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Affichage des articles du septembre 7, 2016

L'insécurité en cours àl'Est de la République Démocratique du Congo : le "dialogue national" ne résoudra rien ce problème selon les membres del' (ex-rébellion) du M23. !

Le "dialogue national" en cours à Kinshasa pour sortir la République démocratique du Congo de la crise politique n'apportera aucune réponse aux graves défis qui se posent dans l'est de ce pays, estime l'ex-rébellion congolaise du M23 dans un communiqué reçu mercredi. "Le dialogue actuel n'est pas susceptible d'apporter des solutions idoines aux problèmes urgents d'insécurité généralisée [...] qui font le calvaire quotidien des populations du Congo oriental", écrit Bertand Bisimwa, président du Mouvement du 23 mars (M23). "Il est inacceptable que les graves problèmes de sécurité [dans l'Est] soient relégués continuellement dans la rubrique 'accessoires' de l'agenda ou carrément dans les oubliettes de ceux qui prétendent s'arroger le monopole d'élaboration des priorités du pays", ajoute M. Bisimwa. Dernier avatar des rébellions à dominante tutsi soutenues par l'Ouganda et le Rwanda dans l'est du Cong

GABON : Bongo Ondimba Ali dans une posture étroite et intenable. On n'a pas oublié que Bongo Ondimba Ali (BOA) disait en privé, quand il se retrouvait, seul, avec les siens : « Pour cette élection, Moi ou Personne » ! On y est en plein. Quand il le disait, il pensait, sans doute, passer comme une lettre à la poste, comme en 2009, quand, de façon unanime, au niveau des pays de la CEMAC (Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale), de concert avec la France, la continuité avait été (logiquement et légitimement) choisie, pour permettre le maintien de la paix et de la stabilité du Gabon, après la mort de son patriarche, que personne n'avait, en réalité, prévue. Cette mort ayant pris le monde entier et le Gabon de court, BOA, en tant que fils portant le nom de ce digne patriarche, avait fait l'unanimité pour la poursuite de sa grandissime œuvre, au Gabon, en Afrique, et dans le monde. !

« Circulez, y a rien à voir », voilà le credo de Bongo Ondimba Ali (BOA). C'est le message que le « petit-là » est venu livrer à l'opinion nationale et internationale, après le conseil des ministres de ce matin. Avec une mine des mauvais jours, d'une personne qui a consommé des amphétamines périmées pour tenir le rythme soutenu que lui imposent les événements qu'il a lui-même créés, BOA est apparu à la télévision publique, il y a quelques heures, pour remercier « les 1.800.000 Gabonais avec qui nous allons continuer ensemble ». BOA n'a pas oublié de remercier « les forces de défense et de sécurité qui ont fait un travail admirable pour préserver la démocratie ». BOA a déploré « les morts » provoquées par la volonté d'un « groupuscule » qui cherchait à accéder au pouvoir pour sa satisfaction personnelle. S'estimant fervent partisan de la démocratie, il affirme avoir voulu des « élections transparentes » et crédibles, mais, s'élève contre cette démocratie

Skype Teams : le prochain concurrent de Slack signé Microsoft. !

Microsoft aurait dans les cartons un nouveau type de messagerie spécifiquement centrée sur les projets collaboratifs et concurrençant directement Slack. En mars dernier, nous apprenions que Qi Lu, vice-président chargé de définir les stratégies autour de Microsoft Office, Office 365, SharePoint, Exchange, Yammer, Lync ou encore Skype, avait considéré un rachat de la société Slack à hauteur de 7 milliards de dollars. Toutefois, l'actuel PDG Satya Nadella n'était pas convaincu. De son côté, Bill Gates aurait estimé que la solution de messagerie interne Skype pouvait tout aussi bien tenir des promesses similaires en ajoutant quelques fonctionnalités supplémentaires. Il semblerait que l'idée ait mûri et selon le blog spécialisé MSPowerUser, Microsoft plancherait bien sur un nouvel outil de communication baptisé Skype Teams. Ce dernier reprendrait plusieurs idées introduites par Slack comme des canaux de discussion, et la possibilité d'interpeller un ou plusieurs collab

Il n’est pas interdit d’informer de la localisation des radars sur Facebook selon une source du journale français, le Monde. La décision de justice établit une importante jurisprudence concernant l’information de la localisation de radars. La Cour de cassation a confirmé la relaxe générale de membres d’un groupe Facebookantiradars, a annoncé mercredi 7 septembre l’avocat des prévenus. Cette décision de justicemarque l’épilogue d’une affaire judiciaire débutée en 2014, lorsque douze membres d’un groupe Facebook qui donnait la localisation de radars en Aveyron avaient été jugés pour« soustraction à la constatation des infractions routières ». Après avoirété condamnés, en première instance à Rodez, à un mois de suspension de permis de conduire, ils avaient finalement été relaxés en appel en 2015. La Cour de cassation rejette ainsi le pourvoi qu’avait formé le parquet après la relaxe en appel. !

