Articles

Affichage des articles du janvier 3, 2017

Nouveaux défis dans l'application de l'accord sur la fin du régime Kabila en République Démocratique du Congo ! L'accord consacrant la cogestion de la République démocratique du Congo entre la fin du mandat du président Joseph Kabila et l'élection de son successeur en principe à la fin de l'année suscite des interrogations sur sa mise en œuvre, deux jours à peine après sa signature. Les deux camps sont parvenus in extremis samedi à trouver un terrain d'entente après quinze jours de négociations, présentées comme de la dernière chance, sous l'égide des évêques catholiques de la RDC. Le compromis passé prévoit que M. Kabila, dont le mandat s'est achevé le 20 décembre et à qui la Constitution interdit de se représenter, restera en place pour une année supplémentaire :

Les acteurs politique ne sont pas sur le même ligne ! Lors de sa signature le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), Mgr Utembi, avait invité les parties à appliquer l'accord "de bonne foi", prenant à témoin le peuple congolais et des diplomates présents lors de la cérémonie dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Outre l'influente Eglise catholique, la communauté internationale fait pression de son côté. La Belgique, ancien pays colonisateur, a promis qu'elle "sera attentive à la mise en œuvre" de l'accord, alors que "la France appelle les signataires et les parties engagées par l'accord à respecter leur parole". Pour les États-Unis, cet accord est "une étape historique" pour sortir la RDC de la crise née du maintien de M. Kabila, 45 ans et au pouvoir depuis 2001, au-delà de la fin de son mandat. L'ONU et l'Union européenne ont "salué" cet accord et encouragé les parties à l

Moise Katumbi: « Nul blocage ne sera toléré dans l’application de l’accord du 31 décembre» Moise Katumbi appelle à la vigilance dans l’exécution de l’accord du 31 décembre 2016. Il l’a dit dans un communiqué publié ce 3 janvier 2017. Moise Katumbi appelle à la vigilance dans l’exécution de l’accord du 31 décembre 2016. Il l’a dit dans un communiqué publié ce 3 janvier 2017. L’autorité morale du G7 et de l’AR se dit satisfait de ce compromis trouvé et en appel à son respect total :

Le président de la Ligue des jeunes du PPRD salue le compromis politique trouvé au centre interdiocésain le 31 décembre 2016. Il considère que ce format du Dialogue était une proposition initiale de Joseph Kabila avant que l’Opposition exige l’implication d’un facilitateur. Patrick Nkanga dit regretter cependant le temps perdu et les vies humaines perdues, inutilement: Pour le président de la ligue des jeunes du PPRD l’Accord de la cité de l’Union africaine était inclusif. « Sur le plan interne, toutes les parties prenantes l’avaient signé, contrairement à celui du centre interdiocésain, » a-t-il dit. Il a plaidé pour l’inclusivité de ce nouvel accord par la signature de toutes les parties prenantes, travail auquel devrait s’atteler le Président du comité de suivi. Les signataires de l’accord du 31 décembre 2016 vont se retrouver ce mercredi 4 Janvier 2017 au Centre interdiocésain. Selon les sources d’ACTUALITE.CD, la réunion tournera autour d’un seul point : l’arrangement p

L’accord de la CENCO vole-t-il en éclats en République Démocratique du Congo ? Alors que le MLC et les opposants Samy Badibanga, José Makila et Jean-Lucien ont refusé de signer les accords du Centre Interdiocésain à Kinshasa, c’est au tour de la la Majorité Présidentielle qui multiplient des signaux susceptibles de remettre en cause ces résolution? :

Haaaaa qui trompe qui mes frères congolais à vraie dire selon mon point de vue personnel ! En effet, selon la famille du Chef de l’Etat, le refus du Mouvement de Libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba, accompagné du Front pour le Respect de la Constitution, y compris celui des opposants Samy Badibanga, José Makila et Jean-Lucien – signataires des accords du 18 octobre 2016 à la Cité de l’Union Africaine, fait que ces accords du 31 décembre dernier ne soient pas inclusifs. Alors que le MLC et les opposants Samy Badibanga, José Makila et Jean-Lucien ont refusé de signer les accords du Centre Interdiocésain à Kinshasa, c’est au tour de la la Majorité Présidentielle qui multiplient des signaux susceptibles de remettre en cause ces résolution? Quelques heures seulement après la signature des ces accords à Kinshasa sous l’égide des évêques de la Conférence épiscopale nationale du Congo, la Majorité Présidentielle a annoncé avoir signé ces accord « sous réserve », protestant comme ce

