En ces jours difficile de savoir ce qui se passe en République Démocratique du Congo, concérnant situation politique d'où, le président Joséph Kabila Kabange serait il sur la trace de Mobutu Sese-seseko ? Ce dernier temp, l'histoire est tellement têtu, selon un membre dela société civile en térritoire de Beni, dans la province du N/Kivu : il se répète de MOBUTU à KABILA côté mobutu listes de premier ministre lorsque rien n'est marché 1 . MULUMBA LUKOJI du 30 mars au 27 juillet soit 3 mois 27 jour 2 . TSHISEKEDI du 1 novembre 91 au 15 août 92 soit 11 mois 3 . MUNGUL DIAKA du 23 octobre au 25 novembre 91 soit 1 mois et 2 jour 4 . Birindwa du 20 mars 93 au 16 juin 94 soit 14 mois et 16 jour 5 . Tshisekedi du 2 avril 97 au 9 avril 97 soit 7 jour 6. Likulia du 9 avril 97 au 16 mai 97 soit 1 mois et 7 jour maintenant comment était la fin de celui qui se surnommé MARÉCHAL SESESEKO ? Côté KABILA 1. Samy badibanga du 19 déc 2016 au 7 avril 2017 soit 3 mois et 21 jours 2. Monsieur X du 07 avril au 10 déc 2017 soit 9 mois est 3 jour est maintenant quel sera la fin de kabila? Car on connaît se de Mobutu :

La démission de Samy Badibanga est cependant attendue, depuis l’annonce du chef de l’Etat le mercredi dernier de la nomination impérative d’un nouveau Premier ministre, avant 48H. Alors Samy Badibanga n’a pas encore déposé, sa démission.
« Badibanga a été avec le président de la République, pour une rencontre de travail. Il n’avait pas été question de sa démission. Il devra être reçu encore dans la soirée mais on ne sait pas si c’est pour qu’il dépose sa démission ou pas », a déclaré, un membre du cabinet de la Primature. Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, n’a pas non plus confirmé la démission effective du Premier ministre sortant. Il a par ailleurs signalé qu’une autre rencontre entre le chef de l’Etat et Samy Badibanga aura lieu dans la soirée.
En écoutant le président de la république, il faudra encore que les deux chambres, l’assemblée nationale et le sénat, adoptent une loi sur la répartition des sièges pour les élections législatives. JOSEPH KABILA a évoqué aussi les accords du 18 octobre 2016 et celui de la SAINT SYLVESTRE qui parle des séquences des élections qui prévoit l’organisation des élections présidentielleset législatives au même moment. Evoquant le financement des élections, le président de la république a dit que ce processus est une œuvre des congolais financée par les congolais eux-mêmes. Mais déjà, le président de la CENI, avait déjà précisé le mardi 21 février 2017 que les élections couteront 1 milliard 333 millions de dollars étalés sur trois ans, et rien que le processus d’enrôlement coutera jusqu’à 400 millions de dollars. Aussi les élections combinées présidentielles, législatives nationales et législatives provinciales couteront 580, 526 millions de dollars. Tandis que les scrutins urbains, municipaux et locaux en troisième et dernière partie du budget couteront 385 millions de dollars. Ainsi en écoutant le discours du président de la république mercredi, le gouvernement a déjà financé seulement avec 300 millions, le défi reste donc grand qu’il faudra relever pour la crédibilité de ce qu’il a appelé la souveraineté du pay.
Dans les procès des ADF en Ville de Beni : La défense réclame la comparution du Gouverneur Julien Paluku comme renseignant
L’autorité provinciale pourra, si la demande est accordée, éclaircir la Cour sur le moment de la reddition du colonel David Lusenge après le dialogue social ténu à OICHA. Le colonel David Lusenge est poursuivi par le ministère public pour avoir gardé une cache d'armes dans son champ à NDAMA dans la chefferie des Watalinga après sa reddition.
Cependant, la défense et le ministère public semblent avoir des confusions sur la date à la quelle il avait fait une déclaration aux journalistes de GOMA juste après sa reddition. Visiblement, le ministère public insiste sur ce point pour essayer de prouver à la Cour qu’à l'époque où David Lusenge se trouvait en brousse, il avait avec lui les trois prêtres kidnappés.
Dans le même dossier, les deux officiers congolais sont dans la ligne de mire du ministère public à BENI. Le Général-Major TIMOTHEE MUKUTU a requis la peine de mort et 10 à 20 ans de prison ferme pour 7 prévenus ADF et leurs complices. Ils sont poursuivis entre autres pour participation à un mouvement insurrectionnel et incitation des militaires à commettre des actes contraires au code militaire. Dans ce réquisitoire du ministère public, un ADF de nationalité tanzanienne pourra bénéficier des circonstances atténuantes et 20 ans de prison ont été requis à son encontre pour association des malfaiteurs.
Rutshuru : La société civile de Bwito condamne les crimes consécutifs aux tensions entre Nande et Hutus à Kishishe
Une quinzaine des maisons ont incendiées la nuit de mercredi à Kishishe et à Bambo. Ces maisons incendiées s’ajoutent à d’autres qui l’avaient été la veille dans ce meme groupement de Bambo forçant nombreux habitants de Kishishe à vider leur village. Les uns on fui vers Kibirizi et les autres vers Bambo centre.
Ce jeudi 06 avril dans l’avant-midi, le noyau de la société civile de la chefferie de Bwito a condamné cette insécurité tout en formulant aussi des recommandations pour la restauration de la stabilité dans cette partie du territoire de Rutshuru. La société civile de Bwito condamne en substance les meurtres, prises d’otage, incendies et autres actes criminels. Elle invite les membres de différentes communautés à dire la vérité en décrivant avec exactitude les faits tels qu’ils se sont déroulés, d’éviter d’incriminer les innocents. Aux groupes armés, de se battre entre eux et laisser libre les paisibles citoyens qui perdent leurs vies le plus souvent sans savoir pourquoi.
À OICHA : Pour concrétiser, la modernisation de la modernité prônée, par le chef de l'État Joseph Kabila Kabange, l'honorable Kambale Musemo, a construit, un pont sur la rivière Maisololo au chef lieu du térritoire de Beni, pendant ses vacances parlementaires, avec un notable du milieu, est allé visiter, l'oeuvre est remercie l'honorable.

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