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Affichage des articles du avril 7, 2017

Facebook lance son « Hello » Bonjour, Habari...... ! Depuis quelques années maintenant, Facebook est en perpétuelle évolution, avec une très nette accélération ces derniers mois. Ainsi, après la vidéo, Facebook a évidemment pioché du côté de chez Snapchat pour l’intégration de ses récentes Stories, sans oublier un Messenger qui évolue lui aussi à vitesse grand V, et une multitude de nouveautés et autres optimisations qui semblent se succéder chaque jour. Aujourd’hui, c’est un nouveau bouton qui fait son apparition sur le réseau, un bouton sobrement baptisé « Hello ». Ainsi, le réseau social propose chez certains utilisateurs un nouveau bouton, accessible directement depuis la page principal d’un autre utilisateur, ami ou non. Le bouton est situé directement à côté de Ajouter/Déjà Abonné, et permet d’un simple clic d’envoyer un « Hello » à la personne en question. À partir de la notification, le destinataire à la possibilité de visiter le profil de l’expéditeur, pour découvrir son profil, et de lui répondre via la messagerie :

Reste à savoir maintenant ce qui a réellement motivé Facebook à déployer ce nouveau bouton Hello, même si de nombreux utilisateurs s’accordent à penser que le réseau souhaiterait doucement glisser vers le « réseau de rencontres« , en facilitant ainsi la manière d’aborder des inconnus/ues. Pas sûr que tout le monde apprécie. Pour bien démarrer en tout cas, on vous conseille de tester ce nouveau bouton en faisant un petit « Hello » à Mark Zuckerberg, sur sa page Facebook. Juste comme ça. Facebook : un bouton « Hello » pour favoriser les rencontres Facebook déploie un tout nouveau bouton « Hello » sur son réseau, pour (notamment) faciliter la prise de contact avec des inconnus/ues. Les plus anciens se souviennent sans doute du fameux « Poke » Facebook, toujours accessible d’ailleurs, et cette fonction « Hello » semble destinée à faciliter les rencontres entre les utilisateurs qui ne sont pas encore unis par le moindre lien d’amitié Facebook. De cette manière, un utilisateur peut attirer

Nouvel incursion des miliciens Maï Maï est signalé en térritoire de Rutsuru, précisement, dans un village dela province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo, d'où la vie social dela population est en proie ce deernier temp des massacres, vols, incendies, viols, etc.... Les habitants de cet coin, sont en débandade selon un source locale dela place qui précise que, la vie de nombreux civils est en dangers, Nous venons d'apprendre que la localité de VUYINGA à 15 km de MUHANGI serait déjà encerclée par les mai mai nduma depuis la nuit du jeudi allant de celle de ce vendredi, toute cette nuit il y a eu tapage nocturne des coûts des fusils entre les hors la loi du groupe des Maï Maï Nduma et les combatans de Mazembe. Mais aucun bilan provisoire n'est presque disponible jusqu'à présent, cependant pas d'entrée et sortie en cité de VUYINGA tout le monde presque enfermé dans sa maison, d'après Jean Paul Paluku Ngahangondi, un membre dela société en térritoire de Beni qui nous a informé, dans un message sur son compte Facebook, le vendredi 07 avril 2017 :

Les Maï-Maï Nduma multiplient une seri d'attaques meurtrière, contre les habitants, en térritoire de Rutsuru. Situation sécuritaire Le territoire de Rutshuru est relativement calme depuis l’anéantissement des rebelles du M23, par l'armée congolaise appuyé par la Monusco. Néanmoins, quelques cas des pillages, kidnappings et tueries sont enregistrés dans certains milieux surtout sur des axes routiers. Ces actes de barbarie sont attribués aux rebelles hutu-rwandais (FDLR), aux maï-maï, et même aux jeunes de certains villages. Signalons aussi quelques problèmes de cohabitation entre les différentes tribus du territoire. À certains endroits du territoire, ceci amène parfois à des soulèvements qui occasionnent pillages, tueries, incendies, etc... La formation est l’un des secteurs les plus importants du développement rural du territoire de Rutshuru. Soient les villages possèdent une ou plusieurs écoles en leurs seins, soient ils sont proches des villages qui en possèdent. Cela re

