Un certain groupe des jeunes gens habitants, et quelque patriotes dela région de Beni ont décidé d'aller combatre eux même, les rébélles des Adf-Nalu, dans la brousse de MAYANGOS, un village situé àl'Est de Beni-Ville, vers l'Est dela République Démocratique du Congo : La population disent être abandonné par les autorités nationaux, aux mains des criminnels étrangers qui continuent avec une serie des massacres, contre les civils, victimes des plusieurs éxactions en cours dans la région dépuis deux ans ! Pendant ce temp le commandement d'opération Sukula 1 qui intensifie ce dernier jours la traque de grande avergure dans la région de Beni contre ces groupes des rébélles ne parlent pas la même language en ce qui concerne la traque des rébélles des ADF prèsent dans la brousse de MAYANGOS une localité situé dans la partie Est de Beni-Ville où ils mènent souvent des attaques meurtrière contre la population victimes des plusieurs massacres, vols, et des incendies, à répétition dépuis octobre 2014, à nos jours. Face à cette situation d'insécurité grandissante dans cette partie du Nord-Kivu, beaucoup des gens dans la ville de Beni disent qu'ils sont prêts à aller débroussayer la fôret de mayangose pour que le militaires voyent l'enemie de loin pour 15/10/2016, le maire dela ville Nyonyi à encourager l'initiative mais il a envoyé ces derniers d'aller voir le commendant des opérations, en écoutant les propos du porte parole MICK AZUKAY il n'est pas d'accord et ila dit je cite toute personne qui sera visible à cette évenement sera considérée comme rébelle or la population aussi dit celui qui va les empêchés donc est complisse. Alors on ne sait pas ce qui va arriver ce jours là, soyons prudent et sûr de sois même mes chers amis". Par ailleurs, les membres dela société dela région continuent à dénoncer : 1. Des multiples cas d’incursions des groupes armés étrangers sur le sol congolais : Dans le passé des des droits del'homme ont signalés une incursion des troupes ougandaises veste la partie Est de Beni téritoire. ! Dépuis plusieurs jours, les habitants de la chefferie de Watalinga, frontalière avec l'Ouganda en territoire de Beni font état d'une concentration des troupes de l'Uganda People Defence Forces à la frontière avec la RDC. Des mouvements suspects des personnes d’origine indéterminée à direction des zones de massacres. C’est le cas de 9 personnes, conduites par un certain HARERI MATERERUZAZA, arrêtées à Butembo en date du Jeudi 19 mai 2016. D’autres recherches menées par les organisations locales de défense des droits de l’homme notent une traversée clandestine de ces troupes Ougandaises sur le territoire Congolais. Le Centre d’étude pour la promotion de la paix et des droits humains, Cepadho, une structure qui documente les violations de droits de l’homme au Nord-Kivu a mené une réflexion sur cette présence décriée de l’armée Ougandaise sur le sol Congolais. La motivation qui pousserait l’Ouganda à intervenir militairement au Congo pourrait se justifier par le fait que ce pays dirigé par Yoweri Kaguta Museveni aurait indiqué que le territoire de Beni en RDC regorge des bases arrière d’un groupe terroriste, prêt à frapper en Ouganda.

Au cours de deux derniers, années les attaques contre les civils ont fait plus de 1200 victimes dans la région de Beni, en République démocratique du Congo (RDC). Les autorités congolaises accusent les Forces démocratiques alliées (Allied Democratique Forces, ADF), un groupe rebelle islamiste entretenant des liens avec l’Ouganda, d’avoir commis ces massacres. Le commandant de la zone opérationnelle Grand Nord et de l’opération Sokola 1 NORD, le général Marcel Mbangu Mashita, a exhorté la population de la province du Nord-Kivu (Est de RD Congo) à ne « pas abuser des réseaux sociaux pour démoraliser la population et les troupes sur terrain face aux ADF Nalu ».
« Les réseaux sociaux et les médias ne sont pas des voies indiquées pour donner des informations au commandement Sokola 1 sur ceux là qui commettent des crimes dans le territoire de Beni », a recommandé le général Marcel Mbangu au cours d’un récent point de presse à Beni.
