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Affichage des articles du février 6, 2016

RDC OICHA DOSSIER MOTO-CHARETTE UNE NOUVEL CHARRETE VA ÊTRE RAMENER À OICHA POUR REPLACER L'ANCIEN ENGIN ACHETÉ PAR KAMBALE LEWI SALIBOKO PRÉSIDENT DELA SOCIÉTÉ CIVILE D' OICHA, ET SON COLBORATEUR LE RÉV PASTEUR MAKASI. Le jeudi 04 février 2016 l' administrateur du térritoire, de Beni à Oïcha a réuni toute composantes dela société civile dans son office de travail pour debatre sur l'affaire d'un engin roulant qui a jusque présent fait coulé beaucoup d'encre et des salive. Dans cette rencontre les participans présent ont éxigé à mr Lewis Saliboko et son pasteur d'acheter une nouvel moto à un prix abordable pour les habitants d'Oicha. Foute qu'oi ils doivent remettre sans conditions cette argent au main de d' autres composante dela société civile d' Oicha, doit se rencontrer encore de nouveau pour discuter ensemble sur le projet communautaire en faveur dela population d' Oicha. Donc pour toute les couches dela forces vive, cette nouvel moto charette doit être vue aujourd' hui samedi le 05 février del' année en cours cela doit mieux prévenir aussi la vie sociale des paysans pour un développement, et intérêt communautaire de Base. Selon une source dela Radio Moto, implanté à Oicha, l' OPJ de la PNC dela place va accompagner les 2 acheteurs à Butembo pour que le vendeur remette une moto neuve au profit des toute population dela commune rurale d' Oicha. Soulignons que, le président de la société civile d’Oicha a détourne 3 000 dollars destinés à la population. Cette somme a été donnée à la population d’Oicha par l’ONG PAP-RDC comme récompense pour son hospitalité en faveur des déplacés de guerre. La société-civile locale et une commission dénommé CASH COMMUNAUTAIRE ont utilisé cet agent, sans consulter la communauté, en achetant une moto-charrette. Pour Lewis Saliboko président des forces vives d’Oicha, l’acquisition de cet engin va pallier le problème de la salubrité dans la ville. Cependant, le programmes d’Action pour l’assainissement et le développement PAAD, une structure privée à qui la gestion de cet engin a été confiée, se réserve de l’utiliser parce que, selon son coordonnateur, cette moto risque de causer des dégâts humains si elle n’est pas soumise à un entretien approfondie. Cette situation alimente déjà la polémique à travers la ville ; des nombreux habitants d’Oicha exigent la restitution de l’argent ayant servi à l’achat de cet engin ; une somme d’environ 3 mille dollars américains. «C’est une moto de couleur rouge en forme d’une charrette. Elle est dépourvue de plusieurs pièces dont les bandes du système de freinage appellent communément bande en frein, le boitier de démarrage et les autres vices de connexion ; Bref, c’est un engin en ciel ouvert», nous a décrit monsieur KATEMBO VITSANGE, superviseur du programme d’action pour l’assainissement et le développement pour qui la gestion de cet engin a été confiée. D’autres vont même plus loi jusqu’à exiger à la société civile et à cette commission dénommée CASH COMMUNAUTAIRE de restituer cette argent dont la somme est déjà connue de tous 3 mille dollars. D’abord, selon eux, parce que ce n’était pas un besoin pour la communauté ; ensuite parce que l’engin lui-même laisse à désirer. Contacter à ce sujet, les nombres du comité d’accompagnement de la société civile, le quel comité a été doté du mandat d’organiser les élections des nouveaux animateurs de la société civile, noyau d’Oicha, ont avoué qu’ils n’ont pas été associé à cette initiative vis-à-vis déplacés, l’ONG PAR-RDC a offert 3 mille dollars à la communauté locale dans le cadre de son projet d’urgence d’Assistance aux déplacés du territoire de Beni. Détournement des fonds publics des parquets généraux vont ouvrir des enquêtes en travers la République Démocratique du Congo, une source à Radio Okapi, Près de 15 milliards de dollars dus au trésor public sont détournés chaque année en RDC, selon le cabinet du Conseiller spécial du Président Kabila chargé de la lutte contre la corruption, le terrorisme et le blanchiment des capitaux. En réponse à la première dénonciation de détournement de fonds publics envoyée au parquet, l’avocat général de la Republique Xavier Bilolo a déclaré mercredi que la justice a ouvert des enquêtes et l’instruction reste secrète. «La justice n’est pas à confondre avec le droit public qui est politique. Elle a des procédures et techniques qu’elle respecte. La justice n’est pas une salle de théâtre», a déclaré l’avocat général. Réagissant mardi au rapport de l’ONG Transparency International qui classe la RDC au 147e rang sur 168 pays, selon l’indice de corruption, le conseiller principal de Luzolo Bambi, conseiller spécial du chef de l’Etat chargé de la lutte contre la corruption, a déclaré que son cabinet ne dispose pas de moyens pour faire face efficacement contre la corruption. Il a par ailleurs confirmé le chiffre de 15 milliards de dollars qui seraient détournés chaque année dans le pays. «Il est plus facile pour un homme politique de faire des déclarations.

Corruption les parlementaires africains pour la protection des dénonciateurs le Réseau des parlementaires africains contre la corruption appelle à la mise en place des mécanismes de signalement et de plainte publique des cas de corruption. Cette association de députés et sénateurs africains estiment également qu’il faut protéger les personnes dénoncent les cas de corruption. Ces mécanismes permettraient, selon ces parlementaires, de lutter efficacement contre la corruption. Ils ont formulé cette recommandation mercredi 9 décembre lors d’un séminaire de cette association au Palais du peuple à Kinshasa. Un séminaire organisé à l’ occasion de la 10e journée internationale de lutte contre la corruption. Pour le député congolais Jean-Baptiste Kumassamba, des lois anti-corruption existent. Mais il faudrait les mettre en application pour lutter efficacement contre la corruption. Des lois existent. C’est dans leur application que le problème se pose. Lorsque nous voyons l’appréciation des in