Nouvel traque des rébélles Ougandais du groupe ADF, ce dernier temp, porte ses fruits, à partir du 12 au 16 septembre 2016 dans l'opération Sukula 1 Nord, qui se déroule dépuis quelques jours, dans la partie Nord-Est du térritoire de Beni, province du Nord-Kivu, vers l'Est dela République Démocratique du Congo. D'après une source millitaire dans la région, du vendredi 16 septembre 2016, qui a précisé que, lors de dernier combats, entre les millitaires Fardc et les Rébélles Adf, sept combattants de l'Adf tués, 1 lampe-torche, 4 armes individuel du type Ak47, 1 panneau solaire, deux bombes artisanales, 1 demi maillots de munitions de 12, 7, des baches, et des documents importants récupérés à All-Space situé, dans la brousse del'Est d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni. selon le porte parole d'opération Sukula 1 Nord Mac Azukay. Maman Sidikou, chef de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO), a appelé lundi dernier, à changer des stratégies contre les rebelles au Nord-Kivu afin de stopper les massacres des civils congolais. "La compassion ne suffit plus. Nous comptons les morts et ça ne peut plus durer. Il faut changer de stratégie", a-t-il déclaré à Béni (est) en compagnie du nonce apostolique en RDC, Mgr Luis Mariano Montemayor. Dès leurs arrivée à Béni, les deux hommes se sont rendus sur les lieux du récent massacre, qui a fait plus de 50 morts à Rwangoma, un village situé à 6km au sud-est de Béni de Beni ville. Mgr Montemayor a exhorté le gouvernement congolais et les Nations Unies à "faire plus pour empêcher les tueries à Béni". Une prière a par ailleurs été donnée pour le repos des victimes. Des milliers des personnes ont déjà trouvé la mort dans les attaques attribuées aux rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région. Le chef de l'Etat congolais Joseph Kabila avait qualifié le massacre de Béni de "pur terrorisme qui n'est pas différent de celui de la France et la Belgique", demandant aux partenaires de la RDC de prêter attention à la situation dans l'est de son pays. En République démocratique du Congo, la société civile de Beni réclame une nouvelle opération Artémis pour enrayer les tueries dans son territoire. Deux ans de massacres. Il y a quelques jours, en périphérie de la ville, plus d'une cinquantaine de personnes selon l’ONU avaient été tuées, provoquant une vague de colère sans précédent. Le nonce apostolique, Monseigneur Montemayor, et le chef de la Monusco, Maman Sidikou, ont donné leur point de vue sur ce qu'il fallait changer. Et ils n'ont pas mâché leur mot. Pour l'envoyé du Pape François, c'est avant tout à l'armée congolaise, au gouvernement, de faire plus : « Il n’y personne, Français, Monusco, ou n’importe qui d’autre, qui peut faire ce que l’Etat congolais doit faire. Ce qui s’est passé, c’est un défi direct à l’autorité du président de la République. Il venait de promettre de nous apporter la paix. » Monseigneur Montemayor demande également à la Monusco de respecter son mandat de protection des civils, mais le Vatican entend interpeller aussi le Conseil de sécurité de l’ONU : « Nous ne sommes pas membres du Conseil de sécurité, mais ils ont tendance à dormir un petit peu. On va les réveiller. Nous sommes observateurs et nous avons le droit d’interpeller le Conseil de sécurité. »

Les millitaire dela Brigade d'intervation des Nations-Unies présent à Oicha, étaient entrain, de largués des bombes avec des armes lourde, contre les inciviques, Adf qui se sont, rétrachés dans la brousse dela partie Est d'Oicha, à partir du Village Matombo, situé dans le Nord-Est d'Oicha. D' après les habitants de cette parti, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot, dans le Sécteur de Beni-Mbau, en groupement de Bambubha-Kisiki, térritoire de Beni. Toutefois, d’une part, il subsiste de nombreuses zones d’ombre sur les liens entre les ADF-Nalu et les organisations islamistes radicales de la région et, d’autre part, l’islamisme de ce groupe armé parait superficiel.