Un groupe Facebook n’est pas un « dispositif » Pour la défense, MeJean-François Changeur avait souligné que l’utilisation d’un groupe Facebook n’était pas un« dispositif »réprimé par la loi car« un dispositif est défini comme un ensemble de pièces constituant un mécanisme, un appareil, une machine quelconque ». L’utilisation des détecteurs de radars est passible d’une amende de 1 500 euros et d’un retrait de six points sur le permis. En revanche, le Conseil d’État a autorisé en 2013 les boîtiers de « solutions d’ aideà la conduite » reposant sur une communauté de membres avertissant des « zones de danger », un euphémisme signalant la possible présence d’un radar. A l’issue du premier procès, l’avocat de onze prévenus, Rémy Josseaume, avait considéré le jugement« extrêmement préoccupant » : « Si ce qu’ils font est interdit, alors tous les avertisseurs de radars devraient être interdits, tous les journaux et les radios locales qui signalent les radars vont être fermés. » « I. –Le fa

CENI-ONU : Flagrante divergence sur les élections en RDC. Alors que le président de la centrale électorale estime à 16 mois la durée d’enrôlement des électeurs en partant de février 2016, Henry Agnero, expert de l’ONU en matière électorale, table, lui, sur 10 mois à dater du 30 juillet 2016 ! Dans leurs interventions respectives hier mardi 6 septembre à la cité de l’UA, l’expert des Nations-Unies en matière électorale et le Président de la CENI ont présenté trois approches quant à la tenue des élections en RDC. Henry Agnero et Corneille Nangaa Yobeluo ont fait allusion à la possibilité de tenir les scrutins avec le fichier électoral disponible, le fichier partiel et en dernier avec une liste des électeurs refondue. Mais c’est plus au niveau de la durée de l’enrôlement des électeurs que les deux personnages ne font pas cause commune. !

Le dialogue politique est entré dans le vif du sujet le mardi 6 septembre. Corneille Naanga, le patron de la Ceni, a exposé sur le processus électoral. 7SUR7.CDa jugé bon de donner l’information la plus complète sur le casse-tête électoral. Ci-dessous la communication du président de la Commission électorale nationale indépendante. L'inclusivité du dialogue national au regard du « Rassemblement » qui hésite encore à rejoindre la table des négociations, le rôle de facilitateur ainsi que le compromis politique à trouver de façon consensuelle à l'issue de ce forum, telles sont les préoccupations auxquelles le sénateur Léonard She Okitundu, tente de donner des réponses claires pour dissiper tous les malentendus. Vital Kamerhe avait sollicité 2 à 3 jours de suspension des travaux en vue de jeter les filets à l'eau. Après la pêche miraculeuse exigée, qu'est-ce qui a été fait ? Je crois qu'il ya deux choses: le problème de l'inclusivité qui a occupé les gens le week

