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Affichage des articles du février 10, 2017

Le décret signé le 27 janvier interdisait l'accès aux Etats-Unis pour trois mois aux ressortissants de sept pays musulmans et pour quatre mois aux réfugiés. Une interdiction illimitée dans le temps pour les Syriens. "RENDEZ-VOUS AU TRIBUNAL, LA SECURITE DE NOTRE NATION EST EN JEU!", a tweeté le président américain. La justice a infligé un camouflet à Donald Trump en maintenant la suspension de son décret très controversé limitant l'immigration, le président américain promettant de poursuivre la bataille judiciaire pour défendre sa mesure emblématique. L'appel du gouvernement est "rejeté", ont écrit jeudi les trois juges de la courd'appel de San Francisco dans leur décision prise à l'unanimité, insistant sur la nécessité de protéger "l'intérêt général". Le gouvernement n'a pas démontré que le maintien de la suspension du décretse traduirait par de graves atteintes à la sécurité des Etats-Unis, ont-ils conclu :

La justice a infligé un camouflet à Donald Trump en maintenant la suspension de son décret très controversé limitant l'immigration, le président américain promettant de poursuivre la bataille judiciaire pour défendre sa mesure emblématique. Le président américain Donald Trump a essuyé jeudi un puissant camouflet lorsqu'une cour d'appel a décidé à l'unanimité de maintenir la suspension de son décret anti-immigration très controversé. Décret migratoire: la justice inflige un nouveau camouflet à Trump ! Mais le président américain a rapidement promis de poursuivre la bataille judiciaire. Voici les faits marquants de sa journée: - Bataille judiciaire - Côté républicains, le sénateur Tom Cotton a de nouveau martelé que le décret du président Trump est "complètement légal" et a qualifié de "malavisée" la position d'une cour d'appel "notoirement à gauche", dont les décisions sont selon lui fréquemment "cassées par la Cour Suprême&q

Des robes personnalisées avec les données des clientes ? C'est la proposition de Google qui vient de tisser un partenariat avec H&M (et sa ligne Ivyrevel). Déplacements, sorties, météo, activité physique, l'ensemble des données analysées permet de créer un profil personnalisé. En conséquence, la robe proposée sera plus ou moins sophistiquée. Motifs, coupes et tissus devraient varier en fonction de l'analyse des données. Pour ce faire une application mobile Android collecte diverses données et les transmet via une API nommée Awareness API. L'analyse de ces données permet de réaliser un vêtement qui répond aux particularités des clientes, et ce pour 100 € environ :

Google et H&M se lancent dans la robe personnalisée avec vos données. Technologie : pour ce faire une application mobile Android collecte diverses données et les transmet via une API nommée Awareness API. L'analyse de ces données permet de réaliser un vêtement qui répond aux particularités des clientes, et ce pour 100 € environ. Malgré cette rationalisation, le groupe n’en a pas fini avec la diversification. En octobre 2016, la marque a dévoilé au cours d’un même événement deux nouveaux produits dans le domaine du hardware, dont un nouveau téléphone haut de gamme appelé à rivaliseravec les équivalents de Appleet de Samsung. Google a aussi lancé Home, un assistant contrôlable par la voix, destiné à commanderde multiples fonctions à domicile : mettrede la musique, actionnerdes appareils connectés, accéderà des services Google… Une réponse au succès du Echo d’Amazon lancé deux ans plus tôt. La firme de Moutain View investit aussi massivement dans le cloud (stockage de données dé

Des hommes armés, ont attaqués dans la soirée du jeudi 9 février 2017 le centre d’enrôlement des électeurs Institut Nyamilima 2 dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu) causant la mort d’un policier. Des sources dans la région identifient les assaillants comme des Maï-Maï. «C’était hier vers 19 heures, les Maï-Maï ont attaqué le centre d’enrôlement des électeurs situé à l’Institut 2 Nyamilima. On ne sait pas d’où ils étaient venus. Ils ont tiré des balles dans tous les sens. Les policiers qui assuraient la garde ont aussi répondu par des tirs et les assaillants ont fui. Ils n’ont rien emporté. Un policier est mort, un autre s’est sauvé. Pour le moment nous sommes au lieu du deuil. L’opération d’enrôlement est suspendue et pourra recommencer demain», a dit à ACTUALITE.CD un commis audit du centre d’enrôlement :