Dans le passé, une unité de commandos a patrouillé dans les villages de Kambi ya Miba, Totolito et Mbau situés à plus de 40 km au nord-est de la ville de Beni, a constaté sur place un correspondant de Xinhua chine nouvel.
Plusieurs positions des FARDC sont bien rangées tout au long de la route nationale numéro 2 pour assurer la protection de la population.
"Comme vous pouvez remarquer avec moi ici, il y'a maintenant la sécurité et la population est libre de circuler comme elle veut. Nous avons chassé les islamistes ougandais des ADF par une offensive musclée", a déclaré à Xinhua le colonel Yanyi Kasongo, commandant du 3414ème régiment.
Dans le village de Kambi ya Miba, les activités ont repris leur rythme normal, les boutiques et les marchés sont ouverts et la circulation des véhicules et des motos est normale.
"Pour récupérer ce village, nous avions perdu près de 70 commandos en une journée dans les combats qui nous opposés avec les islamistes des ADF", a poursuivi le colonel Kasongo, ajoutant que "cette guerre est asymétrique, car on ne connaît pas la vraie stratégie de l'ennemi".
Face aux offensives des FARDC, les ADF se retournent et se cachent dans la forêt.
Les ADF avaient installé pendant plusieurs mois leur quartier général dans ce village.
Ils faisaient payer les taxes à la population locales et aux commerçants qui se rendaient vers la ville de Beni.
Interrogés par Xinhua, les habitants de ce village ont demandé au gouvernement de les protéger contre les attaques des ADF.
"Maintenant nous avons la paix qui est la base de notre développement, nous demandons au gouvernement de construire des hôpitaux et des écoles pour assurer notre avenir", a déclaré Jean-Marie Kakule, habitant de ce village, dont les parents ont été décapités par les ADF dans le dernier massacre.
Le 14 août, après que plus de 50 personnes furent tués dans un quartier de Beni par des islamistes des ADF, le président congolais Joseph Kabila a déclaré à Goma (Nord-Kivu) que la situation que traverse la RDC est la même que celle de la Belgique et de la France.
Pour restaurer la paix dans le territoire de Beni où plus de 600 civils ont été tués depuis octobre 2014 par les rebelles ougandais des ADF, le gouvernement congolais a déployé des commandos dans le territoire de Beni. Eringeti la vie a repris son cours normal après 12 mois après sa destruction par les ADF. Cet petit, centre de commerce situé, à 30 km au nord de la commune rurale d’Oicha sur la route nationale no 4 recouvre petit à petit son ambiance habituelle. Ceci après son attaque par des rébelles ADF, le dimanche 29 novembre 2015.
La majorité de la population est déjà revenu au village mais elle se concentre dans la partie Ouest. Personne ne veut revenir dans sa parcelle à l’Est car la zone est encore considérée dangereuse. Cette partie du village est plus occupée par les militaires des FARDC et leurs dépendants. Dans le domaine de santé, la MONUSCO poursuit les travaux de réhabilitation du bâtiment du centre de santé qui avait été incendié par les rebelles. Toutes les activités ont démarré normalement et les malades sont rassurés d’avantage car les militaires sont commis à la garde sillonnent les alentours du centre de santé.
Au chapitre de l’éducation, les cours ont repris depuis le 5 janvier dernier après avoir été suspendus le 29 novembre lors de cette attaque qui avait couté la vie une dizaine des civils et des maisons incendiés. Plusieurs villages du territoire de Beni, dans la province du Nord-Kivu, occupés jadis par les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), ont été récupérés par les commandos des Forces armées de la RDC (FARDC), basés dans le térritoire de Beni, en proie d'insécurité grandissante contre les habitans civils victimes.

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