RDC OICHA DOSSIER MOTO-CHARETTE UNE NOUVEL CHARRETE VA ÊTRE RAMENER À OICHA POUR REPLACER L'ANCIEN ENGIN ACHETÉ PAR KAMBALE LEWI SALIBOKO PRÉSIDENT DELA SOCIÉTÉ CIVILE D' OICHA, ET SON COLBORATEUR LE RÉV PASTEUR MAKASI. Le jeudi 04 février 2016 l' administrateur du térritoire, de Beni à Oïcha a réuni toute composantes dela société civile dans son office de travail pour debatre sur l'affaire d'un engin roulant qui a jusque présent fait coulé beaucoup d'encre et des salive. Dans cette rencontre les participans présent ont éxigé à mr Lewis Saliboko et son pasteur d'acheter une nouvel moto à un prix abordable pour les habitants d'Oicha. Foute qu'oi ils doivent remettre sans conditions cette argent au main de d' autres composante dela société civile d' Oicha, doit se rencontrer encore de nouveau pour discuter ensemble sur le projet communautaire en faveur dela population d' Oicha. Donc pour toute les couches dela forces vive, cette nouvel moto charette doit être vue aujourd' hui samedi le 05 février del' année en cours cela doit mieux prévenir aussi la vie sociale des paysans pour un développement, et intérêt communautaire de Base. Selon une source dela Radio Moto, implanté à Oicha, l' OPJ de la PNC dela place va accompagner les 2 acheteurs à Butembo pour que le vendeur remette une moto neuve au profit des toute population dela commune rurale d' Oicha. Soulignons que, le président de la société civile d’Oicha a détourne 3 000 dollars destinés à la population. Cette somme a été donnée à la population d’Oicha par l’ONG PAP-RDC comme récompense pour son hospitalité en faveur des déplacés de guerre. La société-civile locale et une commission dénommé CASH COMMUNAUTAIRE ont utilisé cet agent, sans consulter la communauté, en achetant une moto-charrette. Pour Lewis Saliboko président des forces vives d’Oicha, l’acquisition de cet engin va pallier le problème de la salubrité dans la ville. Cependant, le programmes d’Action pour l’assainissement et le développement PAAD, une structure privée à qui la gestion de cet engin a été confiée, se réserve de l’utiliser parce que, selon son coordonnateur, cette moto risque de causer des dégâts humains si elle n’est pas soumise à un entretien approfondie. Cette situation alimente déjà la polémique à travers la ville ; des nombreux habitants d’Oicha exigent la restitution de l’argent ayant servi à l’achat de cet engin ; une somme d’environ 3 mille dollars américains. «C’est une moto de couleur rouge en forme d’une charrette. Elle est dépourvue de plusieurs pièces dont les bandes du système de freinage appellent communément bande en frein, le boitier de démarrage et les autres vices de connexion ; Bref, c’est un engin en ciel ouvert», nous a décrit monsieur KATEMBO VITSANGE, superviseur du programme d’action pour l’assainissement et le développement pour qui la gestion de cet engin a été confiée. D’autres vont même plus loi jusqu’à exiger à la société civile et à cette commission dénommée CASH COMMUNAUTAIRE de restituer cette argent dont la somme est déjà connue de tous 3 mille dollars. D’abord, selon eux, parce que ce n’était pas un besoin pour la communauté ; ensuite parce que l’engin lui-même laisse à désirer. Contacter à ce sujet, les nombres du comité d’accompagnement de la société civile, le quel comité a été doté du mandat d’organiser les élections des nouveaux animateurs de la société civile, noyau d’Oicha, ont avoué qu’ils n’ont pas été associé à cette initiative vis-à-vis déplacés, l’ONG PAR-RDC a offert 3 mille dollars à la communauté locale dans le cadre de son projet d’urgence d’Assistance aux déplacés du territoire de Beni. Détournement des fonds publics des parquets généraux vont ouvrir des enquêtes en travers la République Démocratique du Congo, une source à Radio Okapi, Près de 15 milliards de dollars dus au trésor public sont détournés chaque année en RDC, selon le cabinet du Conseiller spécial du Président Kabila chargé de la lutte contre la corruption, le terrorisme et le blanchiment des capitaux. En réponse à la première dénonciation de détournement de fonds publics envoyée au parquet, l’avocat général de la Republique Xavier Bilolo a déclaré mercredi que la justice a ouvert des enquêtes et l’instruction reste secrète. «La justice n’est pas à confondre avec le droit public qui est politique. Elle a des procédures et techniques qu’elle respecte. La justice n’est pas une salle de théâtre», a déclaré l’avocat général. Réagissant mardi au rapport de l’ONG Transparency International qui classe la RDC au 147e rang sur 168 pays, selon l’indice de corruption, le conseiller principal de Luzolo Bambi, conseiller spécial du chef de l’Etat chargé de la lutte contre la corruption, a déclaré que son cabinet ne dispose pas de moyens pour faire face efficacement contre la corruption. Il a par ailleurs confirmé le chiffre de 15 milliards de dollars qui seraient détournés chaque année dans le pays. «Il est plus facile pour un homme politique de faire des déclarations.

