Note 7 – Samsung ferait appel au fabricant de batteries d’Apple Technologie pour remplacer les batteries de son Galaxy Note 7, Samsung devrait recourir aux services du chinois ATL, par ailleurs fournisseur de batteries pour l’iPhone d’Apple. !
Samsung Electronics va changer de fournisseur principal pour les batteries équipant son Galaxy Note 7, son smartphone qui fait l’objet d’un rappel mondial en raison de cas de surchauffe et d’explosions.
Et selon un média coréen, News1, c’est le sous-traitant chinois ATL qui assurera désormais la fourniturede cet équipement pour Samsung. Cet industriel était jusqu’à présent le fournisseur secondaire du fabricant de smartphones.
Eteindre le Galaxy Note 7
ATL, par ailleurs le fournisseur principal de batteries pour l’iPhone d’Apple, avait produit 30% de ce composant pour équiper les premiers Note 7 de Samsung. Le groupe chinois remplacerait ainsi Samsung SDI.
D’après News1, Samsung cherchait un 3e fournisseur, mais le coréen aurait dû y renoncer en raison des tests supplémentaires nécessaires et du processus global de validation.
En fin de semaine dernière, Samsung a publié un message officiel en Coréerecommandant à ses clients de cesser tout usage du Galaxy Note 7 et d’attendre la réception des nouveaux modèles. Le ministre des transports du pays est lui revenu sur son autorisation d'utiliser le terminal dans l’avion ou le train. L'appareil est déjà interdit de vol aux Etats-Unis.
L'affaire des Galaxy Note 7 dont la batterie peut exploser prend chaque jour un peu plus d'ampleur. Rappelons que le numéro un mondial des smartphones a décidé la mort dans l'âme de stopper partout dans le monde les livraisons de son dernier terminal après avoir recensé 35 cas. La phablette qui devait être lancée la semaine dernière en France restera donc aux abonnés absents sine die.
Quant aux 2,5 millions d'appareils déjà vendus en Corée, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays, ils seront rappelés et échangés gratuitement, précise le géant dans un communiqué.
Mais l'organisation de ce rappel fait grincer des dents, notamment aux Etats-Unis. Le très influent Consumer Reports estime que le fabricant n'utilise pas les bons canaux,
L'équivalent de l'association 60 Millions de consommateurs estime que Samsung aurait du passer par la très officielle Consumer Product Safety Commission (CPSC). Cette dernière peut notamment agir sur les distributeurs, en rendant illégale la vente du terminal en cause. En effet, il semble que des boutiques vendent toujours le smartphone, a constaté l'association.
"Samsung devrait immédiatement travailler avec la CPSC pour organiser le rappel, il est particulièrement inquiétant de voir que des Note 7 sont encore en vente(ce vendredi)", souligneMaria Rerecich, de Consuler Reports.
Samsung de son côté a réduit le délai d'échange à une semaine et propose également un échange contre un Galaxy S7 ou un S7 Edge (avec remboursement de la différence).
Car si cette affaire des batteries qui explosent est un désastre en termes d'image, elle le sera au niveau financier. Selon les estimations d'experts cités par Bloomberg, le programme de rappel coûtera 1 milliard de dollars à Samsung, sans compter l'impact sur les ventes futures de la phablette.
Samsung précise que 35 cas d'explosion auraient été recensés et que le risque concerne 24 terminaux sur un million. Il semblerait que ce soit le fournisseur maison qui soit en cause (SDI, une filiale de Samsung), ce dernier aurait fourni 70% des batteries du Note 7.
Cette affaire tombe au pire moment pour le géant. Bien sûr, on peut saluer le principe de précaution afin d'éviter tout nouvel incident mais l'image de la phablette risque d'être écornée pour un bon moment, alors que ce produit devait valider le retour en grâce du fabricant.
Encore une mauvaise nouvelle pour Samsung. Son dernier Note è pourrait être purement et simplement banni des vols américains. Interrogé sur le risquede ces terminaux à bord et de leurs batteries explosives, la FAA, l’agence fédérale de l'aviation civile, explique qu'elle réfléchit actuellement à cette possibilité. Aucune décision n'est encore prise mais la question est bel et bien posée.
Cette interdiction constituerait une première. Rappelons que le numéro un mondial des smartphones a décidé la mort dans l'âme de stopper partout dans le monde les livraisons de son dernier terminal après avoir recensé 35 cas d'explosion de batteries dans le monde.
Reste que 2,5 millions de terminaux ont trouvé preneur dans différents pays. Si Samsung met en place un vaste programme de rappel, la FAA s'inquiète de voir certains passagers embarquer avec des Note 7 qui n'ont pas été échangés, dotés de la batterie défectueuse (fabriquée par une filiale interne de Samsung). Ce sont donc ces terminaux qui seraient visés par l'interdiction mais comment appliquer un tel banissement ?
Rappelons qu'en France, le sud-coréen invite donc ses clients à "prendre immédiatement contact avec son Service Clients au 01 48 63 00 00 (puis sélectionner « 0 » dans le menu proposé)".
