Qui est àlà base des conflits entre les Nandes et Hutu surtout dans la province du Nord-Kivu ? À ce sujet, le président de la communauté Yira en province du Nord-Kivu a recommandé le respect mutuel qui est inévitable afin de permettre le rétablissement de la paix et le développement en Province. La communauté Hutu congolaise préoccupée par la paix, l’unité et développement du Nord Kivu :
La fois passe, un groupe de présumes Maï-Maï Mazembe proche de la communauté Nande ont, incendiés plusieurs maisons appartenant à des membres de la communauté Hutu, au Nord-Kivu.
Les jeunes Hutu auraient ripostés, en incendiant, deux maisons appartenant à des Nande dans le village de Bwambali.
Pendant un certain weekend, des Maï-Maï Mazembe ont attaqués, le village de Kyoto alors que, des jeunes Hutu ont fait une incursion à Luhanga. Alors des sources de la société civile ce jour la, ont donnés, un bilan de 6 morts et, plusieurs maisons incendiées au cours de ces deux attaques.
Avec, un déplacement des populations de Luhanga et Kyoto vers la localité voisine de Luofu.
Par ailleurs, l’ONG CEPADHO a appellé, l’armée à neutraliser toutes les forces négatives dans la zone.
Interrogé, le porte-parole des opérations Solola1 a précisé que, les forces armées sont au courant de cette situation, sans donner plus des détails. Chaque fois les Hutu accusent les Nandes, pour avoir commandité à mai 2015 la mise en sac et l’incendie du domicile du ministre Eugène SEREFULI, élu de Rutshuru. Selon la société civile dans cette partie de la province du Nord-Kivu, cette interpellation risque de raviver les conflits entre ces deux communautés. Notre source indique que parmi ces 8 interpellés figurent le président de la société civile de NYAMILIMA, le président de la FEC locale. La communauté Nande pour une paix entre toutes les ethnies du Nord-Kivu. Lubero : «la tension persiste à répétition, entre Nande et Hutu à Miriki en dépit du calme précaire observé», s’inquiète la société civile de Luofu.
Un calme précaire s’observe à Miriki depuis le matin de certain vendredi 08 janvier, après l’attaque de jeudi 7 janvier dernier qui a coûté la vie à 18 personnes faisant aussi 7 blessés graves tous des civils. Les activités économiques sont restées paralysées, affirme la société civile de Luofu, agglomération situé près de Mariki au sud du territoire de Lubero. Une mission conjointe gouvernement provincial et Monusco est arrivée, vendredi 09 janvier, del'année passé, à Miriki pour évaluer la situation qui prévaut sur place.
Selon notre source, la tension est reste vive entre les communautés Nande et Hutu en dépit d’une accalmie observée durant la journée. Boutiques, magasins et autres commerces n’ont pas ouvert. Le sentiment de désarroi se lisait dans les visages de toutes les populations civiles. Plus loin à Kyambuli, trois éléments présumés rebelles FDLR ont été capturés puis brûlés vifs par les maï- maï de l’Union du peuple pour la Défense des Innocents, UPDI, milice qui se réclame l’appartenance à la Communauté Nande.
La force de la Mission onusienne et les militaires Fardc déployés dans ce secteur patrouille dans la cité de Miriki et ses environs pour rassurer la population. Le porte-parole des opérations Sokola1, le lieutenant Mac Hazukay, a annoncé l’arrivée de renforts des casques bleus de la MONUSCO et des forces armées de la République Démocratique du Congo, FARDC conduite par le commandant du Secteur Opérationnel de Beni-Lubero, le général de brigade Mbangu Mashita Marcel, pour sécuriser la population et traquer les rebelles rwandais FDLR actifs dans cette partie sud du territoire de Lubero.
Jusque dans l’après midi du même vendredi, les corps des victimes étaient toujours gardés dans leurs familles en attendant leur inhumation qui est intervenue tard dans la soirée en présence des autorités provinciales.
Dans la même optique, une délégation de la communauté Nande conduite par leur président en la personne de M. Telesphore Karonde a été reçue par le Julien PALUKU en sa résidence officielle, peu après la communauté Hutu.
Répondant aux journalistes, le Président de la Communauté Nande a souligné que, la pacification étant l’affaire de tout le monde, aucune raison ne peut justifier le manque de respect non seulement envers l’autorité légalement établie mais aussi entre toutes les communautés établie au Nord-Kivu.
« Personne n’a choisi être née au sein de sa communauté », a avisé Telesphore Karonde qui s’est dit choqué par de propos discourtois distillés dans l’opinion à longueur des journées par la voie des
médias. Les questions liées au développement, à la pacification ainsi qu’à l’unité, en province du Nord-Kivu ont figuré au cœur des entretiens ce mardi 7 février 2017, entre le Gouverneur Julien Paluku et une délégation des notables de la communauté Hutu conduite par M. Jerrys Kajibwami.
Cette délégation mandatée par la hiérarchie de ce regroupement ethnique intervient après les déclarations de M. Otto Bahizi, un des fils de l’ethnie Hutu, dans certains médias audio-visuels et sur les réseaux sociaux.