Dix neuvième anniversaires dela mort del'ancien président dela République du Zaïre, àl'époque dela deuxième république sous, le maréchal Mobutu Sésé-Séko est qui est mort le 07 septembre 1996 à Rabat la capital du Maroc ! Le mercedi 07 septembre 2016 ! Cela fait 19 ans, jours pour jours, celui ci a disparu. Cette mort en exil était l'épilogue d'une lente agonie. Aujourd'hui, le jugement des Congolais oscille entre indulgence, regret d'un orgueil perdu et souvenir cauchemardesque d'une dictature à bout de souffle. Le maréchal Mobutu n'aura pas survécu à la perte de son pays en mai 1997. Il s'éteint en exil au Maroc à la suite d'un cancer. Sa mort et son enterrement se font dans une discrétion qui contraste fort avec l'exercice du pouvoir qui le caractérisait. Ce jour-là : le 7 septembre 1997, Mobutu s’éteint loin du Zaïre. 19 ans, Dix neuf années déjà que sa dépouille, rongée par le cancer, s’en est allée reposer au fond d’une sépulture d’exil à Rabat, au Maroc. 19 années pendant lesquelles son ombre, sa toque, ses lunettes fumées, sa canne sculptée, sa gestuelle et sa voix métallique n’auront cessé de hanter ses concitoyens. Beaucoup de Congolaisont avec celui qui les dirigea de 1965 à 1997 une relation qui s’apparente au syndrome de Stockholm. Il fut leur dictateur, mais ils ont fini, après sa disparition, par tout (ou presque) lui pardonner. De Mobutu, ils ont effacé l’image d’un homme assimilé dans le monde à l’archétype de la mal-gouvernance à l’africaine. Ils ont oublié le chaos sécuritaire des dix dernières années de son règne, la corruption, l’asphyxie économique, l’article 15, la police politique, les disparitions, l’agonie d’un pays saigné à blanc, pour ne retenir qu’une seule chose : la nostalgie d’un orgueil perdu. Et il est vrai qu’au cours des décennies 1970 et 1980, à l’époque de l’« authenticité » et du boom du cuivre, de l’abacost et des pagnes obligatoires, de la rumba triomphante et des exploits des Léopards, les Zaïroisavaient la conviction de vivre dans un grand pays courtisé, différent des autres, dont le chef d’État savait s’imposer par sa seule présence lors des sommets internationaux. À eux que la colonisation avait infantilisés, Mobutu avait su donner une estime de soi, une manière d’être et de vivre, un soin à paraître reconnaissables entre tous. Il avait su cimenter le sentiment national en les faisant rêver sur leur richesse potentielle, lui qui martelait à longueur de discours que le Zaïre était un « scandale géologique ». Indulgence Bien sûr, tout cela n’était qu’un mirage, car l’éléphant aux pieds d’argile, dépecé de l’intérieur par cette catastrophe que fut la zaïrianisation, ne pouvait que s’effondrer, à l’image d’une armée de parade qui ne gagna aucune guerre mais dont le maréchal était si fier, avec ses Mirage et ses C-130 aux ventres aussi rebondis que ceux de ses généraux. De ces temps d’illusion, où il était permis de croire que l’on pouvait gagner sa vie sans travailler en multipliant les « coups » en haut comme en bas de l’échelle sociale, est pourtant née une identité qui a jusqu’ici résisté à la destruction de l’État.

Règne sans partage ? Mobutu a dominé la vie poitique au Zaïre. En réalité, Mobutu n’était plus le « maître du Zaïre » depuis ce jour d’avril 1990 où il avait annoncé, la larme à l’oeil, la voix brisée par l’émotion, la fin du parti-État, le Mouvement populaire de la révolution (MPR), à la manière d’un père qui abandonne son enfant. On a dit et écrit, un peu trop facilement, que « l’Homme seul » (ainsi l’avait surnommé, au tout début des années 1960, un de ses amis, le journaliste belge Francis Monheim) avait régné sans partage. Mobutu Sese Seko fut un homme à poigne. C’est incontestable. Mais en réalité, il n’était plus le « maître du Zaïre » depuis ce jour d’avril 1990 où il avait annoncé, la larme à l’oeil, la voix brisée par l’émotion, la fin du parti-État, le Mouvement populaire de la révolution (MPR), à la manière d’un père qui abandonne son enfant. Dès lors, les rangs se fissurent, des proches collaborateurs de longue date s’émancipent et basculent dans l’opposition. Les temps

NOUVEAU CAS D'ASSASSINAT EST ENCORE SIGNALÉ, DANS LA CHEFFERIE DE BASHU, SITUÉ AU SUD DU TÉRRITOIRE DE BENI, PROVINCE DU NORD-KIVU, ÀL'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : SELON UNE SOURCE D'UNE ONG DE DÉFENCE DES DROITS DEL'HOMME LA CRDH CONVENTION, POUR LE RÉSPECT DES DROIT DEL'HOMME, LE CHEF DE GROUPEMENT ISALE- BULAMBO A ÉTÉ TUÉ PAR BALLE D'UNE ARME INDIVIDUEL, DANS LA RÉGION DE BENI. Le chef de groupement isale Bulambo Aziza Balikwisha vient d'être tué par des inconnus dans la nuit du mardi, au Mercredi 07/09/2016 à bulambo vers 20h30 locale. Face à cette situation des multiples tuerries des civils à répétition en Beni-Ville et, Térritoire, la Coordination nationale de la CRDH qui denonce et condamne cet assassinat exige des enquêtes serieuses capables à denicher les auteurs. Pour l'ONGDH/ CRDH, Jean Paul PALUKU NGAHANGONDI Le Président +243 996525718 +243 898735074 +243 816543533 crdhoicha@ gmail.com ngahangondi@gma il.com. ! D'autres srticture dela société civile du térritoire de Beni, eux aussi, condamnés, ces actes criminel, il a aussi exhorté le gouvernement de la RDC et ses partenaires à conjuguer leurs efforts, afin de mettre hors d’état de nuire les groupes armés qui continuent à semer la mort et la désolation à l’Est de la République Démocratique du Congo. Cette ornanisme citoyenne, a exprimé aussi sa solidarité aux familles des victimes, et au gouvernement congolais. !