Les essais militaires militaires américains SM-6 mettent à l'épreuve les missiles ! L'Agence de défense antimissile des États - Unis et de l' US Navy ont lancé leur dernier test de défense antimissiledans l'océan Pacifique à une manifestation réussie qui lança deux intercepteurs à un milieu de gamme de missiles balistiques entrant. Le test a eu lieu le 14 décembre et a lancé deux missiles Standard Missile-6 Dual 1 (SM-6) fabriqués par Raytheon à partir du destroyer de la marine USS John Paul Jones juste à côté de la côte d'Hawaï, ont déclaré des responsables de MDA dans un communiqué.Les deux SM-6 projectiles ont été lancés contre une cible de missiles balistiquesde moyenne portéedans le cadre du programme Terminal Sea-Based de la MDA, en utilisant des navires de la Marine équipés du système de défense antimissile Aegis Ballistic :

Une longue fusée Atlas 5 lancée par United Launch Alliance est lancée depuis le Space Launch Complex-41 à la station de la Force aérienne du Cap Canaveral, portant le satellite GEO-2 du Système infrarouge spatial (SBIRS) pour l'US Air Force del'air des États-Unies d'Amérique, à 17 h 21 HAE le 19 mars, 2013. "Ce test a démontré les capacités MDA et la Marine sont livrer à nos commandants de la flotte," Directeur MDA vice - amiral. Jim Syring a déclaré dans un communiqué le 14 décembre.«Le missile SM-6 et le système d'armes Aegis continuent de prouver qu'ils sont des composants essentiels du système de défense antimissile balistique multicouche et robuste de notre pays. "Le missile SM-6 utilise une ogive explosive pour vaincre les menaces de missiles balistiques, qui diffèrent des autres intercepteurs de défense antimissile, tels que le missile standard-3, qui utilisent la technologie hit-to-kill non explosive", ont écrit les responsables de MDA

Le pont sur la rivière SEMULIKI situé, dans la partie Sud du térritoire de Beni en République Démocratique du Congo, a cédé ce lundi 2 janvier 2017. Il n’a pas supporté un gros camion appartenant à un commerçant de BUTEMBO. La route BENI-KASINDI-LUBIRIYA est une des routes importantes pour l’économie du Nord-Kivu et de la RDC pour le commerce transfrontalieravec l’OUGANDA. Sa détérioration est un grand souci pour la population qui vit du trafic sur cette route ! Il y a 3 ans, le 2 janvier 2014, mourrait assassiné à l’âge de 35 ans à NGADI dans la ville de BENI le célèbre colonel MAMADOU NDALA enterré avec le titre de général des brigades. Son frère ainé NUNGA KADJENE BIN MUHAMED a dit sur KIVU1 que toute la famille regrette encore aujourd’hui la mort de ce célèbre haut officier des FARDC car il était devenu la pierre angulaire de sa famille. Ses 9 enfants et ses deux épouses vivent maintenant une partie à LUBUMBASHI et une autre à KINSHASA. Ajoutons que MAMADOU NDALA était né le 8 décembre 1978 et était entré dans l’armée congolaise sous MZEE Laurent Désiré KABILA le 6 juin 1997. Il avait été promis au grade de colonel le 7 janvier 2011. Il a été célèbre à Goma et au Nord-Kivu durant la guerre du M23 en juillet et août 2013 avant d’être tué le 2 janvier 2014 et inhumé le 6 janvier 2014 à KINSHASA. En ce qui concerne le pont sur la rivière Semliki, les autorités nationaux, que, provincaux doivent fournir des éforts, pour la réhabilitation, le plus vite possible, selon un membre dela société civile dans la région de Beni :

Dans la région de Beni les infrastructures minimales font défaut des routes à l’électricité en passant par la distribution d’eau la situation de la région est grave. Les autorités sont cependant très soucieuses de relancer l’économie dans un cadre de développement durable. A cette fin, elles s’activent à renouer des contacts avec des partenaires internationaux. À ce jour, le secteur privé international n’est pas encore revenu investir au Kivu et seules des organisations non gouvernementales dépendant pour la plupart des Nations Unies sont actives en masse dans la région pour venir en aide aux populations en détresse. Des associations sans but lucratif, plus petites. À Goma, Le général FRANCOIS KAMANZI, commandant adjoint de la 34e région militaire a présenté à la presse de Goma ce lundi 2 janvier 11 bandits à main armée mais également 5 militaires qui allaient déstabiliser la ville de Goma durant la date fatidique du 19 décembre 2016. 17 armes AK47 ont été retrouvées au quartier KATI