"Nous sommes conscients du désagrément occasionné, mais ce programme d’échange nous permet de continuer à offrir la meilleure qualité de produits à nos consommateurs.
Et selon un média coréen, News1, c’est le sous-traitant chinois ATL qui assurera désormais la fourniturede cet équipement pour Samsung. Cet industriel était jusqu’à présent le fournisseur secondaire du fabricant de smartphones.
Eteindre le Galaxy Note 7
ATL, par ailleurs le fournisseur principal de batteries pour l’iPhone d’Apple, avait produit 30% de ce composant pour équiper les premiers Note 7 de Samsung. Le groupe chinois remplacerait ainsi Samsung SDI.
D’après News1, Samsung cherchait un 3e fournisseur, mais le coréen aurait dû y renoncer en raison des tests supplémentaires nécessaires et du processus global de validation.
En fin de semaine dernière, Samsung a publié un message officiel en Coréerecommandant à ses clients de cesser tout usage du Galaxy Note 7 et d’attendre la réception des nouveaux modèles. Le ministre des transports du pays est lui revenu sur son autorisation d'utiliser le terminal dans l’avion ou le train. L'appareil est déjà interdit de vol aux Etats-Unis.
L'affaire des Galaxy Note 7 dont la batterie peut exploser prend chaque jour un peu plus d'ampleur. Rappelons que le numéro un mondial des smartphones a décidé la mort dans l'âme de stopper partout dans le monde les livraisons de son dernier terminal après avoir recensé 35 cas. La phablette qui devait être lancée la semaine dernière en France restera donc aux abonnés absents sine die.
Quant aux 2,5 millions d'appareils déjà vendus en Corée, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays, ils seront rappelés et échangés gratuitement, précise le géant dans un communiqué.
Mais l'organisation de ce rappel fait grincer des dents, notamment aux Etats-Unis. Le très influent Consumer Reports estime que le fabricant n'utilise pas les bons canaux,
L'équivalent de l'association 60 Millions de consommateurs estime que Samsung aurait du passer par la très officielle Consumer Product Safety Commission (CPSC). Cette dernière peut notamment agir sur les distributeurs, en rendant illégale la vente du terminal en cause. En effet, il semble que des boutiques vendent toujours le smartphone, a constaté l'association.
"Samsung devrait immédiatement travailler avec la CPSC pour organiser le rappel, il est particulièrement inquiétant de voir que des Note 7 sont encore en vente(ce vendredi)", souligneMaria Rerecich, de Consuler Reports.
Samsung de son côté a réduit le délai d'échange à une semaine et propose également un échange contre un Galaxy S7 ou un S7 Edge (avec remboursement de la différence).
Car si cette affaire des batteries qui explosent est un désastre en termes d'image, elle le sera au niveau financier. Selon les estimations d'experts cités par Bloomberg, le programme de rappel coûtera 1 milliard de dollars à Samsung, sans compter l'impact sur les ventes futures de la phablette.
Samsung précise que 35 cas d'explosion auraient été recensés et que le risque concerne 24 terminaux sur un million. Il semblerait que ce soit le fournisseur maison qui soit en cause (SDI, une filiale de Samsung), ce dernier aurait fourni 70% des batteries du Note 7.
Cette affaire tombe au pire moment pour le géant. Bien sûr, on peut saluer le principe de précaution afin d'éviter tout nouvel incident mais l'image de la phablette risque d'être écornée pour un bon moment, alors que ce produit devait valider le retour en grâce du fabricant.
Encore une mauvaise nouvelle pour Samsung. Son dernier Note è pourrait être purement et simplement banni des vols américains. Interrogé sur le risquede ces terminaux à bord et de leurs batteries explosives, la FAA, l’agence fédérale de l'aviation civile, explique qu'elle réfléchit actuellement à cette possibilité. Aucune décision n'est encore prise mais la question est bel et bien posée.
Cette interdiction constituerait une première. Rappelons que le numéro un mondial des smartphones a décidé la mort dans l'âme de stopper partout dans le monde les livraisons de son dernier terminal après avoir recensé 35 cas d'explosion de batteries dans le monde.
Reste que 2,5 millions de terminaux ont trouvé preneur dans différents pays. Si Samsung met en place un vaste programme de rappel, la FAA s'inquiète de voir certains passagers embarquer avec des Note 7 qui n'ont pas été échangés, dotés de la batterie défectueuse (fabriquée par une filiale interne de Samsung). Ce sont donc ces terminaux qui seraient visés par l'interdiction mais comment appliquer un tel banissement ?
Rappelons qu'en France, le sud-coréen invite donc ses clients à "prendre immédiatement contact avec son Service Clients au 01 48 63 00 00 (puis sélectionner « 0 » dans le menu proposé)".
"Nous sommes conscients du désagrément occasionné, mais ce programme d’échange nous permet de continuer à offrir la meilleure qualité de produits à nos consommateurs.
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