Corruption les parlementaires africains pour la protection des dénonciateurs le Réseau des parlementaires africains contre la corruption appelle à la mise en place des mécanismes de signalement et de plainte publique des cas de corruption. Cette association de députés et sénateurs africains estiment également qu’il faut protéger les personnes dénoncent les cas de corruption. Ces mécanismes permettraient, selon ces parlementaires, de lutter efficacement contre la corruption.
Ils ont formulé cette recommandation mercredi 9 décembre lors d’un séminaire de cette association au Palais du peuple à Kinshasa. Un séminaire organisé à l’ occasion de la 10e journée internationale de lutte contre la corruption.
Pour le député congolais Jean-Baptiste Kumassamba, des lois anti-corruption existent. Mais il faudrait les mettre en application pour lutter efficacement contre la corruption. Des lois existent. C’est dans leur application que le problème se pose. Lorsque nous voyons l’appréciation des instances internationales, notre pays est toujours mal côté en ce qui concerne la corruption, affirme-t-il.
Il estime, en outre, qu’il est nécessaire que le peuple participe à la lutte contre la corruption.
« Un autre problème, c’est de dire au peuple qu’il a la responsabilité de dénoncer le corrompu et le corrupteur. Et nous avons souhaité vivement qu’il y ait une loi qui protège les dénonciateurs », souligne le député.
Dans le rapport sur la corruptionpublié fin 2014 par Transparency International, la RDC occupe la 154e place sur 174 pays du monde. Le pays avait occupé la même place l'année précédente.
«La corruption doit être vigoureusement combattue»
La corruption est inacceptable et les principes de la transparence, de la responsabilité et de la bonne gouvernance doivent prévaloir, a déclaré pour sa part, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la corruption.
Instaurée par les Nations unies en 2003, cette journée vise à sensibiliser les Etats membres à agir pour mettre fin à ce fléau.
Dans son message, Ban Ki-moon indique que le temps est révolu où la corruption, le trafic d’influence et les flux financiers. Il est plus facile pour un homme politique de faire des déclarations. Mais la mise en œuvre d’une telle déclaration lorsqu’elle confiée aux techniciens demande une procédure et cette procédure que l’auteur de cette déclaration connait très bien puisque c’est un technicien aussi, est secrète, explique l’avocat général Xavier Bilolo. Il invite Luzolo Bambi à faciliter les enquêtes de la justice en étayant son rapport des éléments constitutifs de preuves. Puisqu’on parle des chiffres en termes des milliards, ils sont sûrement logés quelque part. Et c’est lui qui est informé de ces détournements en sait plus que ce qu’il a déclaré. Mais pourquoi il garde certaines informations?, s’interroge Xavier Bilolo. Corruption la RDC classée 147e sur 168 pays par Transparency International. La RDC a gardé son rang dans le classement de Transparency International sur la corruption dans le monde. D’après le rapport 2015de cette organisation publié mercredi 27 janvier, le pays se classe 147e sur 168 pays avec un score de 22 comme en 2014.
Pour Transparency International, parmi les facteurs qui favorisent une baisse importante de la corruption on compte notamment le niveau élevé de liberté de la presse, l’accès aux informations budgétaires, le niveau élevé d’intégrité des personnes au pouvoir et un système judiciaire impartial.
Quant à la corruption, elle est favorisée par une mauvaise gouvernance, la faiblesse des institutions telles que la police et le système judiciaire et un manque d’indépendance des médias.
Lucas Olo Fernandes, coordonnateur régional Afrique centrale de Transparency International, recommande à la RDC de lutter contre l’impunité et de mettre en place des mécanismes de prévention.
« La lutte contre l’impunité [est] une des choses que la RDC devrait [s’attaquer] d’une manière très importante. Il y a aussi la partie de la prévention de la corruption, mettre des mécanismes de transparence qui vont faire en sorte qu’on n’arrive pas à des situations dans lesquelles l’argent disparaît directement », conseille-t-il.
Le député national Jean-Pierre Pasi Zapamba du Réseau national des parlementaires contre la corruption pense que la fin de l’impunité permettra de faire reculer la corruption.
« La corruption la plus dangereuse c’est celle des décideurs. Le jour où nous aurons un procès de quelqu’un qui est soupçonné de corruption, qu’on le juge, qu’on l’arrête, qu’on récupère les biens volés au profit du trésor public, vous allez vous rendre compte que la situation de la société va s’auto-régulariser », estime l’élu.
Dans le classement 2015 de Transparency International, la RDC a le score 22. Ce classement est largement dominé par les pays du Nord de l’Europe. Avec des scores proches de 90, le Danemark, la Finlande et la Suède constituent le trio de tête.

Commentaires