le site internet de dg market en date du 02 avril 2014, 2. Le Gouvernement de la République Démocratique du Congoa reçuun don del’Association Internationale pour le Développementpour financerle Projet de Réforme et de Rajeunissement de l'Administration Publique,et à l’intention d’utiliser une partie de ce don pour effectuer des paiements au titre du Marché de l'acquisition de matériel informatique classique pour la modernisation du site web de la Fonction Publique.

Le Projet de Réforme et de Rajeunissement de l'Administration Publique en sigle PRRAP sollicite des offres fermées de la part de soumissionnaires éligibles et répondant aux qualifications requises pour fournir les rouleaux de 305 m de câble UTP cat 6e, les onduleurs de 650 VA, des Stabilisateurs 1.500w, des Goulottes, des prises RJ45 et leur installation. *. La passation du Marché sera conduite par Appel d‘offres national (AON) tel que défini dans les «Directives : passation des marchés financés par les Prêts de la BIRD et les Crédits et Dons de l‘AID »,et ouvert à tous les soumissionnaires de pays éligibles tels que définis dans les Directives de janvier 2011. *. Administration publique d’excellence ont été dispensés par des prestataires de haut niveau, recrutés Les soumissionnaires éligibles et intéressés peuvent obtenir des informations auprès de Projet de Réforme et de Rajeunissement de l'Administration Publique et prendre connaissance des documents d’Appel d’offres

L’Opposition dite « Front du peuple » sollicite la relaxation de l’activiste Christopher Ngoy et le retour au pays de Roger Lumbala. Le « Front du peuple » devra encore patienter pendant quelque 15 jours avant d’être fixé par le vice-premier ministre chargé de l’Intérieur et de la sécurité. C’est hier lundi 7 mars que le coordonateur de cette plate-forme de l’Opposition et sa délégation ont sollicité la relaxation de l’activiste Christopher Ngoy et le retour au pays de Roger Lumbala « sans lesquels les Alliés d’Etienne Tshisekedi ne sauront pas être en ordre utile de bataille pour le Dialogue » en perspective. C’était au ministère de l’Intérieur, Evariste Boshab et le groupe conduit par Lisanga Bonganga ont passé plusieurs heures « sous une très bonne ambiance pour parler du Congo et du peuple congolais ». Deux sujets majeurs ont caractérisé les échanges, à savoir : le cas de l’activiste Christopher Ngoy toujours détenu au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK).

A la table des discussions, Lisanga Bonganga a brandit aussi le dossier lié à l’arrestation de certains membres de l’UDPS arrêtés au mois de janvier 2015 et récemment encore, le 16 février dernier, à l’occasion de la Journée ville morte initiée par l’Opposition. Pour le « Front du peuple », « l’absence de ces joueurs devant prester dans leurs rangs pour les enjeux politiques à venir ne semble pas les motiver à poursuivre ou à s’engager dans le processus électoral ». De l’avis de Lisanga Bonganga et consorts, la poursuite du processus électoral et la tenue du dialogue, comme d’ailleurs souhaité par Evariste Boshab, passe aussi et surtout par la relaxation des personnes citées ci-dessous y compris les autres acteurs politiques « qui croupissent dans les geôles de services de la sécurité ». Il s’agit, entre autres, d’Eugène Diomi Ngongala…
 Evariste Boshab n’a pas fait la sourde d’oreille face aux préoccupations soulevées par ces acteurs politiques de l’Opposition. Le ministre de l’Inté

LA RDC DANS L’IMPASSE POLITIQUE ? A scruter de près la situation sociopolitique de la RDC à l’aube de 2016, censée être une année de la fin du deuxième et dernier mandat présidentiel de Joseph Kabila, on note que le pays est dans une impasse pas de calendrier électoral ; pas d’argent pour financer le cycle complet des élections; le clivage politique est à son comble; risque d’affrontement entre forces politiques; faiblesse des institutions de la République; réduction des droits et des libertés des personnes; le programme quinquennal du gouvernement ne devrait être atteint qu’à 60 % ; l’insécurité persiste dans la partie Est du pays. Comme si cela ne suffisait pas, Kinshasa est en froid avec la communauté internationale. Tous ces éléments mis ensemble placent la RDC dans une incertitude. Seul face à son bilan Quelle que soit l’incertitude qui plane sur 2016, cette année reste celle du bilan du chef de l’Etat de son deuxième et dernier mandat constitutionnel. Il est le seul qui devra défendre son bilan devant le peuple.

LES HAUTS FAITS DU RAÏS Arrivé au pouvoir le 26 janvier 2001, Joseph Kabila a promis de s’investir dans la pacification et la réunification de la RDC. Il a accepté la tenue du dialogue inter congolais de Sun City alors qu’il n’en était pas l’initiateur. Bien plus, le Raïs a accepté les résolutions du dialogue inter congolais, notamment le partage de son pouvoir avec 4 vice-présidents de la République dans une transition de 2003 à 2006. Un acte d’humilité qui sera salué dans l’histoire politique de la RDC. Durant les 5 premières années de son règne, Joseph Kabila a su maitriser des situations plus catastrophiques que celles que la RDC vit maintenant. Il a convaincu les partenaires extérieurs dans la reprise de la coopération structurelle avec les institutions de Bretton Woods. Et l’économie du pays a connu une croissance continue pendant plus de dix ans. Il a pu organiser, par deux fois, les élections démocratiques en RDC, même si elles ont été entachées d’irrégularités. En 2006,

Génocide au nord ouest du térritoire de Beni : Selon une source d' un journaliste dela radio muungano basé à OICHA, nous signale que, deux corps sans vie des personnes victime des massacres dans la nuit, du 29 février à 01 mars 2016, ont étaient découvert par les militaires du 312e bataillon en patroui le lundi dans cette parti du Sécteur de Beni-Mbau, à l' ouest dela localité de MAY-MOYA. Soulignons ici bas que ces deux corps des civiles en putréfaction étaient, avec des traces de hache, où on les enterré sur place le mardi 08 mars 2016 à MAPINI tout près des trois localités, à savoir Mambabiyo, Ntombi, et Babaota dans les quels, les rébélles du groupe des Adf-Nalu, ont attaqué avec une série de carnage, vol, pillage contre les habitants de cette contrée ce jour là la cible des hommes armée minue des manchettes, couteaux, marteaux et des armes à feu. Cela a poussé les gens de cette contrée dan un climat des tensions et le déplacement, massif dela populations en majorité, des hommes, femmes et des enfants.

JUSTICE INTERNATIONALE: selon Jean Paul Ngahangondi le président nationale d'une ong crdh, Le Procureur de la Cour Pénale Internationale ( CPI) a d'accusé la réception de son rapport pubier fin Septembre 2015 par l'Organisation de défense des droits humais "Convention pour le respect des droits de l'homme" CRDH en sigle. Dans ce rapport de 16 pages intitulé < MASSACRES DE LA POPULATION DE BENI VILLE ET TERRITOIRE, COMPLOT BIEN ORCHESTRER>, votre Organisation avait demandé au Procureur de la CPI d'ouvir les enquêtes internationalesindépendantes pour identifier les vrais auteurs , leurs complices et les bénéficiaires ultimes de cette campagne de tueries. Les arrêter, les traduire en justice et le faire condamner. Compte tenu du manque de crédibilité des autorités Congolaises nous avions demandés l'implication personelle de la CPI et il vient d'accuser reception du rapport tout en ressurant à votre Organisation qu'un travail vient de commenc