Rdc Journée ville morte du 16 février 2016 toujours on observe des division aux sein des classes politique chaqun vise sont intérêt personnel pour ceux qui ont unicié cette idé nous disent que cette journé est organisé à mémoire des compatriotes disparue lors dela manifestation en réclamant ouverture dela conférence souveraine àl' époque dela deuxième république sous le régime de Mobutu Seseko. Du conté del' L’UDPS on nous informe que, celui ci dit « oui » au dialogue et «non » à la « ville morte »
L’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, ira au dialogue. Telle est la déclaration phare du Secrétaire général du parti, Bruno Mavungu, le jeudi 11 février 2016 à Kinshasa à la presse. Il justifie cette position du parti cher au sphinx de Limeté, par le refus de plonger le pays dans le chaos et par la raison que participer au dialogue est la décision d’Etienne Tshisekedi, une position, du reste, a-t-il affirmé, partagée par toute la communauté internationale. Pour les observateurs, c’est une manière sans équivoque pour Bruno Mavungu de contrer les forces de l’opposition acquises au chaos qui rejettent le dialogue et qui appellent la population à leur servir de bête de somme pour conquérir le pouvoir par le rejet du glissement. Bruno Mavungu, un pro-dialogue constant, abonde dans le même sens que son président pour qui le dialogue reste la voie royale pour sortir le pays de la crise et le lancer sur la voie de la paix, de la démocratie et du développement. Les consultations menées tambour battant par Joseph Kabila depuis le 1er juin dernier ont permis aux observateurs de la scène politique congolaise, au stade actuel, de faire trois types de constats.
Premièrement : les élections locales devraient être reportées, d’une part en raison de multiples retards sur le calendrier, d’autre part à cause de l’absence de la loi sur la répartition des sièges récemment rejetée par l’Assemblée Nationale, enfin du fait que la communauté internationale rechigne à mettre la main à la poche quand, de l’avis du chef de l’Etat congolais lui-même, «la démocratie commence à coûter cher».
Un avis qui a été très mal accueilli dans l’opinion, où il a été généralement interprété comme symptomatique d’un état d’esprit bien particulier lorsque, ailleurs, le principe veut justement que le développement soit un indicateur pertinent du degré de liberté et de démocratie. L’adresse de Bruno Mavungu à la presse a été aussi l’opportunité pour lui de faire savoir que la ville morte programmée pour le 16 février 2016 par la dynamique de l’opposition, le Front anti-dialogue et le G7 est un mauvais calcul politique et il a préféré l’ignorer. Aussi de tourner en dérision les rumeurs qui faisaient état de l’échec de la rencontre entre Etienne Tshisekedi et Edem Kodjo, l’envoyé spécial de la Présidente de la commission africaine, Nkosazana Dlamini Zuma. Pour lui, la rencontre a été un succès et personne ne peut dire la vérité là-dessus à part lui ou Etienne Tshisekedi. Pour lui, il sied de préciser que l’envoyé spécial de l’Union Africaine a pu se rendre compte de la complexité du dossier. A l’en croire, à l’UDPS, on croit fermement que si le sage africain Edem Kodjo, Madame Zum et Ban ki-Moon examinent positivement les propositions d’Etienne Tshisekedi, le dialogue tant attendu sera convoqué rapidement conformément à l’accord-cadre d’Addis-Abeba avec toutes les résolutions 2098 ; 2147 et 2211.
A l’estimation du secrétaire général de l’UDPS, si les propositions d’Etienne Tshisekedi sont ignorées, la crise persistera et le pays sombrera dans le chaos. Pour lui, Etienne Tshisekedi est un homme de paix et de dialogue qui a horreur du chaos et du sang. Confiant sur la tenue du dialogue, Bruno Mavungu demande au pouvoir d’intégrer les recommandations de son parti.
Avec cette sortie médiatique, Bruno Mavungu a fixé l’opinion tant nationale qu’internationale et levé toutes les ambiguïtés créées atour de l’authentique position de l’UDPS sur la tenue du dialogue et la suite des événements dans le théâtre politique congolais. Avec son assise nationale, l’UDPS étant depuis longtemps très implanté partout en RDC, elle vient de consolider le camp pro-dialogue. Avec sa riche et longue expérience politique, le parti cher au Lidder maximo a mis à nu la vanité de ceux qui veulent embraser la RDC avec des villes mortes et autres initiatives pro-impérialistes en trahissant la mémoire des martyrs de l’indépendance et de la libération de la RDC du joug colonial et impérialiste.
