Découverte macabre des ossements de Mr Kakule Meso dans le matin du mardi 12 décembre 2016, à kithevya kalongo village situés à 6km dans la partie Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, àl'Est dela République Démocratique du Congo : en colère un groupe de famille éprouvé, se sont rendu sur le lieu, pour constanté, la disparition de leurs frère tué, dernièrement, les les inciviques des ADF ! Et après, les os ont été mis en terre sur place, d'où, celui ci, a été décapité de plus, àla machette, le jour d'incursion des rébélles érangers présent dépuis plus de 25 ans, dans la région de Beni signalons ici bas que, pauvre Kakule était l'une des personnes qui étaient, pris en otage par les rebeles ougandais du groupe des ADF-NALU lors de leurs dernière attaque meurtrière dans ce village, il ya un mois ! Selon nos source il s'agit des ossement d'un certain pripa ancien acteur dela radio moto skech, les neufs autres personnes n'a leurs dernieres nouvelles. La fois passé, une attaque des rébélles du Adf-Nalu été signalé à Kithevya en térritoire de Beni : Face à cette situation, les habitants d'Oicha ont été paniqués de plus après une nouvel incursion des rébélles des Adf-Nalu, dans l'après midi de ce lundi 31 octobre 2016, vers Kithevya une localité situé àl'Ouest d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo : au dernier nouvel la radio Moto Oicha nous informe que, les Adf ont pillés tout les biens de valeur qui se trouvaient dans le centre de santé dela place, et des médicaments aussi, ont été emportés, par les rébélles, ce qui a poussés des civils à majorité des hommes, femmes, et des enfants, en débandande de part et d'autres ! Beaucoup des gens ont abandonnés, leurs maisons d'habitation craignant d'être victimes des rébélles qui cherchent toujours à faire finir les gens dans toute partie du térritoire de Beni de plus ! La République Démocratique du Congo est un pays déchiré par plusieurs guerres importées entremêlées aux phénomènes qui maintiennent la population dans la pauvreté extrême suite à l’insécurité entretenue au quotidien contre des millions de Congolais. Pour un pays engagé dans une transition post-conflit avec un coût humain extrêmement élevés les défis sont énormes la restauration d’un niveau acceptable de la sécurité humaine est l’un de ces défis. Dans la plupart des provinces de l’Est de la RDC, plus particulièrement en territoire de Beni, la population continue à souffrir de l’insécurité permanente des violations de droits humains et des exactions de toute forme. Pour pallier à cette situation, l’ONGDH/CRDH s’est engagée fermement, mais se heurte aux défis de poursuite, des menaces par des services de sécurité ANR et des autorités politiques et militaires, les insuffisances des moyens matériels pour le reportage et le suivi des activités sur terrain. C’est ainsi que la CRDH tend la main aux personnes de bonne volonté de l’appuyer financièrement et antérieurement pour qu’elle soit efficace sur terrain.

Des assassinats de religieux musulmans inexpliqués.
Outre les tensions liées aux velléités indépendantistes à l’Ouest du pays, l’Ouganda est confrontée à une étrange vague d’assassinats depuis l’année 2012. C’est la minorité musulmane qui est ciblée. À la fin du mois de novembre dernier, le Major Muhammed Kiggundu et son garde du corps étaient froidement abattus dans la banlieue de Kampala. Treizième leader musulman tué en Ouganda depuis 2012, le religieux avait déjà échappé à deux tentatives de meurtre par le passé, mais sera finalement tombé sous les balles de mystérieux assassins, comme de nombreuses personnalités musulmanes avant lui. Chaque fois, c’est le même mode opératoire qui est observé : en moto, deux tueurs interviennent de préférence en début de soirée, mais aussi parfois en plein jour, s’arrêtent près du véhicule de leur victime sur laquelle ils tirent deux à cinq balles avant de prendre la fuite. D’autres imams ont même été abattus à leur domicile sous les yeux de leurs familles, sans que personne n’ait jamais revendiqué ces crimes. Face à ce cycle sanglant, la communauté musulmane demande une meilleure protection de la part de l’Etat ainsi que l’arrestation des coupables.
