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Affichage des articles du mai 8, 2017

"La protection planétairen' a jamais été aussi, importante à considérer", a déclaré Andrew Maynard, chercheur au Laboratoire d'innovation en risque de l'Université de l'Arizona, qui a dirigé la discussion. Le 15 septembre2017, le vaisseau spatial Cassini de la NASA se suicideradans Saturne pour éviter de contaminer les lunes potentiellement habitables de la planète anneau, Titan et Enceladus. Le sort de Cassini est lié à la question de la protection planétaire, qui se réfère aux mesures que les scientifiques et les ingénieurs prennent pour minimiser les chances que les formes de vie de la Terre arrivent à d'autres mondes. Et avec le rover Mars 2020 dela NASA qui prévoit de cacher des échantillons pour retourner un jour aux laboratoires de la Terre, la protection planétaire signifie également s'assurer que notre propre monde est à l'abri de la contamination par une éventuelle vie extraterrestre :

Les scientifiques des États-Unies d'Amérique ont longtemps, débattu des meilleures façons de minimiser la menace de contaminer d'autres mondes avec la vie terrestre - ou vice versa - tout en poursuivant des objectifs d'exploration agressifs. En citant le retour de l'échantillon deMars, une mission àvenir sur la lune Europa de Jupiter et les éventuellessondes futures qui pourraient visiter d'autres satellites glacés, Maynard a engagé le public de scientifiques avec l'intention déclarée de changer la façon dont ils pensent au processus.Maynard, qui n'est pas un astrobiologiste, mais un physicien, a attiré l'attention de la salle sur des études sur l'évaluation des risques, incitant les chercheurs à considérer le risque comme quelque chose à éviter, mais plutôt comme «un paysage complexe à parcourir pour atteindre les objectifs». Avant que les habitants de la NASA Viking 1et Viking 2 aient été envoyés à Mars pour chasser pour la vie, ils ont été stéril

Au Nord-Kivu en République Démocratique du Congo, une coalition des inciviques miliciens FDLR-Nyatura armés, a attaqué tôt ce lundi 8 mai 2017, une des positions des millitaires FARDC, à Kahe (groupement Bishusha) à Kitshanga dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu). Selon les témoignages des habitants, le bilan provisoire fait état de deux militaires tués et un civil blessé. «Les FDLR coalisées aux miliciens Nyatura en provenance du Parc ont attaqué la position des FARDC à Kahe. L’attaque a commencé à 2 heures jusqu’à 5 heures du matin. En ce moment les tirs ont cessé, les militaires ont abandonné leur position. Comme bilan provisoire, ce matin nous avons vu les corps de deux militaires tués et un civil blessé. Les assaillants ont pillé les munitions dans deux dépôts de l’armée. Ils (assaillants) sont partis mais ne sont pas loin, ils sont proches d’ici. Les civils n’ont pas fui car c’était la nuit, ils sont restés dans leurs maisons même celui que nous avons vu blessé, a attrapé une balle dans sa maison :

« Effectivement, une de nos positions a été attaquée à Kitshanga par une coalition FDLR-Nyatura et nous avons perdu deux de nos éléments. «Parler d’une faible présence de l’armée c’est trop dur. Ce qui amène à la victoire c’est plutôt cette collaboration entre l’armée et la population. Je vous dis qu’il s’agit d’une coalition FDLR-Nyatura qui a attaqué une position de l’armée. Je demande plus de collaboration. La population doit avoir confiance en son armée de manière à nous permettre de bien faire notre travail. Ce n’est pas question d’effectif», a conclu le Major Ndjike, également porte-parole de l’opération Sokola 2 au Nord-Kivu. L’attaque est arrivée mais nous avons quand même pris toutes les précautions pour que pareil cas n’arrive. Il faut savoir qu’actuellement nous sommes beaucoup concentrés dans le Parc mais qu’à cela ne tienne, toutes les mesures sont en train d’être prises pour que pareil cas n’arrive plus», a indiqué le Major Guillaume Ndjike Kaiko, porte-parole de la 34ème