Deux morts au conté des rébélles, ougandais des Adf-Nalu, et une arme AK47 récuperé. Tel est le bilan, d' une nouvel attaque des Fardc contre une position de ces térroristes à Mabanga, une village, situé àl' est dela localité d' ERINGETI, tôt le matin du mercredi 15 mars 2016 dans le Sécteur de Beni-Mbau, en groupement de Bambubha-Kisiki, térritoire de Beni, province du Nord-Kivu. D' après les habitants de cette parti, des détonations des armes légère et lourde, ont été entendu, au font, dela Parc Nationale des Virunga. Selon une source de porte parole d' OPS sukula 1, le LTN Mac Azoukay, la Brigade de Défense principale del' armée nationale, a affronté les ADF-NALU, à environs 30 km au nord-est d’Oicha (chef-lieu du Territoire de Beni). Au cours de cette offensive de l’armée, les ennemis ont étaient complètement mis en déroute, après une serie de combat de quelques minutes entre les deux conté. À lui d' ajouté que, les terroristes sont, chassés, par la puissance du feu, et n’ont pas dit leurs dernier mot.

Adf-Nalu sur les traces de Boko Haram ? Grâce à leur dirigeant, Jamil Mukulu, un chrétien converti à l’islam, les ADF-Nalu ont cessé d’être un problème congolo-ougandais pour prendre une dimension régionale en tant qu’élément de la nébuleuse islamiste radicale en Afrique de l’Est. Toutefois, d’une part, il subsiste de nombreuses zones d’ombre sur les liens entre les ADF-Nalu et les organisations islamistes radicales de la région et, d’autre part, l’islamisme de ce groupe armé parait superficiel. Et dans la genèse faite du mouvement, le rapport relève qu’ en septembre 1995, à Beni dans la province congolaise du Nord Kivu, Yusuf Kabanda, un des dirigeants de l’opposition musulmane ougandaise armée, scelle avec le commandant Ali Ngaimoko de l’Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (Nalu) une alliance dénommée les Forces démocratiques alliées-Armée nationale pour la libération de l’Ouganda (ADF-Nalu). Conclue hors de l’Ouganda avec l’aide des services secrets soudanais et congolais, cette alliance regroupe deux mouvements défaits par l’armée régulière dénommée Force populaire de défense de l’Ouganda (UPDF). Sans liens idéologiques ni opérationnels préalables, ces deux mouvements ont en commun d’être opposés au régime ougandais, de se trouver au même moment sur le sol congolais et d’être proches, chacun de leur côté, d’ennemis de Kampala. Est de la RDC : l’ONU prévient que le combat contre les rebelles ougandais sera long ». L’avertissement, signale-t-elle, émane des Nations Unies. Représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu et chef de la Monusco, Martin Kobler estime effectivement qu’ »On ne peut pas gagner ce combat rapidement (…) Ce sont des terroristes, ce sont des criminels, c’est un combat asymétrique, qui est très, très difficile à gérer ». Il le déclare au cours de la conférence de presse hebdomadaire de son Organisation, le mercredi 10 décembre 2014. Toutefois, avec les ingrédients de l’histoire tumultueuse de la RDC depuis 1960, l’enjeu que représente Beni mérite d’être perçu différemment… Kidnapper des femmes, des jeunes, parfois des familles entières pour peu qu’elles se soient trouvées dans les champs au mauvais moment, c’est en effet la marque de fabrique des ADF-Nalu, une rébellion ougandaise à l’origine qui demeure peu connue. La pratique est devenue frénétique. « Les cas d’enlèvement sont passés de 24 à 382 de 2010 à 2013 », indique Teddy Kataliko, président de la société civile à Beni. 660 kidnappings en trois ans Au total, en trois ans, la rébellion a enlevé 660 personnes. Des recrutements forcés pour former des combattants ou travailler dans les champs. Selon John (pseudonyme), enlevé à l’âge de 19 ans et qui a passé six ans avec les ADF-Nalu, le mouvement se radicalise parce qu’il se sent menacé. La présence de ces homme armée dans là région de Beni est un danger pour la population en ce jours où on continue de compter les morts à majorité des civiles victime, des massacres, pillages, vols, la déstruction totale des habitantions, de part et d' autres, le déplacement forcé dela population, attaque contre des villages, localités et des granges aglomérations, des embuscades contre des engins roulant tout cela porte des signatures des rébélles des Adf-Nalu. Aujourd' hui un peu de calme s' observe à Mambabiyo et Tnombi, après une attaque des rébélles des Adf-Nalu, lourdement armée, qui ont encore oppéré, dans la nuit du dimanche à lundi 29 février 2016. Les massacres, des civiles qui est devenues quasi-quotidiennes, indique un communiqué du CEPADHO parvenu à notre rédaction. Les habitants de ces trois villages, ont passé leurs nuit sous les étoiles. Pendant ce temps, des informations circulé d’une panique généralisée qui a envahi cette localité, suite à une nouvelle attaque des faut ADF-Nalu vers 03:00. Craignant leurs vie en danger, les civiles ont fuit dans les quatres conté de cet Village situé, à l' ouest dela localité, de May-Moya. Les mouvements, signalés a concerné aussi bien les femmes, les enfants, les jeunes et les hommes. Ils ont fuit nuitamment, alors que ça tirait dans tous les sens. Nombreux sont ceux qui ont pris la diréction de May-Moya. Les autres àla destination d’Oicha via Ahili, Kithevia. Après cet acte de térroriste, ces rébélles ont attaqué une centre de santé dela place aù ils ont pillé, des médicaments, autres biens de valeurs, appartenant àla structure de cette maison sanitaire et des objets des malades après avoir les dispersé en désordres. La société civile de Beni térritoire réitère ici son soutien aux FARDC et leurs exprime sa solidarité dans le combat contre les terroristes à Beni (au Nord-Kivu).
Cette structure encourage le Gouvernement Congolais et la MONUSCO à plus d’accompagnement de l’opération Sukola 1 (de traque) contre les ADF considérant leur virulence contre les civils en ces jours. La même source ressegne que les États de la Région et les Grandes puissances à plus de solidarité avec la RDC dans la lutte contre contre le terrorisme à Beni.

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