« Nous ne savons pas pourquoi ces incidents continuent à se produire, mais nous en appelons au gouvernement pour prendre les mesures nécessaires pour y mettre fin, car les gens perdent espoir et sont affectés », avait ainsi déclaré Sheikh Muhammed Ali Waiswa, numéro 2 de l’Uganda Muslim Supreme Council. Pays d’origine des Allied Democratic Forces (ADF), l’Ouganda fait face depuis quatre ans à une série d’assassinats mystérieux visant ses leaders musulmans.
Comme c’est le cas à Beni, en République Démocratique du Congo voisine, le discours officiel attribuant ces crimes aux « islamistes » est loin de convaincre.
L’Ouganda. 38 millions d’habitants, majoritairement catholiques et anglicans, 15% de musulmans, et un Yoweri Museveni au pouvoir depuis 30 ans, soit dans les standards de tout dictateur africain qui se respecte. Mais pour tout congolais aujourd’hui, l’évocation de l’Ouganda renvoie au rôle d’un acteur majeur dans la déstabilisation de l’Est du pays depuis la chute de Mobutu en 1997. Berceau des Allied Democratic Forces (ADF) qui se sont établis dans le Ruwenzori congolais au milieu des années 90, le pays fait face à un péril sécuritaire moins important qu’en République Démocratique du Congo, mais tout aussi réel. Poussés à l’exil par la guerre dans le Grand Nord, des milliers de citoyens congolais établis à Kampala décrivent l’Ouganda comme un pays chaleureux, où il fait bon vivre. Pourtant, de manière sournoise, des relents de tensions identitaires menacent la cohésion nationale d’un pays-clé dans la poudrière des Grands Lacs.
À Butembo – Baraka Lolwako Mumbere : « Mes revendications ? La paix à l’Est de la République Démocratique du Congo ». Il était l’un des leaders des Maï-Maï retranchés au Mont-Carmel, à Butembo, avant que les FARDC ne les y délogentla semaine dernière. Recherché contre une récompense de 5000 dollars, Baraka Lolwako Mumbere a accepté de répondre de manière très succincte à nos questions.
« Il n’y a pas de guerre civile entre Hutus et Nande ». Trois jours après le massacreperpétré contre un camp de déplacés Hutus à Luhanga, le président de la Convention pour le Respect des Droits de l’Homme (CRDH°, Jean-Paul Paluku Ngahangondi, a réfué toute idée de guerre civile entre les Hutus et les Nande, ethnie dont sont issus les Maï-Maï Mazembe, auteurs de l’attaque de samedi dernier.
« Il n’y a pas de guerre ethnique entre Hutus et Nande. Les vrais Hutus congolais n’ont jamais été d’accord avec les exactions des FDLR, comme les Nande n’ont jamais été d’accord avec les exactions des Mazembe sur les civils Hutus, a ainsi déclaré aujourd’hui le coordonnateur de la CRDH.Il faut savoir que tous les chefs et initiateurs de Mazembe sont des Kobo de Walikale. Ce qu’il se passe à Lubero et à Beni n’est pas à qualifier de guerre tribale, mais un truc monté de toutes pièces pour affaiblir les deux grandes communautés du Nord-Kivu au profit d’un inconnu qu’il faut débusquer. Il faut comprendre cette situation, autrement, c’est biaiser les données. »
Même son de cloche du côté de l’administrateur du territoire de Lubero, Djoy Bokele, qui réfute toute idée de guerre inter-ethnique :« Il n’y a pas de conflit inter-ethnique entre Nande et Hutus. Il s’agit de bandits qui tuent et accusent les Yira (Nande),déclare-t-il ainsi.On se sera trompé lourdement de cible, parce qu’aucune réunion n’a été tenue par les Nande où ils ont décidé de tuer des gens, donc Kavota, Nicause, Kibelbel,… (ndlr, membres de la société civile au Nord-Kivu) doivent éviter d’accuser les Nande. Je ne suis pas Nande mais je dirige sur le sol des Nande sans aucune difficulté, et les Nande n’ont pas de milice ».
Le bilan définitif de l’attaque du camp de déplacés de Luhanga a quant à lui été revu à la baisse, avec 29 personnes tués par les Maï-Maï.

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