La sortie médiatique de Bruno Mavungu a été aussi l’occasion pour la direction de l’UDPS d’annoncer le programme de suite des manifestations commémoratives du 34émè anniversaire du parti d’Etienne Tshisekedi. Selon ce programme, il est prévu le samedi 13 et dimanche 14 février 2016 des rassemblements dans les quatre fédérations de la ville de Kinshasa pour vulgariser la position du président sur le dialogue et préparer son retour au pays. Le 15 février, une messe d’actions de grâce sera dite à la paroisse Saint Joseph de Matonge. L’UDPS, étant donné son ancienneté sur le macrocosme politique congolais, détient aussi bien le savoir que l’expérience sur les activités à entreprendre pour arriver au changement démocratique. Elle est aussi un parti qui a son mot à dire sur les divers appuis externes des forces politiques actives en RDC. Face à l’évolution politique en RDC, forte de sa longue et riche expérience, l’UDPS vient de trancher : oui au dialogue, mais non à la « ville morte ».
Premièrement : les élections locales devraient être reportées, d’une part en raison de multiples retards sur le calendrier, d’autre part à cause de l’absence de la loi sur la répartition des sièges récemment rejetée par l’Assemblée Nationale, enfin du fait que la communauté internationale rechigne à mettre la main à la poche quand, de l’avis du chef de l’Etat congolais lui-même, «la démocratie commence à coûter cher».
Un avis qui a été très mal accueilli dans l’opinion, où il a été généralement interprété comme symptomatique d’un état d’esprit bien particulier lorsque, ailleurs, le principe veut justement que le développement soit un indicateur pertinent du degré de liberté et de démocratie. L’adresse de Bruno Mavungu à la presse a été aussi l’opportunité pour lui de faire savoir que la ville morte programmée pour le 16 février 2016 par la dynamique de l’opposition, le Front anti-dialogue et le G7 est un mauvais calcul politique et il a préféré l’ignorer. Aussi de tourner en dérision les rumeurs qui faisaient état de l’échec de la rencontre entre Etienne Tshisekedi et Edem Kodjo, l’envoyé spécial de la Présidente de la commission africaine, Nkosazana Dlamini Zuma. Pour lui, la rencontre a été un succès et personne ne peut dire la vérité là-dessus à part lui ou Etienne Tshisekedi. Pour lui, il sied de préciser que l’envoyé spécial de l’Union Africaine a pu se rendre compte de la complexité du dossier. A l’en croire, à l’UDPS, on croit fermement que si le sage africain Edem Kodjo, Madame Zum et Ban ki-Moon examinent positivement les propositions d’Etienne Tshisekedi, le dialogue tant attendu sera convoqué rapidement conformément à l’accord-cadre d’Addis-Abeba avec toutes les résolutions 2098 ; 2147 et 2211.
A l’estimation du secrétaire général de l’UDPS, si les propositions d’Etienne Tshisekedi sont ignorées, la crise persistera et le pays sombrera dans le chaos. Pour lui, Etienne Tshisekedi est un homme de paix et de dialogue qui a horreur du chaos et du sang. Confiant sur la tenue du dialogue, Bruno Mavungu demande au pouvoir d’intégrer les recommandations de son parti.
Avec cette sortie médiatique, Bruno Mavungu a fixé l’opinion tant nationale qu’internationale et levé toutes les ambiguïtés créées atour de l’authentique position de l’UDPS sur la tenue du dialogue et la suite des événements dans le théâtre politique congolais. Avec son assise nationale, l’UDPS étant depuis longtemps très implanté partout en RDC, elle vient de consolider le camp pro-dialogue. Avec sa riche et longue expérience politique, le parti cher au Lidder maximo a mis à nu la vanité de ceux qui veulent embraser la RDC avec des villes mortes et autres initiatives pro-impérialistes en trahissant la mémoire des martyrs de l’indépendance et de la libération de la RDC du joug colonial et impérialiste.
La sortie médiatique de Bruno Mavungu a été aussi l’occasion pour la direction de l’UDPS d’annoncer le programme de suite des manifestations commémoratives du 34émè anniversaire du parti d’Etienne Tshisekedi. Selon ce programme, il est prévu le samedi 13 et dimanche 14 février 2016 des rassemblements dans les quatre fédérations de la ville de Kinshasa pour vulgariser la position du président sur le dialogue et préparer son retour au pays. Le 15 février, une messe d’actions de grâce sera dite à la paroisse Saint Joseph de Matonge. L’UDPS, étant donné son ancienneté sur le macrocosme politique congolais, détient aussi bien le savoir que l’expérience sur les activités à entreprendre pour arriver au changement démocratique. Elle est aussi un parti qui a son mot à dire sur les divers appuis externes des forces politiques actives en RDC. Face à l’évolution politique en RDC, forte de sa longue et riche expérience, l’UDPS vient de trancher : oui au dialogue, mais non à la « ville morte ».
Commentaires