Toutes les déclarations sont indignes non seulement contre les autorités mais aussi contre toute la communauté Hutu, a signifié Jerrys Kajibwami tout en insistant que le moment est révolu de créer des troubles et la haine, tous les efforts étant plutôt à concentrer pour reconstruire la province, la paix n’ayant pas de prix.
Les jeunes Hutu auraient ripostés, en incendiant, deux maisons appartenant à des Nande dans le village de Bwambali.
Pendant un certain weekend, des Maï-Maï Mazembe ont attaqués, le village de Kyoto alors que, des jeunes Hutu ont fait une incursion à Luhanga. Alors des sources de la société civile ce jour la, ont donnés, un bilan de 6 morts et, plusieurs maisons incendiées au cours de ces deux attaques.
Avec, un déplacement des populations de Luhanga et Kyoto vers la localité voisine de Luofu.
Par ailleurs, l’ONG CEPADHO a appellé, l’armée à neutraliser toutes les forces négatives dans la zone.
Interrogé, le porte-parole des opérations Solola1 a précisé que, les forces armées sont au courant de cette situation, sans donner plus des détails. Chaque fois les Hutu accusent les Nandes, pour avoir commandité à mai 2015 la mise en sac et l’incendie du domicile du ministre Eugène SEREFULI, élu de Rutshuru. Selon la société civile dans cette partie de la province du Nord-Kivu, cette interpellation risque de raviver les conflits entre ces deux communautés. Notre source indique que parmi ces 8 interpellés figurent le président de la société civile de NYAMILIMA, le président de la FEC locale. La communauté Nande pour une paix entre toutes les ethnies du Nord-Kivu. Lubero : «la tension persiste à répétition, entre Nande et Hutu à Miriki en dépit du calme précaire observé», s’inquiète la société civile de Luofu.
Un calme précaire s’observe à Miriki depuis le matin de certain vendredi 08 janvier, après l’attaque de jeudi 7 janvier dernier qui a coûté la vie à 18 personnes faisant aussi 7 blessés graves tous des civils. Les activités économiques sont restées paralysées, affirme la société civile de Luofu, agglomération situé près de Mariki au sud du territoire de Lubero. Une mission conjointe gouvernement provincial et Monusco est arrivée, vendredi 09 janvier, del'année passé, à Miriki pour évaluer la situation qui prévaut sur place.
Selon notre source, la tension est reste vive entre les communautés Nande et Hutu en dépit d’une accalmie observée durant la journée. Boutiques, magasins et autres commerces n’ont pas ouvert. Le sentiment de désarroi se lisait dans les visages de toutes les populations civiles. Plus loin à Kyambuli, trois éléments présumés rebelles FDLR ont été capturés puis brûlés vifs par les maï- maï de l’Union du peuple pour la Défense des Innocents, UPDI, milice qui se réclame l’appartenance à la Communauté Nande.
La force de la Mission onusienne et les militaires Fardc déployés dans ce secteur patrouille dans la cité de Miriki et ses environs pour rassurer la population. Le porte-parole des opérations Sokola1, le lieutenant Mac Hazukay, a annoncé l’arrivée de renforts des casques bleus de la MONUSCO et des forces armées de la République Démocratique du Congo, FARDC conduite par le commandant du Secteur Opérationnel de Beni-Lubero, le général de brigade Mbangu Mashita Marcel, pour sécuriser la population et traquer les rebelles rwandais FDLR actifs dans cette partie sud du territoire de Lubero.
Jusque dans l’après midi du même vendredi, les corps des victimes étaient toujours gardés dans leurs familles en attendant leur inhumation qui est intervenue tard dans la soirée en présence des autorités provinciales.
Dans la même optique, une délégation de la communauté Nande conduite par leur président en la personne de M. Telesphore Karonde a été reçue par le Julien PALUKU en sa résidence officielle, peu après la communauté Hutu.
Répondant aux journalistes, le Président de la Communauté Nande a souligné que, la pacification étant l’affaire de tout le monde, aucune raison ne peut justifier le manque de respect non seulement envers l’autorité légalement établie mais aussi entre toutes les communautés établie au Nord-Kivu.
« Personne n’a choisi être née au sein de sa communauté », a avisé Telesphore Karonde qui s’est dit choqué par de propos discourtois distillés dans l’opinion à longueur des journées par la voie des
médias. Les questions liées au développement, à la pacification ainsi qu’à l’unité, en province du Nord-Kivu ont figuré au cœur des entretiens ce mardi 7 février 2017, entre le Gouverneur Julien Paluku et une délégation des notables de la communauté Hutu conduite par M. Jerrys Kajibwami.
Cette délégation mandatée par la hiérarchie de ce regroupement ethnique intervient après les déclarations de M. Otto Bahizi, un des fils de l’ethnie Hutu, dans certains médias audio-visuels et sur les réseaux sociaux.
Toutes les déclarations sont indignes non seulement contre les autorités mais aussi contre toute la communauté Hutu, a signifié Jerrys Kajibwami tout en insistant que le moment est révolu de créer des troubles et la haine, tous les efforts étant plutôt à concentrer pour reconstruire la province, la paix n’ayant pas de prix.
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