Insécurité en cours dans la région de Beni ! Même les agens fonctionaire del'état sont la cible des tuerries à répétion ce dernier temp, dans cette partie du Nord-Kivu, en proie des actes des inciviques àl'Est dela République Démocratique du Congo. À Beni ville et térritoire, pratiquement chaque jour qui passe compte son lot de morts. Une série macabre déclenchée début octobre 2014 dans ce territoire du Nord-Kivu, dans l’est de la RD Congo. Là-bas, des groupes armés étrangers et des milices locales règnent en maître sur plusieurs localités. Et ce, malgré la présence de l’armée congolaise appuyée par la brigade internationale d’intervention de la Monusco, pourtant la plus importante mission de maintien de la paix des Nations unies dans le monde. Nord-Kivu: Sous prétexte de venger les victimes des carnages, des groumes armés se réactivent à Beni-Lubero. Dans le passé, des recrutements des jeunes garçons, pour plusieurs groupes armés est signalé, par les membres dela société dans

GABON : Une mission de l'Union africaine attendue pour surveiller un éventuel ré-comptage des voix dans le Haut-Ogooué. Après avoir ouvert internet pendant une heure avant de le couper tout le reste de la journée d'hier, le pouvoir vacillant de Bongo Ondimba Ali (BOA), à la demande pressante de la communauté internationale, l'a, également, ré-ouvert, à partir de cette mi-journée. Jusqu'à ce que nous postions cet article, internet et les réseaux sociaux étaient fonctionnels. Mais pour combien de temps ? Car le Gabon traverse une période de sa vie où son fameux « vainqueur » à l'élection présidentielle du 27 août a peur de son ombre. Il est, déjà, atteint par la phobie du coup d'état. Interviewé par France 24, aujourd'hui, Jean Ping (avec Guy Nzouba Ndama et Casimir Oyé Mba) s'est déclaré ouvert à « toutes les médiations » pourvu qu'elles ambitionnent de sortir le Gabon de cette situation. !

« La mobilisation internationale croissante sur la situation post-électorale au Gabon est encourageante. La disponibilité du Président Idriss Déby, Président en exercice de l'Union africaine (UA), à se rendre à Libreville accompagné d'autres Chefs d'Etat africains, témoigne de cette même détermination à assister les parties gabonaises dans la recherche d'une solution à la crise, pacifique et juste. L'Union européenne souligne également le travail du Professeur Abdoulaye Bathily, Représentant spécial du Secrétaire Général de l'ONU. Il est essentiel que le processus électoral puisse aboutir dans la pleine transparence pour restaurer la confiance des Gabonais et assurer la légitimité du pouvoir. Les différends doivent être résolus par les voies légales. Les efforts d'apaisement de la situation doivent être poursuivis. Le rétablissement des moyens de communication et un traitement équitable des centaines de personnes détenues, source de grande inquiétude,

Présidentielle américaine : pour l'heure la course se resserre àla maison blanche. Photomontage de portraits de la candidate démocrate Hillary Clinton (g), le 15 juin 2016, et du candidat républicain Donald Trump, le 13 juin 2016 Hillary Clinton et Donald Trump ont multiplié les attaques parfois virulentes mardi en entamant la dernière ligne droite de la course présidentielle qui s'annonce serrée au vu de nouveaux sondages. Trump a "complètement tort" quand il dit que sa feuille d'impôts n'intéresse pas les Américains, il "a vraiment quelque chose à cacher", a accusé Hillary Clinton en route vers Tampa, en Floride, un Etat clé ("Swing State") qui peut basculer dans un camp ou dans l'autre. !

Cela fait plusieurs semaines qu'il insinue que la candidate de 68 ans n'est pas physiquement en mesure d'assumer la fonction présidentielle. En Virginie, il a estimé que Clinton était "un désastre". "Clinton a tellement viré à gauche, elle a tellement été tirée à gauche par Bernie et son mouvement", a déclaré Trump. Le candidat républicain et son équipe de campagne, toujours imperméable aux critiques, promettent une course serrée d'ici le 8 novembre. Trump, 70 ans, peine pourtant à séduire les Noirs, en dépit d'une visite dans une église afro-américaine de Detroit samedi. Les non Blancs votent toujours davantage pour Clinton (à 71%) que pour Trump (18%), selon le sondage CNN. Plus surprenant, le populiste Trump est jugé plus honnête et digne de confiance que la démocrate (50% contre 35%), empêtrée dans l'affaire de ses emails. Même les partisans de Clinton doutent davantage de leur candidate que les partisans du bouillonnant candidat, p