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Affichage des articles du mai 15, 2017

Sur la plus part des planètes et les exoplanètes «Habitable» pourraient, ne pas être très terribles après tout. Il faut plus de prudence pour décrire les exoplanètes nouvellement trouvées comme habitables compte tenu des limites des observations, les chercheurs l'ont averti. Et En comparant l'habitabilité de notre planète aux conditions sur les exoplanètes nouvellement découvertes, cependant, pourrait être trompeuse, selon les auteurs d'un commentaire dans la revue Nature Astronomy. Selon la même source des spécialistes du gouvernement américain chargés des études de notre Univers, ils font valoirque même si les scientifiques ont trouvé récemment, des centaines de planètes dans l'espace, de taille terrestre. Mais il n'y a pas de technologie disponible pour nous montrer, si leurs surfaces sont, à distance de la terre. L'auteur principal Elizabeth Tasker a déclaré que, la langue utilisée par la NASA et d'autres peut être «inutile et dangereuse», en ce sens, que le public pourrait avoir trop d'espoir que la vie existe sur ces autres planètes :

Mars et la Terre ont des histoires très différentes. Un exemple simple: la Terre est principalement couverte d'eau tandis que Mars a perdu son eau dans le passé lointain. Mais les scientifiques ont également su que les éléments sur Mars ont des isotopes différents, ou des masses atomiques, en particulier pour le chrome, le titane et l'oxygène. Un des moments les plus excitants de la science exoplanète s'est terminé fin février lorsque le Spitzer Space Telescope de la NASA a annoncé la découverte de sept planètes rocheuses en orbite dans ou près de la zone habitable de leur étoile mère, TRAPPIST-1, qui se trouve à 40 années-lumière de la Terre . "La découverte établit un nouveau record pour le plus grand nombre de planètes de zones habitables trouvées autour d'une seule étoile en dehors de notre système solaire", a déclaréla NASA dans un communiqué."Toutes ces sept planètes pourraient avoir de l'eau liquide - clé de la vie telle que nous la connaisson

Bientôt dix ans d'anniversaires après l' entrée du troupe d' AFDL à Kinshasa, dans l'ex Zaïre, ou les millitaires d' AFDL marchaient, sur Kinshasa, un certain 17 mai 1997, après la fuite du maréchal Mobutu Sese-Séko dans l'étrangers, africain : à partir de ce jour là, l'histoire dela règne de Mobutu, s'envol, jour au jour, même à nos jours : en cette même occasion, aujourd' hui, la plus part des gens en Rdcongo, pensent que, c'était le jour ou la population congolaise a été libérée, dela dictature d'ancien président dela République du Zaïre, appéllé aujourd' hui, la République Démocratique du Congo. " Dès l'aube du 17 mai 1997, la plus part des Kinois, enthousiastes accouraient, vers le troupe de Mze Kabila, avec du pain, des sachets d'eau, voire des seaux d'eau pour nous laver ", se rappelle Cédric Kabeya, alias Zimbabwe, fantassin ayant participé, à cette épopée l'année de ses 16 ans. Pendant la conquête, les troupes de l'AFDL, qui avait recruté à tour des bras des enfants et des adolescents, semblent avoir été précédées d'une réputation de discipline contrastant avec les Forces armées zaïroises (FAZ). "Nous nous accrochions plus avec des mercenaires blancs qu'avec des militaires ex-FAZ", raconte Zimbabwe, devenu électricien après sa démobilisation, en 1999. "La majorité des villes tombaient entre nos mains sans résistance de la part des hommes de Mobutu démoralisés et vomis par la population", se rappelle le général-major Jean-Claude Kifwa, aujourd'hui commandant de la deuxième zone de défense. il y a vingt ans, jour pour jour, en République Démocratique du Congo les Kinois s'offraient, au soldats, à majorité des rebelles de Laurent Désiré, Kabila père :

Mais l'Histoire est déjà écrite. Le 17, les troupes de l'AFDL et de nombreux militaires rwandais entrent dans Kinshasa. "Ils étaient très jeunes, sales, affamés, croulant sous le poids de leurs armes; sans réfléchir, nous leur avons offert boissons et nourriture", se souvient Chantal Kikalulu. Ce 17 mai 1997, fatiguée par trop de dictature, Kinshasa s'offre sans combat aux forces de Laurent-Désiré Kabila. La population en liesse les accueille aux cris de "Libérateurs !" et "Kabila nous t'attendons !" Le "Mzee" est alors à Lubumbashi, dans le Sud-Est, où il se proclame président de la République démocratique du Congo. Il arrivera le 20. La mise au pas de l'opposition, la présence encombrante des soldats ougandais et rwandais et la dérive rapide du pouvoir vers l'autoritarisme font vite oublier aux Kinois leurs enthousiasme. La population collaborait d'autant plus facilement qu'elle en avait "marre de se faire