Durant ces décennies de conflits, il a côtoyé, des jeunes désœuvrés, ou des miliciens sanguinaires, des officiers disciplinés ou des chefs de guerre trafiquants de minerais. Ainsi qu’un certain Joseph Kabila, devenu chef d’Etat succédant à son père assassiné en 2001 et toujours au pouvoir malgré la fin de son mandat le 19 décembre 2016. « Un type cool, même s’il parlait très peu et avait du mal à communiquer. Mais il n’était pas un mauvais stratège militaire », se souvient Lewis qui se considère comme un « patriote ». C’est ainsi qu’il nomme ces jeunes du coin qui, comme lui, ont sacrifié leur vie pour protéger les terres fertiles et les forêts du Nord-Kivu, que tant de civils et de militaires des pays voisins ont convoitées. Rite initiatique Comme certains de ses camarades de combat, il a accepté de rendre une partie de ses armes. C’était il y a deux ans, dans le cadre du processus de démobilisation des combattants. Et en novembre 2016, Lewis est rentré dans son village de Bweraman

Le chef de la diplomatie congolaise est arrivé ce vendredi à Bruxelles en Belgique sur invitation du gouvernement belge. Cette mission de Léonard She Okitundu est axé principalement sur la coopération bilatérale sans exclure l’organisation des obsèques d’ÉtienneTshisekedi. « Il s’agit d’une mission officielle, le vice-premier ministre She Okitundu a quitté le pays hier soir pour Bruxelles, il y arrive ce matin. Il répond à l’invitation de son homologue Didier Renderys sur les relations bilatérales entre nos deux pays, c’est ça l’objet principal de la mission », a déclaré à ACTUALITE.CD le ministre Lambert Mende :

Face à cet obstacle, ce dernier, également délégué de la société civile aux discussions du centre interdiocésain a sollicité des sanctions individuelles de la part de l’ONU. « C’est pourquoi, je demande à la Communauté internationale en général et au Conseil de sécurité des Nations-unies en particulier d’ en tirer des conséquences immédiates par l’imposition des sanctions individuelles à l’encontre des officiels qui, par leurs discours ou déclarations, bloquent en réalité la mise en œuvre de l’accord et l’application des mesures de décrispation, entretiennent la crise politique qui entraîne les violations graves des droits de l’homme, et compromettent toute chance d’organiser les élections en 2017 et le retour de la paix et sécurité en RDC ainsi que dans la région des Grands Lacs », a martelé Kapiamba. Jeudi 9 février dans la soirée. Le porte-parole du gouvernement Lambert Mende, a mis en garde le secrétaire général intérimaire de la CENCO eu égard à ses déclarations au sujet de l’ac

Mardi 07 février 2017 dans la soiré, après des discussions avec la famille et le parti de M. Tshisekedi sur l'organisation des obsèques, M. Mende déclare à la télévision nationale que l’État met à disposition le Parlement "comme lieu d'exposition de la dépouille pour [...] les hommages officiels et populaires". M. Mende, annonce également la mise à disposition par l’État - "à la demande de la famille" - de billets d'avion pour Bruxelles pour un certain nombre de cadres de l'UDPS ou de parents du défunt. - 'Mausolée au centre-ville' - Mercredi, l'UDPS se fend d'une "mise au point" dans laquelle elle dit être "très indignée par [un tel] comportement récupérateur du régime en place face au deuil du président Étienne Tshisekedi". Seules "les familles biologique et politique du défunt" sont habilitées à organiser les obsèques, ajoute le parti, "ipso facto, l'UDPS n'est pas intéressée par l'offre des titres de voyage faite par l'actuel gouvernement" :

