NOUVEAU CAS D'ASSASSINAT EST ENCORE SIGNALÉ, DANS LA CHEFFERIE DE BASHU, SITUÉ AU SUD DU TÉRRITOIRE DE BENI, PROVINCE DU NORD-KIVU, ÀL'EST DELA RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO : SELON UNE SOURCE D'UNE ONG DE DÉFENCE DES DROITS DEL'HOMME LA CRDH CONVENTION, POUR LE RÉSPECT DES DROIT DEL'HOMME, LE CHEF DE GROUPEMENT ISALE- BULAMBO A ÉTÉ TUÉ PAR BALLE D'UNE ARME INDIVIDUEL, DANS LA RÉGION DE BENI. Le chef de groupement isale Bulambo Aziza Balikwisha vient d'être tué par des inconnus dans la nuit du mardi, au Mercredi 07/09/2016 à bulambo vers 20h30 locale. Face à cette situation des multiples tuerries des civils à répétition en Beni-Ville et, Térritoire, la Coordination nationale de la CRDH qui denonce et condamne cet assassinat exige des enquêtes serieuses capables à denicher les auteurs. Pour l'ONGDH/ CRDH, Jean Paul PALUKU NGAHANGONDI Le Président +243 996525718 +243 898735074 +243 816543533 crdhoicha@ gmail.com ngahangondi@gma il.com. ! D'autres srticture dela société civile du térritoire de Beni, eux aussi, condamnés, ces actes criminel, il a aussi exhorté le gouvernement de la RDC et ses partenaires à conjuguer leurs efforts, afin de mettre hors d’état de nuire les groupes armés qui continuent à semer la mort et la désolation à l’Est de la République Démocratique du Congo. Cette ornanisme citoyenne, a exprimé aussi sa solidarité aux familles des victimes, et au gouvernement congolais. !

Insécurité en cours dans la région de Beni ! Même les agens fonctionaire del'état sont la cible des tuerries à répétion ce dernier temp, dans cette partie du Nord-Kivu, en proie des actes des inciviques àl'Est dela République Démocratique du Congo.
À Beni ville et térritoire, pratiquement chaque jour qui passe compte son lot de morts. Une série macabre déclenchée début octobre 2014 dans ce territoire du Nord-Kivu, dans l’est de la RD Congo. Là-bas, des groupes armés étrangers et des milices locales règnent en maître sur plusieurs localités. Et ce, malgré la présence de l’armée congolaise appuyée par la brigade internationale d’intervention de la Monusco, pourtant la plus importante mission de maintien de la paix des Nations unies dans le monde. Nord-Kivu: Sous prétexte de venger les victimes des carnages, des groumes armés se réactivent à Beni-Lubero. Dans le passé, des recrutements des jeunes garçons, pour plusieurs groupes armés est signalé, par les membres dela société dans différents coins des territoires de Beni et de Lubero.
Le 16 janvier, 2016, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont lancé une opération dans la région de Beni, dans l’est du Kivu, dans le but de neutraliser la milice islamiste de l’Alliance des forces démocratiques-Armée nationale de libération de l’Ouganda (ADF-NALU), qui occupe de plus en plus le devant de la scène et qui est soupçonnée d’entretenir des liens avec des mouvements terroristes mondiaux. L’offensive des FARDC, baptisée « Sokola » (« nettoyer » en lingala), fait suite à la déroute de la milice du M23 en novembre 2012, après une opération conjointe des Nations Unies et des FARDC.
Beaucoup des miliciens, ont accru, ses effectifs grâce à des campagnes d’enrôlementet des enlèvements. Entre juillet 2010 et novembre 2013, la société civile de Beni a recensé 660 enlèvements par les ADF-Nalu, dont 382 en 2013. D’après la société civile, la milice aurait récemment tiré sur des hélicoptères de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en RDC (MONUSCO) en reconnaissance.
Quelle menace les ADF-Nalu posent-ils ?
Outre sa puissance militaire croissante, l’ADF-Nalu est considérée comme une force potentiellement déstabilisatrice dans la région des Grands Lacs en raison de ses liens présumés avec des islamistes radicaux. Le gouvernement ougandais a longtemps soutenu que le groupe était lié à Al-Qaida et au mouvement islamiste somalien Al-Shabab.
« La complexité de la guerre dans l’est du Congo, avec son réseau inextricable d’acteurs poursuivant un grand nombre d’intérêts, peut être accablante et déroutante. La région est propice à l’éclosion et au développement de groupes armés et de seigneurs de guerre », note le projet Enough.
« L’un des moyens de prévoir à quel endroit émergera une nouvelle insurrection en RDC est d’observer les mouvements passés : les groupes armés engendrent des groupes armés, puisque les chefs militaires tirent avantage des réseaux existants d’anciens combattants et ravivent les liens avec les trafiquants, les marchands d’armes et les mineurs », indique un rapportdu projet Usalama.
Voici un aperçu de quelques-uns des groupes armés présents dans l’est de la RDC : Depuis la clôture en mars 2008 de la conférence de Goma sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, la partie orientale de la RDC n’a cessé de demeurer au centre des préoccupations à différents niveaux. Le programme de stabilisation censé promouvoir un climat de paix et sécurité n’est évoqué que pour inaugurer la construction des bâtiments (administration, police, école, centre de santé, etc..) pendant que son objectif principal, celui de ramener la paix et la sécurité pour les populations, est toujours conjuguer au futur, en terme d’objectif à atteindre à l’issu d’un processus.
Pour preuve, après que le général Mushale ait déclaré, le 26 avril 2016 sur les ondes de la radio Okapi, sa satisfaction dans les opérations contre les éléments ADF et FDLR et, ce à la suite de l’accalmie observée dans la région au courant du mois de février 2016, la région a connu de nouveau une dégradation brutale de l’environnement sécuritaire avec les massacres survenus dans à Beni ville, Mimibo et Mutsonge dans la localité de Baungatsu-Luna, Byena et Tingwe proche de l’agglomération d’Eringeti, groupement de Bambuba-Kisiki, secteur de Beni-Mbau en territoire de Beni au Nord-Kivu, mais aussi à Kasoko-Biakato en territoire d’Irumu, province de l’Ituri, respectivement le 04 et 06 mai 2016, lesquelles attaques ont été, comme d’habitude, attribuées aux éléments ADF et faisant une vingtaine des victimes parmi les civils et des dizaines autres emportés dans la brousse, au grand dam des forces onusiennes et congolaises déployées à quelques mètres du lieu des crimes. Ces tueries en répétition associée aux enlèvements et kidnappings, notamment ceux du 03 mai 2016 de trois chauffeurs du Comité International de la Croix et Croissant rouge (CICR).

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