La présence d'un groupe des rébélles minis, des haches, machettes, couteaux, et des armes à feu individuel, a été signalé, de plus, à Mulolya : Un village situé, tout près, àl'Ouest d'Oicha, dans la journée du mercredi 17 août del'année, en cours. Face à cette situation d'instabilité sécuritaire, déja, les habitants de ce coin, étaient entrain, de quitté cette localité craignant, d'être victimes des massacres des civils encours, dans le térritoire de Beni. Mais sélon la société noyau d'Oicha, qui disait que, ces rébélles seraient, parmi les Adf qui ont attaqués la localité de May-Moya, dans la nuit du mercredi, 17 août 2016 où, deux civils ont été tués, lors d'une nouvel incursion dans les heures nocturne. Signalons ici bas que, dans cette même attaque un autre habitant dela place a été, grièvement blessé. Ces criminels du groupe des Adf-Nalu, sont toujours visible tout, près des grandes aglomérations du térritoire entier, qui est, la cible d'incursions répétitive, meurtrière ces derniers années antérieur.

Qui sont réellement les ADF Nalu ?
Les ADF-Nalu (Forces démocratiques alliées – Armée de libération de l’Ouganda), sont une rébellion ougandaise qui sévit dans la région du « Grand Nord », partie septentrionale de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Edouard, fief de l’ethnie Nande. Une région devenue une "poudrière"
La rébellion de l’ADF-Nalu sévit dans la région du « Grand nord », partie nord de la province du Nord-Kivu, frontalière de l’Ouganda, entre le lac Albert et le lac Edouard, fief de l’ethnie Nande. C’est « une poudrière », s’alarme, sous couvert d’anonymat, un expert militaire occidental, redoutant que cette rébellion ne devienne un nouveau foyer de troubles qui s’appuierait sur les revendications des Nande qui s’estiment aujourd’hui délaissés par Kinshasa. Dans la journée de ce mercredi 17 août 2016, un convoi des hommes armés, a été aperçu, par un groupe des taximans d'Oicha, à Mulolya une localité situé, conté Ouest dela commune rurale d'Oicha, chef lieu du térritoire de Beni. Toute fois, des quéstion se posent entre les habitants en colère victimes des massacres successive ce dernier temp ! Alors d'où viennent ces gens munis des armes à feu et des armes blanche ? Quel est leurs objectif pour qu'ils se trouve dans ce coin du térritoire de Beni ? Que cherchent ils à vraie dire...
La présence des éléments ADF encore actifs dans le territoire de Beni constitue un vrai casse-tête sécuritaire et un danger pour les populations riveraines. Malgré l’opération militaire »Sokola 1 » en cours, lancée contre ces éléments armés par les FARDC, ils continuent de multiplier des attaques et exactions contre des populations civiles. Face à cette situation l’urgence s’impose, c’est ainsi que l’appel a été lancé au Gouvernement et à la Mission de l’organisation des Nations Unies pour la stabilisation du Congo (Monusco) d’agir immédiatement afin de limiter la catastrophe, d’autant plus que, l’heure est grave.
La présence des ADF à Beni un vrai casse-tête sécuritaire.
Les tueries à répétition de Beni rappellent aux Congolais que le pays ne s’est pas encore débarrassé de ses vieux démons.
L’émotion et la colère sont toujours vives à Beni, une ville du Nord-Est de la République démocratique du Congo (RDC). Dépuis octobre 2014, jusqu' en nos jours, une vague de massacres à répétition a coûté la vie à plus de 1200 civils, tués par des assaillants, essentiellementà la machette. Ces attaques ont été attribuées de plus, par l’armée congolaise aux rebelles ougandais des ADF-Nalu, présent dans la région de Beni dépuis des années, jusqu' en nos jours. Le groupe rebelle a été visé pour la première fois en 2005 par une offensive conjointe de l’armée régulière et de la Mission de l’ONU (Monuc, devenue Monusco). En 2010, l’armée a lancé une nouvelle offensive contre le mouvement, dont plusieurs camps ont été détruits. Des dizaines de milliers de personnes déplacées. Mais depuis une année, l’armée congolaise s’est surtout mobilisée contre un autre groupe rebelle, le Mouvement du M-23 (M23), implanté également au Nord-Kivu, mais plus au sud, autour de la ville de Goma, la capitale provinciale.
"Les Shebab sont chez nous !"
Si l’ADF-Nalu a surtout combattu le régime ougandais de 1996 à 2001, le mouvement est toujours brandi comme une menace par Kampala, qui l’accuse régulièrement d’être lié aux islamistes somaliens Shebab. En 2011, des membres de services de renseignements ougandais soutenaient ainsi que des membres de l’ADF avaient été formés à la confection de bombes par des islamistes somaliens. Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, a lui aussi affirmé, le 15 juillet, que l’ADF-Nalu était associé aux combattants Shebab » et l’a présenté comme « une menace majeure contre la sécurité et l’intégrité de la RDC ». « Les Shebab sont chez nous », a-t-il insisté, rappelant que la présence de mercenaires somaliens avait déjà été signalée il y a deux mois dans les rangs de ce mouvement.
Pour International Crisis Group, l’ADF-Nalu est le seul groupe armé de l’est congolais à « être considéré comme une organisation terroriste appartenant à la nébuleuse islamiste d’Afrique de l’Est. Cependant, le groupe de réflexion jugeait que l’existence d’une coopération directe entre les Shebab et les ADF restait « une hypothèse, d’autant plus que le gouvernement ougandais instrumentalise la menace terroriste à des fins intérieures et extérieures ».
De leur côté, les experts onusiens ont affirmé dans un rapport daté du 20 juin que « deux anciens combattants de l’ADF et les services de renseignement ougandais affirment que l’ADF a reçu des virements en provenance de Londres, du Kenya et de l’Ouganda, rassemblés par des intermédiaires congolais à Beni et Butembo », au Nord-Kivu. Les mêmes sources citées par les experts onusiens soutiennent que l’ADF se finance aussi par un réseau de taxis opérant dans la zone frontalière et tirait profit de l’or et de l’exportation de bois en Ouganda.

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