La prise en charge des frais funéraires de M. Tshisékédi incombe à ce nouveau gouvernement prévu par l'accord du 31 décembre 2016. Le parti d'Etienne Tshisekedi exige aussi l'érection d'un mausolée pour l'opposant historique décédé en Belgique la semaine dernière. Pour sa part, le camp du président Joseph Kabila a annoncé vouloir organiser "des funérailles dignes" du Premier ministre que fut Tshisekedi vers année 1990 : L'organisation des obsèques de l'opposant congolais Étienne Tshisekedi à Kinshasa se complique et prend un tour polémique après une succession d'exigences présentées par son parti et jugées "inadmissibles" par le gouvernement de la République démocratique du Congo. Opposant à tous les pouvoirs depuis 1980, Tshisekedi est mort le 1er février à Bruxelles à 84 ans. Lundi, le retour de sa dépouille avait été annoncé pour la fin de la semaine. Mais le parti de Tshisekedi, l'Union pour la démocratie et le progrès soc

Les équipes d’Egypte et du Cameroun sont désormais deux des trois sélections africaines les mieux placées au classement mensuel de la Fédération internationale de football (FIFA). Classement Fifa: Egypte et Cameroun propulsés par la CAN 2017 ; Les deux finalistes de la CAN 2017 sont 23e et 33e, tandis que le Sénégal (31e), la Tunisie (36e) et la RD Congo (37e) complètent ce top 5 continental du Classement FIFA. La Fédération internationale de football (FIFA) a dévoilé le Classement FIFA du mois de février, quatre jours après la fin de la Coupe d’Afrique des nations(CAN 2017). Les équipes qui ont brillé durant cette CAN 2017 en profitent pour effectuer un bon spectaculaire par rapport au mois de janvier. Le grand bond des « Lions » du Cameroun L’Egypte, finaliste malheureuse de la CAN 2017, est désormais la sélection africaine la mieux placée, avec le 23e rang (+12). Le Cameroun, néo-champion d’Afrique, est 33e (+29), juste derrière le Sénégal (31e, +2) :

Les Lions indomptables, champions de la Coupe d'Afrique des Nations, ont été reçus mercredi 8 février au palais présidentiel par le président Paul Biya. Dans la matinée, le président Paul Biya a accueilli les joueurs de l'équipe nationale camerounaise de football pendant une heure. La cérémonie a démarré par la présentation de ce 5e trophée au chef d'Etat et à son épouse, Chantal Biya. Dans son discours, le président Biya a exprimé ses félicitations les plus chaleureuses aux Lions indomptables. Il a rappelé que l’équipe nationale féminine, en arrivant en finale de la précédente CAN, avait placé la barre très haut. Et les footballeurs camerounais ont relevé le défi. Après avoir été reçus, ce mercredi 8 février, au palais présidentiel par le président Paul Biya, les Lions indomptables, champions d’Afrique de football 2017, ont parcouru dans l’après-midi les sept arrondissements de Yaoundé sur une distance de 50 kilomètres, pour présenter ce cinquième trophée aux populations

Le discours à la Nation du président sud-africain, sous pression d'appels de l'opposition à démissionner, a donné lieu jeudi à une bagarre générale suite à l'expulsion violente de députés qui tentaient d'empêcher Jacob Zuma de s'exprimer. Afrique du Sud: chaos au Parlement pour le discours de Zuma. Une trentaine d'agents de sécurité ont été envoyés pour faire sortir de force les députés d'opposition du parti de gauche radicale des Combattants pour la liberté économique (EFF) et ont échangé des coups avec les élus. Pendant plus d'une heure, ces derniers, vêtus de leurs traditionnelles combinaisons rouges de mineurs et de femme de ménage, avaient interrompu le président Zuma, estimant qu'il n'était pas légitime pour s'exprimer car il a violé la Constitution :