Dans le térritoire de Rutshuru : Ce dernier temp on assiste de plus en plus à une montée d'un nouvel tension entre Nande et Hutu, précisement à KISHISHE, un village situé, dans la province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo. dans ce coin, on en enrégistrée déja 4 morts, au conté des civils ! Visiblement, la tension prend une allure inquiétante dans cette partie de Rusthuru. Si mardi ce sont les jeunes Nande qui ont inquiété les membres de la communauté Hutue à KISHISHE suite à la mort du taximan Dieu Merci, l’équation semble s’être renversée. En effet, des présumés miliciens NYATURA ont tué trois Nande et brûlé plusieurs maisons d’habitation appartenant aux Nande. Les faits se sont déroulés la nuit de mardi à mercredi 05 avril. Le bilan de cette tension a été si vite revu à la hausse. Pour le moment, on retient qu’au moins trois personnes ont été tuées et plus de 260 maisons d’habitation incendiées dans ce village du groupement de Bambo, en territoire de Rutshuru. Les personnes tuées sont des Nande et les maisons mises en feu appartiennent aussi aux Nande, aux Hutus et aux Hunde :

Bien au contraire, le conflit semble gagner les autres entités de la province, notamment le territoire de Rutshuru, où les deux communautés Nande et Hutu vivaient en harmonie avant le déclenchement des activités militaires sur le territoire congolais inaugurées par la guerre de 1996-1997 ayant mis fin au régime du feu Président Mobutu. Impatients de battre les Nande sur le plan numérique, les rwandophones n’ont pas trouvé mieux que de proposer le découpage de la Province du Nord-Kivu en deux provincettes. Les Nande sortiraient de ce plan avec la Province de Beni-Lubero-Walikale et les Hutu s’accapareraient de Rutshuru, Goma et Masisi. Mais la réalité est que les Nande sont toujours majoritaires en territoire de Rutshuru où ils tiennent en mains le secteur économique et agricole. Les cités comme Kiwanja, Rubare, Nyamilima, Kinyandoni, Kisharo, Buramba, Ishasha, Vitshumbi, Kibirizi, etc. sont en majorité Nande. A KISHISHE, toutes les activités sont encore restées paralysée

En ces jours difficile de savoir ce qui se passe en République Démocratique du Congo, concérnant situation politique d'où, le président Joséph Kabila Kabange serait il sur la trace de Mobutu Sese-seseko ? Ce dernier temp, l'histoire est tellement têtu, selon un membre dela société civile en térritoire de Beni, dans la province du N/Kivu : il se répète de MOBUTU à KABILA côté mobutu listes de premier ministre lorsque rien n'est marché 1 . MULUMBA LUKOJI du 30 mars au 27 juillet soit 3 mois 27 jour 2 . TSHISEKEDI du 1 novembre 91 au 15 août 92 soit 11 mois 3 . MUNGUL DIAKA du 23 octobre au 25 novembre 91 soit 1 mois et 2 jour 4 . Birindwa du 20 mars 93 au 16 juin 94 soit 14 mois et 16 jour 5 . Tshisekedi du 2 avril 97 au 9 avril 97 soit 7 jour 6. Likulia du 9 avril 97 au 16 mai 97 soit 1 mois et 7 jour maintenant comment était la fin de celui qui se surnommé MARÉCHAL SESESEKO ? Côté KABILA 1. Samy badibanga du 19 déc 2016 au 7 avril 2017 soit 3 mois et 21 jours 2. Monsieur X du 07 avril au 10 déc 2017 soit 9 mois est 3 jour est maintenant quel sera la fin de kabila? Car on connaît se de Mobutu :

La démission de Samy Badibanga est cependant attendue, depuis l’annonce du chef de l’Etat le mercredi dernier de la nomination impérative d’un nouveau Premier ministre, avant 48H. Alors Samy Badibanga n’a pas encore déposé, sa démission. « Badibanga a été avec le président de la République, pour une rencontre de travail. Il n’avait pas été question de sa démission. Il devra être reçu encore dans la soirée mais on ne sait pas si c’est pour qu’il dépose sa démission ou pas », a déclaré, un membre du cabinet de la Primature. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, n’a pas non plus confirmé la démission effective du Premier ministre sortant. Il a par ailleurs signalé qu’une autre rencontre entre le chef de l’Etat et Samy Badibanga aura lieu dans la soirée. En écoutant le président de la république, il faudra encore que les deux chambres, l’assemblée nationale et le sénat, adoptent une loi sur la répartition des sièges pour les élections législatives. JOSEPH KABILA a évoqué aussi