En poste depuis juin 2015, cet officier aguerri, qui mène avec perspicacité les opérations des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) à Beni et à Lubero, (région incluant la zone opérationnelle Sokola1), sait à quoi il a à faire face aux rebelles ougandais qui peine nt à se relever des offensives punitives de l’armée congolaise.
La complicité locale
Ne négligeant aucun détail, le général Marcel Mbangu appelle à « la consolidation de la collaboration entre l’armée et la population ».
Depuis près de 25 ans, les terroristes ougandais ADF-Nalu ont investis la région de Beni, usant d’un modus opératoire qui n’est différent de celui de ses homologues de l’AQMI au Sahel.
Ils profitent de leurs accointances avec certains individus, « ennemis du peuple » dans la région, pour échapper aux traques menées par les troupes gouvernementales. « C’est le grand problème auquel nos FARDC font face », déplore un responsable de la société civile locale à Beni. Les deux dernières années, plusieurs « complices » ont été arrêtés par les services de sécurité congolais.
À peine entré en fonction, le général Mbangu a conclu « un mariage avec la population, très indispensable pour relever ce défi sécuritaire », selon le chef de l’Etat et Commandant suprême des FARDC, Joseph Kabila.
En décembre 2015, plusieurs voix ont condamné l’organisation d’une « journée ville-morte » à Beni et ses périphéries alors que, curieusement, les troupes loyalistes venaient de tuer une dizaine de rebelles dans la région d’Oïcha et Eringeti, dont les corps avaient été exposés sur la place publique.
« Sont-ils sont mécontents de voir notre armée tuer des ADF-Nalu ? Ou se moquent-ils de nos civils et militaires victimes de cette barbarie ? La sécurité aux frontières dans la zone frappée par les atrocités des ADF présumés a été au centre d’un atelier qui a réunis les acteurs étatiques et non étatiques en Ville de Butembo du 20 au 21 janvier 2016, des chefs de groupements, chefferies et Secteur ainsi que de leaders de la Société Civile de Beni Territoire. Cette initiative vise à mettre un frein aux multiples incursions étrangères des ADF présumés et autres gangs qui massacrent les populations civiles dans l’est de la RDC qui parfois font des incursions depuis l’Ouganda via les Secteur de Rwenzori et les Chefferies de Watalinga et Bashu, a annoncé Omar Kavota, Coordonateur du CEPADHO qui organisait ces assises. C’est une suite des concertations dites des retraites initiées depuis mi janvier et qui avaient d’abord réuni des notables du Groupement Bambuba Kisiki, le cœur même des massacres des populations civiles en Territoire de Beni. 98% des massacres ont été connus en Groupements Bambuba Kiski en Secteur de Beni Mbau. Pourquoi ? C’est la question que se posaient les participants et la réponse a été que la collaboration et les complicités locales ont beaucoup favorisé la persistance de cette insécurité.
Mettre un frein aux incursions depuis les pays voisins
Au cours de ces assises tenues en Ville de Butembo, les participants ont aussi été appelés à mettre fin aux complicités internes qui favorisent les incursions depuis les pays voisins. Les incursions étant surtout notées vers les zones de l’Est. En effet, dans cette vaste zone qui sépare la RDC de l’Ouganda, en Cheval entre la Chefferies de Bashu et les Collectivités Secteur de Rwenzori ainsi que Watalinga, sont régulièrement signalées des incursions des hommes armés qui ensuite vont coaliser avec quelques complicités locales pour semer l’insécurité par des massacres des populations civiles dans le Secteur voisin de Beni Mbau en Territoire de Beni avait déploré un acteur étatique des services de sécurité sui a ensuite obtenu les promesses des acteurs de la Société Civile.
– A Kinyondo, Localité Bunyangingi, Groupement Itala, Chefferie des Batangi en Territoire de Lubero où des éléments FDLR ont traversé avec des armes sans être inquiétés par les services de sécurité dans la nuit du 20 au 21 mai 2016 près du confluent des rivières Semuliki et Lamia, à ter de Beni.

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