Le chef de l’État a précisé que seuls 9,8% des terres cultivables du pays appartenaient à des Noirs, plus de 20 ans après la fin de l'apartheid. "Après vingt-deux ans de démocratie, la majorité des Noirs n'ont toujours aucun pouvoir économique (...) et ne sont pas satisfaits", a-t-il constaté. C'est la troisième année consécutive que le discours à la Nation de M. Zuma est perturbé par des députés EFF. En 2015, ils avaient déjà été expulsés par les agents de sécurité aidés par des policiers, tandis que l'an dernier ils avaient quitté d'eux mêmes l'assemblée en chantant des slogans hostiles au chef de l’État. Cette année, le discours de Jacob Zuma s'est tenu sous haute sécurité avec le déploiement de 441 soldats en renfort des forces de police pour "maintenir l'ordre et la loi" aux abords du Parlement. Selon Daniel Silke, analyste indépendant interrogé par l'AFP, ce déploiement sécuritaire montre "la nervosité avec laquell

Après avoir condamné, dernièrement, à mort les imams de Butembo, Hamza Baguma et Djibril Muhindo, la cour millitaire opérationnelle de Beni-Butembo, a entendu, le vendredi, 09 février 2017, un nouveau religieux musulman, l’imam Ongala Baruani, de Kisangani. Beni-Ville : les procès des complices des massacres dans la région de Beni se poursuivent juscqu' à ce jours précisement, dans l'Est dela République Démocratique du Congo, au Nord-Kivu : Ainsi, l’imam Ongala Baruani de Kisangani à son tour accusé de recrutement pour les ADF :

Dépuis l’automne 2016, une vague d’arrestations et de condamnations frappe les élites musulmanes de l’Est du pays, soupçonnées de connivence avec les présumés-ADF. Si les imams Shaykh Nuru Djamanda de Butembo et Idrissa Muzzammil de Goma ont été libérés et mis hors de cause après des semaines d’incarcération, Hamza Baguma et Djibril Muhindo ont eux été condamnés à mort avant d’être transférés, le mois dernier, à Lisala, dans l’ex-province de l’Equateur. Cela fait un peu plus d’un mois que l’imam de Kisangani a été arrêté et transféré à Beni. Accusé par le ministère public d’agir en tant que recruteur pour les présumés-islamistes des ADF, Shaykh Ongala Baruani a comparu dans le cadre du procès des rebelles auteurs présumés des massacres à Beni et Lubero depuis plus de deux ans. Il a été sommé par le lieutenant-général Mukutu Kiyana de répondre aux accusations de recrutement de jeunes hommes musulmans à qui il fournissait des« feuilles de route »pour rallier le territoire de Beni sans ê

Des sources des forces vives dans la chefferie de BASHU au Sud du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo, ont alertés que, les habitants de KATANDA se sont rendu, une justice populaire, dans la journée du mercredi, 08 février 2017. Selon la même source, un groupe des habitants civils, ont brûlé vif un certain KAZUNGU. Celui-ci est soupçonné d’être parmi les auteurs de l’incursion de mardi 7 Février à KASANZI et MITIMILI :

En effet, 7 personnes ont été kidnappés, 66 chèvres emportés, et deux maisons, incendiées par des bandits armés à Kasanzi, en chefferie des Bashu ! Ces dégâts ont été enregistrés au cours d’une incursion des hommes armés et habillés en tenue civile mardi 7 Février 2017 dans les villages KASANZI et MITIMILI en groupement ISALE-BULAMBO. Certaines victimes sont venues se lamenter dans nos services. « Ils se son dirigés dans la ferme d’un opérateur économique qui est dans le graben près de la Rivière Mwalika. Nous appelons les autorités à faire leur travail car l’Etat a le devoir de protéger la population et ses biens. C’est pour cette raison que nous demandons aux autorités d’intervenir le plus tôt possible afin que ces gens qui ont fui rentrent dans leurs villages et que l’on retrouve les chèvres volées», se plaint une victime. À BENI-VILLE : BETRANE MOUSSA DJOUMA ABOUBAKAR le célèbre tchadien de Goma continue de comparaitre dans le dossier des ADF à BENI. Durant ses 33 ans passés à G