Les sources militaires à Butembo confirment l'arrestation de David Maranata. Elles précisent que, ce chef Mai Mai du mouvement corps du christ a été, arrêté, par les services de sécurité, dans la nuit du mardi, à ce mercredi 08 février 2017, vers 20heurs locale, dans la commune de Kimemi ou il était en compagnie de ses trois acolytes. Texte écrit par Martial Papy Mukeba dans un groupe Watsapp. Photo de tierce, avec la photo de Daniel Maranata, chef du groupe maï-maï Corps du Christ, arrêté à Butembo à 20h de ce mardi 7/02/2019. Les personnes arrêtées sont MARANATHA, CLAUDE, HASSAN et MUGHENI NB : La photo a été capturée par Habari Motomoto. selon un membre dela société urbaine de Butembo, qui vient de nous précisé, aussi, en disant que, le Chef du mouvement Maï Maï Corps du christ Maranata David est arrêté par les Fardc à Butembo :

Mais dernièrement, les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) ont lancé un assaut, depuis le jeudi 20 octobre 2016, contre un nouveau groupe des miliciens Mai-Mai récemment installés à Kabasha dans les encablures de la ferme du Président de la RDC, une localité située sur la route Butembo-Beni dans le groupement Vuliki, collectivité secteur de Ruwenzori dans le territoire de Beni, d'où les FARDC ont réussi, à délogés, les Mai-Mai qui avaient déjà érigé, dans cette concession des tentes sous prétexte qu’ils allaient à la recherche des présumés égorgeurs ADF. Il faisait 17 heures locales que les armes lourdes et légères ont chanté l’hymne de la mort. Le bilan provisoire a fait état de 10 combattants neutralisés, et un soldat blessé, ce jours là.
Notons ici bas que, ces miliciens mai-mai font partie d’un groupe qui appartient à la secte dénommée « CORPS DU CHRIST » qui avait été à la base des troubles qui ont secoué la ville de Butembo le lundi 15 Octobre 2016 qui ont coûté la vie à deux enseignants et deux élèves du Complexe Scolaire Mwamba ainsi que sept blessés qui poursuivent les soins à l’hôpital de Matanda.
Les hostilités à Kabasha se sont, poursuivies, dans la matinée du vendredi 21 octobre 2016.
Arrivée à Butembo l’après-midi du même jeudi, le Gouverneur de la province du Nord-Kivu son Excellence Julien Paluku Kahongya a lancé un ultimatum au groupe au second groupe des Mai-Mai restés campés sur le mont CARMEL à Butembo pour qu’ils puissent se rendre faute de quoi l’armée usera de ses fonctions régaliennes pour rétablir l’autorité de l’état.
Le Chef de l’exécutif provincial a transmis, un message de condoléances à la population de Butembo et environs pour les actes de vandalisme qui se sont déroulés dans les jours passés notamment la justice populaire qui a endeuillé la ville.
L’autorité provinciale a condamné, de plus, les tueries qui ont coûté, la vie à deux victimes brûlées vives par certaines gens qui ternissent l’image du peuple Nande. Julien Paluku Kahongya a fait, savoir aux participants, dans une rencontre tenue dès son arrivée qu’au sein d’une communauté il existe des bandits mais aucune communauté toute entière ne peut être qualifiée de criminelle.
Il a ainsi, appelé, le peuple Nande à collaborer, avec les services de sécurité en place pour le bienêtre de tout le monde et cela pour ne pas tomber dans le piège de voir toute une communauté être nivelée par le bas. Après plusieurs tentatives de négociations, les FARDC avaient lancé l’assaut sur le Mont-Carmel, considéré comme sacré dans la tradition Yira. Suite à la libération de la colline par l’armée, les Maï-Maï, qui s’étaient dispersés dans plusieurs parties endéhors de Butembo, s’étaient rendus coupables de nombreux crimes, égorgeant notamment deux policiers, événement qui valut à Baraka Lolwako Mumbere de voir le fameux avis de recherche être lancé contre lui.
Dans le même chapitre d'information concérnant, un autre chef des Maï Maï, à travers un communiqué rendu public dans le passé,
la CEPADHO s’est félicitée de la reddition de Baraka Lolwako Mumbere.
C’est avec un très grand intérêt que le CEPADHO a appris de la reddition de BARAKA LOLWAKO, Seigneur de guerre et Chef des MAY-MAY/VURONDO, allié à la milice CORPS DU CHRIST qui avait investi pendant plusieurs jours le Mont CARMEL, en Ville de BUTEMBO.
Notre Organisation qui se réjouit de cette reddition reconnaît qu’elle résulte essentiellementde la pression militaire menée contre les MAY-MAY dans le Grand-Nord du Nord-Kivu, ce dont elle félicite les FARDC.
Le CEPADHO estimé par ailleurs que la reddition de BARAKA LOLWAKO et les éléments de sa garde est aussi une réponse à la campagne qu’il réalise avec la Dynamique pour la Paix et le Développement (DPD), campagne entreprise depuis le début de ce mois dans le cadre 16 Jours d’activisme de Droits de l’homme.
En effet, le CEPADHO et la DPD rappellent à l’opinion qu’ils poursuivent encore cette campagne pour la paix, à travers laquelle ils encouragent les populations du NORD-KIVU en général et celles de BENI-LUBERO en particulier à se désolidariser des groupes armés, à dire «NON» à une nouvelle guerre et à éviter toutes manifestations violentes.
C’est pourquoi, eu égard à ce qui précède, nos deux Structures exhortent aux autres MAY-MAY en errance à BENI, BUTEMBO et LUBERO à emboîter le pas à BARAKA LOLWAKO. Cela en vue de préserver la paix et la sécurité des habitants de cette zone.
À LUBERO, chefferie des Baswagha:
Un ordinateur du kit électoral de l'ep kavasinza à Kivugha emporté par des présumés rebelles mai mai.le fait s'est passé dans la nuit de lundi à ce mardi 07/02/2017. Kivugha est un village situé en territoire de lubero à environ 20 km à l'ouest de Butembo.
Avant de commettre ce forfait ; ces assaillants ont d'abord ligoter des policiers commis à la garde de ce centre d'inscription électoral. La destination des auteurs des actes d'incivisme demeurt toujours en cours dans la région de Beni, Lubero....
A suivre.

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